Demain est un autre jour [PV Morgan]

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Les évènements sur le continent étaient encore tout frais dans l’esprit de la jeune femme. A peine une journée s’était écoulée depuis. Si on lui avait préconisé le repos pour ses hématomes et la plaie de sa main, Elena n’avait pas suivi ces consignes. De toute manière, allongée sur son lit, elle ne faisait que penser à cette mission, à sa rencontre avec Ran, aux confessions d’Oliver quant à ses erreurs mais aussi quant à cette demi-sœur, mais aussi à cette promesse qu’elle s’était faite de se déclarer à l’homme de son cœur. Elle n’avait pas de nouvelle de lui, ni de son meilleur ami d’ailleurs, mais la belle ne savait que faire pour le moment. Alors, pour se vider l’esprit, elle avait décidé de se rendre à l’université pour potasser un peu ses cours, notamment une dissertation qu’elle devait rendre sous peu.

La mine fatiguée, son ordinateur portable devant les yeux, l’étudiante fixait une page blanche. Elle qui était à l’accoutumée inspirée, n’arrivait pas à écrire une seule ligne. Elle avait trop de choses en tête. Elle avait pourtant choisi une œuvre qui lui tenait à cœur … Surtout, la douce repensait à cette visite sur la tombe de sa mère. Elle s’y était effondrée, elle en avait besoin. Malgré la tristesse qu’elle avait pu ressentir, son cœur s’en sentait plus léger. Décidément, elle n’arriverait pas à se concentrer. L’ombre d’un instant, attrapant son téléphone, elle songea à envoyer un message à son confident, mais elle hésitait au cas où ses relations avec Lilith étaient tendues au vu des révélations qu’il avait dû lui faire. Elle fit glisser son doigt sur son écran pour faire apparaitre cet autre nom qui suffit à emballer son petit cœur de fleur bleue : Shawn. Mais, une nouvelle fois, elle soupira, éteignant l’appareil sans même s’en être servi.

Elle devait se concentrer, ne pas se laisser distraire. Ouvrant une page internet, Elena commença ses recherches, tout et n’importe quoi, tant que cela l’aidait à trouver l’inspiration mais soudainement, une page s’ouvrit, lui signifiant qu’un virus s’était introduit dans son ordinateur. Paniquée à l’idée de perdre tous ses travaux, ses photos et autres, elle cliqua dans tous les coins, appuya nerveusement sur son clavier avant de fermer le clapet de son portable. Inspirant, elle le rouvrit, pour constater avec dépit qu’elle n’avait pas régler le problème. Son front cognant sur la table, elle resta un instant ainsi. Décidément, ce n’était pas son jour.

Avec lassitude, elle remballa ses affaires, réfléchissant à une solution pour la dépanner. Une idée lui vint. Elle était dans une université proposant de nombreux cursus, dont l’informatique. Mais elle ne connaissait aucun des élèves … La jolie brune traina dans les couloirs du département correspondant, n’osant aborder personne, la plupart étant des garçons. Une salle attira son attention, une pancarte l’informant qu’elle n’était autre que la salle d’informatique. Timidement, elle passa sa tête à l’entrebâillement de la porte, apercevant un homme certainement plus âgé qu’elle. Prenant son courage à deux mains, elle s’adressa à lui, triturant nerveusement ses doigts alors qu’elle ne savait comment se dire.

« Pardon mais … Je cherche quelqu’un qui pourrait m’aider à … extraire un virus de mon ordinateur … »

Les joues rouges, elle n’avait pas réellement été explicite dans sa demande, mais elle ne pouvait faire mieux.

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Demain est un autre jour ?

La journée avait pourtant bien commencé. J’avais eu un peu d’activités différentes de celles qui constituent mon métier de prof.

Mais voilà, la vie est faite de telle manière qu’il y aura toujours quelqu’un, quelque chose, à un moment, qui vous rappel à quel point rien n’est jamais si simple.

Les péripéties futiles s’étaient donc enchaînées, entre le repas léger et les petits impertinents qui trouvaient que je les avais notés trop durement. Est-ce vraiment le fait du professeur que son élève soit incompétent, idiot et immature ?
Peut-être en étais-je arrivé au point où il me faudrait tout remettre à terre, tout lâcher et devenir…quoi ?

Je m’étais résolu à m’installer en salle info, les ordinateurs me berçant de leurs ronronnements dus à ces ventilateurs qui deviennent trop…fatigués de brasser tout cet air. Si seulement ces jeunes pouvaient se fatiguer aussi.

Les minutes passèrent, mes doigts se mirent à taper doucettement sur le clavier mécanique qui composait ma station de travail. Nous étions gâtés, les élèves avaient le vieux matériel, nous le moins neuf…de manière à pouvoir gérer tout ce parc.

La ligne de commande allait et venait, lançant les paramétrages et mises à jour nécessaires pour chaque poste, jusqu’au moment où j’eu ce malheur d’avoir une idée…celle de faire un petit programme qui le ferait pour moi. Une fenêtre noire, un curseur blanc, mon éditeur préféré et aucune barrière, aucune limite, seul existe mon esprit, ma volonté et cette interface. Un langage pour nous comprendre, et j’étais lancé. Verdi trouva une place dans un coin de mon oreille, tapant frénétiquement au rythme de sa musique les lignes s’accumulant jusqu’à trouver la finalité dans une interruption.

Mon œil perçut un mouvement, une jeune demoiselle fit irruption dans la pièce. Coupant la musique rapidement je dirigeais un regard hagard pour seul accueil, un léger rictus pour essayer de me rendre sympathique, ça ne devait pas être très engageant, peut-être me prendrait-elle pour un fou ?

Sa phrase commença très mal, elle s’excusait d’entrée, expliquant qu’elle cherchait de l’aide pour extraire un virus. Savait-elle seulement ce qu’elle venait de dire ? Peut-être est-ce juste mon esprit tordu qui avait mal interprété.

Je poussais un soupir, me levant de mon siège tout en verrouillant ma session. Je n’étais pas obligé de lui rendre ce service, certaines sociétés se feraient un plaisir de vous facturer une opération si simple, alors qu’en général quelques petites opérations suffisent à éliminer le problème.
Mais c’était surement une, très belle, étudiante, elle n’avait peut-être ni le temps, ni les moyens pour ce genre de futilité.

Je tendis mon bras en direction d’une des tables de la salle avant de prendre la parole, essayant de ne pas être trop dur dans mon ton :

« En général on ne vient pas me voir pour ce genre de souci, mais j’ai besoin d’un peu de divertissement, s’il n’existe pas de donnée compromettante ou trop explicite je me ferai un plaisir de jeter un œil à cette machine et de jouer au docteur avec elle. Mais avant tout, prenons place jeune inconnue et appelez-moi Morgan. »

Prenant moi-même place sur un des deux sièges disponibles, je regardais la jeune femme, espérant qu’elle fit de même, plaçant une demande en attendant qu’elle dépose son matériel pour en prendre possession :

« Expliquez-moi tout. Quand vous êtes-vous aperçue de la présence de ce virus ainsi que de ce que vous en faites quotidiennement de cette pauvre machine à vos activités au sein de ce si merveilleux établissement ! »

L’ironie finalisant ma phrase était peut-être de trop, non ?

dérivé de: Fiche par Narja pour Never-Utopia

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Peu sûre d’elle, la douce se mordillait nerveusement la lèvre tout en observant ce professeur qu’elle avait interpellé. Enfin, il paraissait bien plus mature que les étudiants du couloir, elle en avait donc déduit de son statut. Tenant son ordinateur contre elle, Elena se demandait ce qu’il lui était passé par la tête de venir déranger un inconnu pour ses propres soucis personnels. Mais elle ne savait à qui s’adresser, elle qui n’avait pas de nouvelle d’Oliver et qui réfléchissait encore à ce qu’elle pouvait dire à Shawn à propos de ses sentiments. La jolie brune se rendit bien compte du soupir du jeune homme, elle devait certainement l’ennuyer dans son travail. Tandis qu’il se levait, il pointa une table du doigt, ses pupilles d’azur se posant sur celle-ci avant de revenir vers l’enseignant.

Apparemment, il n’était pas habitué à recevoir de telles demandes et la belle à la crinière d’ébène se trouva soudainement bête, au point de vouloir se mettre dans un trou de souris, mais au final, elle était là, autant profiter de l’aide qu’il semblait vouloir lui apporter. Sans avoir bougé, elle l’observait, surprise qu’il se présente uniquement par son prénom.

« D’accord … Euh … Morgan … Je m’appelle Elena… Et je ne pense pas avoir de fichier compromettant dans mon ordinateur. »

En y réfléchissant, elle n’avait que peu de données personnelles, simplement quelques exposés et dissertation, rien de bien transcendant. Timidement, la jeune Saruta finit par prendre place aux côtés de Morgan, n’osant pas le regarder dans les yeux alors qu’elle posait son portable devant lui. Ses propos étaient teintés d’ironie, il n’y avait aucun doute là-dessus. La douce se surprit à planter son regard dans le sien un instant, se demandant s’il était l’une de ses personnes qui détestaient vivre sur cette île. Bien vite, elle détourna les yeux, un peu nerveuse de par cette proximité. Hésitante, elle finit par ouvrir le clapet de son ordinateur, tapant le mot de passe de sa session avant que ne s’affiche une page d’avertissement.

« V-voilà … C’est comme ça depuis une vingtaine de minutes. J’étais simplement entrain de faire des recherches sur une œuvre sur le net pour un devoir. Je … ne l’utilise que pour ça … Et cette page est apparue et rien à faire, je n’arrive pas à l’enlever. Je … Je ne suis pas douée en informatique. »

Elle baissa les yeux, triturant ses doigts sans même poser le regard sur son interlocuteur.

« Je suis vraiment désolée … de vous importuner, Monsieur. Je suppose que vous avez mieux à faire mais … Je ne savais pas à qui m’adresser … »

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Demain est un autre jour ?

L’écran ne me disait rien qui vaille. Une page d’avertissement…mais ce qui m’a plongé dans ce court silence, laissant mon regard vide ce fut ce monsieur et ce ton qu’elle avait.
*Suis-je si peu rassurant que ça ? *
La question était lancée, je savais pertinemment que je n’aurai pas la réponse par moi-même, et il valait mieux venir à bout de cet obstacle numérique que de se poser ce type de question existentielle et de rester bloqué dessus, n’est-ce pas ?
D’une voix assurément démente, je prononçais alors, comme si c’était un grand évènement.

« Bien, heu, élève Elena…on va s’occuper de ce problème et tout va bien aller, ça va juste vous coûter immensément cher ! »

Je n’avais pas attendu sa réaction, mes doigts glissaient déjà de touche en touche, allant et venant sur certaines à répétition, mon sourire grandissant au fur et à mesure.
Bien qu’elle ne soit pas du métier elle semblait organisée, du moins par rapport au bordel que j’ai sur mon disque dur le sien paraissait propre, les fenêtres se succédaient, l’avertissement disparaissait puis réapparaissait, c’était normal.
Prenant quelques secondes je la regardais de nouveau, je n’avais pas regardé l’heure, elle avait peut-être quelque chose d’autre à faire.

« Hé, dites-moi, vous n’êtes pas attendue j’espère ? Car ça peut prendre du temps, il faut que je fasse, plein de choses pour que ce soit comme neuf pour vous.»

Je m'éclaircissais la voix, comme pour chasser ce malaise qui voulait prendre place en moi, avant de reprendre toujours aussi agacé par moi-même.

« En gros je dois trouver l’origine de cette saleté et la neutraliser puis regarder s’il n’y a pas une quelconque trace, si je devais vulgariser. »

Mon ton était sec, tranchant, comme si je faisais un reproche, il n’était pas pour elle bien évidemment, mais comment pouvait-elle le savoir ?

Mon regard croisa le sien, encore, ce n’était pas la première fois que je voyais ses miroirs, brillants, je ne savais pas ce qui me troublait en eux, surement trois fois rien, après tout j’ai plus l’habitude de fuir le regard des autres que de m’y plonger.
Ce que je fis d’ailleurs, mes yeux eurent tôt fait de trouver un autre point d’ancrage plus loin, m’évitant tout contact lourd et qui aurait pu être déplacé, ou provoquant.

Mes lèvres se tendirent en un sourire, étrange, comme si quelque chose me ramenait vers le passé avec une pointe d’amertume. La fraction de seconde qui s’était écoulée me permit de changer de ton, d’être un peu plus joyeux dans mes paroles.
« Oubliez, laissez tomber, je vais faire au plus vite. Si vous avez une urgence, il suffira de revenir au pire, mais dites-moi, qu’étudiez-vous, que cherchez-vous ici ? »

Mon regard flottait au-dessus d’elle, mes doigts se remirent à pianoter délicatement sur le clavier, je n’avais pour le moment pas besoin de voir ce qui se produisait, les commandes que je lançais ne faisaient qu’afficher des données qui n’ont d’importances qu’une fois réunies.

dérivé de: Fiche par Narja pour Never-Utopia

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La jolie fleur bleue écarquilla les yeux lorsque le professeur lui signala que la prestation lui coûterait cher ? Avait-elle au moins un minimum d'argent sur elle, là, à cet instant précis ? L'empotée qu'elle était ne parvenait pas à s'en souvenir. Car oui, sans doute était-il tout simplement sarcastique, mais Elena l'avait pris au mot. Pourtant, elle se tut, ne voulant pas déconcentrer l'informaticien qui pianotait rapidement sur le clavier. Un peu intriguée, la belle à la crinière d'ébène se pencha un peu vers l'écran afin d'observer les manipulations. Réellement, elle n'y comprenait rien, c'était bien trop compliquée pour son esprit littéraire.

Lorsque Morgan reporta son attention sur elle, la belle américaine piqua un fard en se rendant compte qu'elle le collait un peu trop et s'écarta discrètement tout en hochant négativement de la tête. Sa curiosité la poussait parfois à faire des choses auxquelles elle n'était pas habituée.

"Non ... Je n'ai rien de prévu ... Morgan ..."

Ecoutant le professionnel avec attention, elle acquiescait d'un signe de tête pour lui signifier qu'elle avait compris ses explications. Elle le trouvait bien étrange comme personnage et n'était pas totalement rassurée en sa présence. Mais son regard finit par changer comme s'il s'agissait d'une autre personne.

"Non ... Je vais rester ..."

Elle marqua une pause.

"Je suis étudiante en lettres. C'est ma dernière année ici et ... je ne cherche rien en particulier ..."

Son ton était peu assurée, elle ne comprenait pas où voulait en venir l'homme à la chevelure blanche. Ses pupilles d'océan se posèrent sur ces doigts, un peu intriguée.

"Comment faites-vous pour ... écrire sans regarder ?"

Une question un peu idiote qui fit rougir la douce alors qu'elle secouait la tête, l'air penaude.

"Excusez-moi. Je ... je ne veux pas vous importuner avec mes questions bêtes ..."

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Demain est un autre jour ?

Le manque d’assurance dont la jeune femme faisait preuve et le rose sur ses joues ne me firent rien, on aurait plus dit une timide qui cherche à ne pas déranger, ou j’étais peut-être un peu trop brusque pour elle ?

J’eus un petit sourire à la question de la jeune femme. Comment je faisais pour écrire ainsi ? l’habitude. A force de taper sur les lettres sur un clavier dont la disposition n’est que rarement altérée tout devient automatique, on agite les doigts en regardant puis un beau jour on se rend compte que cela n’a plus d’importance de regarder, le cerveau ayant en mémoire la position de chaque touche.

Je décidais de lui répondre avec une pointe de désinvolture, surjouant la mégalomanie.
« Comment je fais hein ? Mais voyons jeune Elena…Le talent bien évidemment ! »

Souriant pour appuyer l’ironie de mes propos je regardais alors l’écran sur lequel mon regard s’assombrit.
Il n’y avait pas grand-chose, quelques fichiers à supprimer, des copies dans différents dossier, il suffisait de nettoyer ce qui avait été créé au moment de l’ouverture de la page web sans pour autant s’attaquer à quelques autres documents qui auraient pu avoir de l’importance.

Je tournais la tête légèrement, regardant la jeune femme du coin de l’œil. Un léger sourire flottait sur mes lèvres, le symbole silencieux d’une satisfaction personnelle. Ce problème pouvait être résolu et il était dans mes capacités.

« Question bête : que faisiez-vous au moment de tomber sur cette chose ? Parce que, bon, ce n’est pas un gros problème et je vais le résoudre dans peu de temps, mais cela m’intrigue quand même. Que s’est-il passé, qu’est-ce qui vous a poussé à aller vers ces sites ? »

Mon sourire s’effaçait alors que je me reconcentrais sur l’écran, mes doigts reprirent leur course, faisant apparaitre et disparaitre certaines fenêtres noires où le texte blanc défilait rapidement.

dérivé de: Fiche par Narja pour Never-Utopia

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Le talent ? Elena n'en doutait pas. Malgré elle, un sourire se dessina sur ses lippes alors qu'elle baissait la tête pour que Morgan ne le voit pas. Elle leva les yeux, se rendant compte de ce regard sombre que le professeur affichait désormais. La belle hésita un instant avant de lui poser la question qui la turlupinait.

"Y'a-t-il un problème ?"

Cet homme savait réellement ce qu'il faisait, mais pour la petite littéraire,tout ceci n'avait aucun sens. Elle avait beau scruter l'écran, il allait si vite, qu'elle n'y comprenait rien. Peut-être devrait-elle prendre des cours d'informatique un jour ? Elle attendait sagement qu'il termine lorsque celui-ci s'adressa de nouveau à elle. Elle réfléchit un instant.

"Je faisais des recherches pour un sujet de dissertation. Mais j'étais un peu .. distraite, j'ai juste ouvert les liens qui me semblaient les plus intéressants. Je ne m'attendais pas à ce qu'ils puissent abriter un virus."

Elle baissa les yeux, triturant ses doigts.

"Je ... Je suis vraiment désolée de vous faire perdre votre temps ... V-vous avez peut-être des astuces pour que je ne tombe plus sur des sites ... contaminés ?"

Aucun doute, la belle à la crinière d'ébène était vraiment nulle en informatique. Mais elle était bien décidée d'apprendre quelques techniques qui lui éviteraient de nouveau d'importuner quelqu'un.

» Morgan REINHARDT [Terminé]
» Du sable et de l'eau [Feat Morgan Reinhardt]
» La ferme ! Non, pas toi, l'autre ! [Jess]
» Dans la peau d'une autre [PV Castiel]
» Ah ! Mais t'es le cinglé que j'ai failli renversé l'autre fois ! (Aki/Emily)