Sythiss Kiary
31 Octobre à Kazan (Russie) • Russe • Hétérosexuel • Lycéen • Suijin • Jack Frost, Les 5 légendes
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
Il a toujours fais froid là où j’habite, et ça a déteint sur moi. Que ça soit froid, distant, discret ou inexistant, c’est trois adjectifs me représentent bien. Je ne vais pas vers les autres, et encore moins quand ils sont déjà en groupe. Je n’aime pas tellement la foule, la solitude me correspond mieux. Le problème est que je m’attache très vite aux personnes venant vers moi, et que je finis très rapidement par être déçu de ces dernières. Alors avec le temps, j’ai appris à n’aller vers personne et à ne m’accrocher à personne.
Je suis plus du genre à aider sans rien demander en retour, même si ça me prend du temps, dès que j’en suis capable, j’aime bien faire part de mes compétence sans qu’on me demande, quitte à le faire pour rien car la personne destiné l’a demandé à un autre avant que je ne lui apporte mon labeur. Et si maintenant par un hasard des plus grands, on venait à me demander d’accomplir quelque chose qui est à ma portée, je le fais sans ronchonner, en continuant à ne rien demander en retour. J’aime à tout faire moi-même. Je trouve que si c’est quelqu’un d’autre que le fait, ça n’est pas bien fait, ou du moins, pas comme j’aurais aimé l’avoir, donc je fais tout moi-même.
Je n’irai pas jusqu’à dire que je repousse ceux qui viennent vers moi, mais je ne fais pas en sorte de m’attirer la foule non plus. J’ai beau ne pas m’ouvrir aux autres, si ils veulent venir me parler, je ne dis pas non. Ça parait logique en rapport à ma manie d’aider les autres quand je le peut, même si ça ressort contradictoire avec ma façon de voir les autres.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Ma magie est proche de celle de la glace. C’est grâce à mes mains que j’arrive à faire bouger et refroidir de l’eau, sans pour autant la rendre solide. J’ai finalement obtenu un bâton qui canalise mes pouvoirs afin de m’aider à les contrôler. Sans ce bâton, je ne sais pas si j’arriverai à bouger ne serait-ce qu’un simple vers d’eau.
• Affinité : J’aime bien ma magie car elle représente assez mon côté froid envers les autres. Mais je pense que la raison pour laquelle je n’arrive pas à faire de cette eau de la neige ou de la glace bien solide, est que j’essaye encore, inconsciemment, d’avoir des liens avec ceux qui m’entourent.
DESCRIPTION PHYSIQUE
Ni trop grand ni trop petit, je mesure un mètre soixante-dix-huit. J’ai des cheveux mi-long d’un couleur proche du blanc avec une nuance bleutée. Ces derniers passent sur mon front et s’arrête au niveau des yeux bleus ciel, surplombant la peau claire, presque blanche qui montre à quel point le soleil est absent dans ma ville. J’ai une allure svelte, ce qui me donne l’avantage de ne pas grossir même si je mange énormément. Un avantage certain, mais ça m’empêche aussi de prendre du muscle. Donc les filles qui chercher Hercule ? Ne venez pas chez moi. Les traits de mon visage sont assez fins, le visage d’un innocent. Suffisamment pour qu’étant petit, on me prenne pour une fille plus d’une fois. Mais maintenant que j’ai atteint les dix-sept ans, ça va mieux de ce côté-là. Une peau presque sans grand défaut, autre que sa blancheur. J’ai une silhouette plutôt commune, une voix des plus normales. On peut dire que je suis comme tout le monde, sans avoir à rentrer dans les détails.
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Vous voulez connaître mon histoire ? Elle n’est pas des plus palpitantes. Le début est même assez maussade et m’attire souvent les excuses de ceux qui l’écoutent. Mais je vous rassure, je le vis très bien, je vous explique. J’ai eu une enfance sans père, ce dernier ne m’ayant jamais vu comme son fils, il a préféré partir de la maison, me laissant seuls ma mère et moi. Je n’ai pas beaucoup de souvenir de lui, mais ma mère me disait que c’était un homme plus ou moins macho. Il ne fallait surtout pas que quelque chose ne se passe pas comme il l’avait prévu, ou il pouvait devenir fou, et ma naissance en faisait visiblement partie. Quand à ma mère, elle m’a élevée seule. C’était une mère aimante, j’étais plus important que la prunelle de ces yeux. Elle se surmenait pour me faire avoir une vie pleine de joie et de bonne humeur. Elle se surmenait à tel point qu’elle finit par en mourir alors que je n’avais que 9 ans. A partir de ce jour, j’ai pris la décision de ne jamais laisser les autres faires quoi que ce soit à ma place.
Lors des funérailles de ma mère, le reste de ma famille, les frères et sœurs du côté maternelle étaient tous en train de se demander qui allait s’occuper de moi. Ça a été un oncle qui partait souvent en voyage à cause de son travail qui a pris la décision de me prendre avec lui alors que tous les autres trouvaient excuses sur excuses pour ne pas avoir à me prendre chez eux. Vu qu’il n’était que très rarement à la maison, il m'a offert un petit lapin tout jeune, et j’ai appris à me débrouiller seul. Au début c’était une vielle dame, la voisine, qui s’occupait de moi. Puis, petit à petit, elle en faisait de moins en moins, vu que de mon côté j’en faisais de plus en plus. J’ai commencé par apprendre à cuisiner avec elle, puis à faire le ménage, le linge, et pour finir les courses. Mon oncle envoyait juste de l’argent quand il ne rentrait pas pour que je puisse me débrouiller. Le petit lapin, que j'ai appelé Skizz, ne me quittait jamais. On était très proche déjà à l’époque et il avait choisi mon épaule comme son perchoir favori. Que je sois à la maison, dans la rue, à l’école ou au courses, les premiers mois j’avais des réflexions à son sujet, mais avec le temps, tout le monde s’était habitué de me voir avec ce petit lapin gris et blanc sur les épaules ou la tête.
A l’âge de onze ans, je savais vivre seul. C’est même moi qui, à mon tour, allais aider la vielle dame qui s’était occupée de moi. C’est une fois, alors que je suis rentré chez elle sans prévenir, les bras chargés, que je l’ai surpris à faire léviter de l’eau avant de la faire tomber sous forme de glaçons dans son thé. Dans le dos de mon oncle, elle m’a donc appris à utiliser ce pouvoir. J’ai dû lui implorer des jours, des semaines et même plusieurs mois entier avant qu’elle ne cède et finit par accepter voir si j’en étais capable, chose qui s’est plutôt bien passé, pour finalement m’apprendre à l’utiliser. Elle avait des techniques bien à elle, assez étrange je dois l’avouer, mais efficace, vu qu’en seulement trois mois, j’ai réussi à faire bouger mon premier vers d’eau ! Mais c’est sans compter sur les quatre ans qui suivirent, durant lesquels je n’ai fait quasiment aucun progrès…
C’est alors que la vielle dame, après une journée des plus normales passée à l’école, me retrouve chez moi avec un étrange paquet dans les mains. Très grand, pas très large, qui avait l’air assez léger vu la façon dont elle le tenait.Au moment où je passe la porte, elle se retourne puis affiche un visage satisfait. J’allais lui demandé ce qui la rendais joyeuse. Mais elle prit la parole en première pour m’annoncer qu’elle avait retrouvé son vielle outils qui lui servait à manipuler plus aisément ses pouvoirs. Elle s’avance vers moi et me fait ouvrir le paquet qu’elle tenait toujours dans ses bras. Il s’agissait d’un bâton. En se fiant à sa forme, on le confondrait à un bâton de berger, mais quand elle me fit signe de le prendre, ce dernier prenait une teinte bleutée assez claire. Comme si il gelait à l’endroit où je le touchais.
Durant les mois qui suivirent, l’ancienne me forçait à ne plus utiliser mes mains, mais à tous faire en passant par cet artéfact. C’était bizarre au départ, car il n’y avait plus cette proximité entre l’eau et moi, vu que tout se faisait d’un seul coup à un peu plus d’un mètre de moi, au bout du bâton. Même les sensations étaient différentes. J’ai alors continué à m’entraîner, que ça soit seul ou avec la vielle dame, jusqu’à arriver enfin à créer une boule de neige sans aucun soucis en partant d’un vers d’eau. Mais j’avais beau m’entraîner encore et encore, je ne voyais plus aucune avancé dans mon pouvoir. Aurais-je atteint ma limite ? Je ne pense pas, mais ce qui est sûre, c’est que je ne pouvais plus rien apprendre de la voisine.
La veille de mon dix-septième anniversaire, j’ai fait un rêve étrange. Dans ce rêve, j’étais chez moi, mais je ne pouvais contrôler aucun de mes gestes. Je me suis habillé comme si j’allais sortir, j’ai rassemblé des affaires aléatoires, tel que quelque vêtements, et mon bâton. J’ai mis Skizz qui dormait encore à l’intérieur de la poche ventral de mon pull, et suit sortie. Je ne voulais pas, il faisait froid dehors, et on était en pleine nuit. Je me voyais marcher jusqu’à un parc, la nuit devait le rendre désert, mais un petit groupe d’homme et de femme vêtus de noir avaient l’air de m’y attendre. Je me sentais très lourd, mais mon corps marchait tout seul vers eux avant de leur tendre ma petite valise et mon bâton. D’un seul coup, l’un d’entre eux se trouvant derrière moi, je ne voyais plus rien, surement un sac sur la tête.
Je me suis réveillé en sursaut sur une plage de sable fin, toujours en pleine nuit. Avec Skizz, ma valise, mon bâton, et un autre petit sac à côté de moi. J’ai d’abord pensé continuer à rêver... Mais à rêver de quoi au juste ? C'était assez flou dans ma tête, je me souvenais juste... D'être allé me coucher ? Comment j'ai pu atterrir ici alors... J’ai alors commencé à chercher à côté de moi des indices ou quelque chose pouvant me guider. Le sac ? Oui effectivement, je l’ai ouvert juste après ça, et j’y ai trouvé une carte ainsi que de l’argent dans une quantité acceptable. Un petit mot était accroché à la carte, me souhaitant la bienvenue et m’expliquant ce que je faisais ici. Je n’ai pas tout compris, mais j’ai profité de la carte plutôt détaillé de l’île pour me diriger vers la ville la plus proche. Et ensuite je suis tombé sur vous me demandant de vous raconter ma vie…
DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : Rolstyam Sythiss Nairod
• J'ai : 20 ans
• J'ai connu le forum grâce à : Parrainage Dixy Bleak
• Je pense que le forum est : Gris ._.
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci
• J'aimerai ajouter que : Je suis présent... Ah ça sert à rien de le dire, d'accord...