[YURI !] Mi casa es tù casa mi amor ~. [PV : Ciara Redbird]

Après tout cette soirée que je pensais banale et peu enrichissante étais la plus belle de ma vie. J’avais trouvé l’amour et le vrai. Celui sur lequel on ne tombe qu’une seule fois. J’aimais cette femme à un point que je n’aurais jamais cru possible. Je voulais la protéger, la rendre heureuse et casser la gueule à tous ceux qui lui dirait un truc de travers. On était déjà très complices et on s’était taquiner pas mal ce soir, même si le plus fort restait sur la plage avec le coup du lit. Comme si je ne savais pas ce que l’on faisait dans un lit et honnêtement je n’avais pas trop envie de dormir ~. J’aimais ce jeu de séduction entre nous, mais si on continuait ça allait vraiment mal finir et j’allais avoir d’énormes difficultés à me retenir de lui sauter dessus et de la déshabiller…

On était à présent chez moi car je l’avais invité à passer la nuit ici. Je ne voulais pas me séparer d’elle et elle n’y tenait pas non plus surtout qu’avant de venir jusqu’ici elle m’avait fait un petit discours sur la plage comme quoi elle m’aimait à un point qu’elle n’avait jamais atteins avec personne. Que j’étais la seule à faire battre son cœur aussi vite, mais je pouvais lui en dire autant. On était spéciale l’une pour l’autre et se quitter était limite impossible à présent. La décision ne concernerait que moi je lui proposerais bien de vivre ici avec moi. Mais je n’étais pas seule et ma chérie ne voudrait peut-être pas. Cela faisait tôt quand même. J’avais peur d’aller trop vite et de la prendre de court, de la mettre au pied du mur alors que je ne veux en aucun cas la mettre mal à l’aise.

D’ailleurs en parlant de ma colloc, j’avais mis les points sur les i directs afin qu’elle ne soit pas jalouses d’elle. J’aimerais qu’elles soient amies si possible. Elle m’avait rassurée sur le fait qu’elle n’était pas jalouse, mais je préférais quand même lui dire qu’elle ne se fasse pas de films, c’était elle mon âme sœur et personne d’autres. J’insérais donc la clé dans la serrure de la maison et la fit entrer à l’intérieur. Tout était propre, rien ne traînait et tout était rangé à sa place. Je n’aimais pas le désordre sinon je m’y retrouvais plus après. Et en plus ça fait mieux quand j’invite ma copine à dormir.

Je l’entraînais jusqu’au canapé afin de la faire asseoir avant d’aller lui chercher un chocolat chaud. Je revins ensuite en souriant lui tendant la tasse tendit que je montais à l’étage afin de lui refiler quelques vêtements parce que sa robe était magnifique, mais je pense quand fin de journée, elle préférerait être dans des habits où elle peut être plus à l’aise et plus au chaud aussi par la même occasion. Je lui ramenais donc un pantalon en velours faisant pyjama et l’un de mes T-shirts.

Je revins dans le salon me faisant un chocolat au passage aussi après lui avoir donné les vêtements puis je me posais tranquillement contre elle dans le canapé.

Cinq minutes de pause. Tu me dis si tu veux d’autres vêtements tu peux même ne pas en porter c’est pas moi que ça dérangeras dis-je en rigolant.

Je n’étais moi-même pas très pudique en fait je dormais en sous-vêtements quand c’était pas complètement nue quand il faisait trop chaud alors bon… Il fallait que je lui demande où elle habitait d’ailleurs, parce que pour aller la voir c’était mieux que je le sache.

Sinon tu habites où exactement ? Histoire que je vienne te rendre visite de temps en temps.

Je la regardais avant de me dire qu’elle ne voulait pas forcément se changer en plein milieu du salon et je me levais la prenant par la main et montant à l’étage afin de lui montrer les lieux. J’entrais dans ma chambre et commençais la visite des pièces qu’elle connaîtrait sûrement par cœur d’ici pas tard.

Alors ça c’est ma chambre, il y a un toilette ainsi qu’une salle de bain. Ces pièces sont à ta disposition quand tu veux ma belle fais comme chez toi. L’autre pièce en face c’est la chambre de ma colloc. Tu peux te changer ici, je vais redescendre et faire à manger, si tu as besoin de moi je suis en bas. Ah et t’inquiètes pas les murs sont insonorisés, si ma colloc rentrait ce soir elle ne t’entendra pas crier ~.

Je lui fis un clin d’oeil et descendit au rez de chaussée en rigolant à ma taquinerie. Elle avait voulu jouer alors on allait jouer. Je n’aime pas perdre au jeu de la séduction ~.

Je n’aurais jamais pensé trouver mon âme sœur dans ce bar honnêtement. Si j’avais su je m’y serais pointé plus tôt. Mais du moment qu’on s’était trouvé c’est le principal je suppose. Maintenant on était chez moi parce que je ne voulais pas qu’elle attrape froid. Certes, je n’étais pas très habillé, mais j’étais tout le temps comme ça en fait. La température ne me gênait aucunement et je pense que mon corps était une sorte de régulateur d’ailleurs, bouillotte quand il le fallait et frigo quand il le fallait. Mais je ne vais pas m’en plaindre loin de là, je savais très bien contre qui Ciara viendrait se coller quand elle aurait froid ~.

Elena m’avait prévenu qu’elle ne rentrerait pas ce soir. Je ne savais pas pourquoi, mais on aurait la maison à nous toutes seules et je n’allais pas m’en plaindre. Mais même si Elena avait été là elle aurait été heureuse de rencontrer Cia, j’en étais persuadée. Elena n’avait pas de mal à se faire des amis, même si au début elle était très réservée. J’espérais que Cia n’aurait pas l’impression de déranger car c’était tout le contraire j’étais très heureuse qu’elle soit là et de ne pas être seule ce soir ni cette nuit. Une fois rentré je lui fis signe de s’asseoir sur le canapé et lui offrait un chocolat chaud. J’avais supposé qu’elle aurait encore froid et bien supposé vu qu’elle s’était recroquevillé sur le canapé tandis que je lui amenais la tasse. Elle m’offrit son plus beau sourire comme si un ange était tombé du ciel et je lui souris en retour avant d’aller lui chercher des vêtements. Je les lui apportais ensuite avant de repartir me chercher une tasse de chocolat et m’assit enfin.

Après plusieurs minutes de vas et viens je me posais à côté de ma bien aimée qui se collait à moi tout en buvant son chocolat chaud et moi le mien. Elle ne dit rien à la remarque des vêtements et je laissais passer me disant que la blague était tombée à plat. Je partais sur une autre idée lui demandant où elle logeait pour le moment. Je fus assez choquée qu’elle me dise qu’elle était carrément dans un hôtel et qu’elle n’avait rien trouvé pour l’instant. J’avais envie de lui dire qu’elle pouvait venir ici avec moi. C’était peut-être pas raisonnable, mais j’en avais vraiment envie et pourquoi attendre pour faire les choses quand on peut les faire le jour même ? J’étais sûre de moi. Enfin peut-être que je lui en parlerais demain, je ne voulais pas l’embêter avec ça ce soir. Il fallait plutôt qu’on prenne le temps de vivre et qu’on se détende.

Oui pourquoi pas, tu as encore le temps de réfléchir à ce que tu veux faire. Viens je vais te montrer où tu peux te changer tranquille.

Je lui pris donc la main et l’amenais jusqu’à ma chambre afin de lui montrer le lieu où elle pourrait faire ce qui lui plaisait. Chaque pièce salle de bain et toilette compris était ses pièces à elle aussi à présent. Elle pourrait aller dans toutes les pièces qu’elle voulait sauf celles d’Elena vu qu’elle était chez elle aussi il fallait sa permission quand même, qu’elle ne se sente pas offusquée qu’on entre dans son espace vital. Je la quittais pour descendre faire à manger en ayant bien pris soin de lui faire un sous-entendu qui me fit d’ailleurs doucement rire dans les escaliers. J’étais irrécupérable n’empêche. Une fois en cuisine, je commençais à couper les légumes me disant que je pouvais faire une ratatouille avec autre chose je ne savais pas encore quoi, mais en cuisinant ça me viendrait…j’imagine.

Sauf que je n’ai pas pris en compte l’élément perturbateur du nom de Ciara qui m’enlaça par derrière m’embrassant la nuque. Je frissonnais à ce doux contact, j’adorais ça. Elle vint jusqu’à mon oreille et me chuchota des mots qui me firent rougir puis bouillonner de l’intérieur. Ok elle n’avait pas faim de nourriture, pas de soucis j’allais m’occuper personnellement de la rassasier comme il se doit et elle allait voir que ce serait elle la première à crier je m’en faisait un devoir. Quand elle apposa sa marque sur moi, j’en fus touché, je rigolais en me disant que les autres seraient prévenus que j’appartenais déjà à quelqu’un. Est-ce que ça allait arrêter les dragueurs de bas étage ? Peut-être mais bon généralement ils sont très insistants…

J‘arrêtais tout ce que je faisais, et laissais le couteau à côté des légumes. Rien sur le feu nickel. Rien ne craignait. Je me retournais donc et la regardais dans les yeux d’un regard brûlant de désir et d’impatience. Moi qui m’étais dit que je serais sage ~. Je ne pouvais pas lui résister c’était impossible pas alors qu’elle m’aguichait de la sorte. Enfin ‘avais commencé donc du coup, c’était peut-être de ma faute, mais je n’allais pas m’en plaindre bien au contraire…Je la tirais vers moi collant son corps au mien en la prenant par la taille et l’embrassais langoureusement tandis que mes mains partirent en-dessous de ses cuisses afin de la porter. Elle eut le réflexe de s’accrocher en enlaçant ma taille de ses jambes et mon cou de ses bras. Je suis loin d’être une faible femme, la bagarre de rue, ça forge mine de rien.

Je l’emmenais à l’étage et fermais la porte au cas où avant de la déposer sur le lit et de me coller de nouveau à son corps venant lui mordiller l’oreille avant de la lui lécher pour plus de sensation. J’avais bien repérer cette zone qui lui faisait de l’effet, mais ce n’était que le début descendant dans son cou tandis que mes mains remontaient doucement sur ses cuisses en les caressant avec tendresse. Tout d’un coup, j’eus un bug et je ralentis la cadence en la regardant, peu sûr de moi.

Tu l’as déjà fait avec une femme ?

Honnêtement, je ne pensais pas qu’elle réagirait de la sorte à mes sous-entendus, mais le fait qu’elle me saute dessus comme ça ne me laissait pas indifférente bien au contraire. Elle était si douce dans ses mouvements retirant ma chevelure afin de pouvoir m’embrasser comme bon lui semble dans le cou. J’en frissonnais tellement j’adorais le contact de ses lèvres sur ma peau. Ses paroles étaient si tentantes que même en faisant tous les efforts du monde je n’aurais pas pu faire autrement que de craquer. J’avais atteins ma limite supportable. Là j’étais brûlante de désir et elle était la seule à pouvoir éteindre ce feu qui crépitait dans mon bas ventre.

Ses gestes étaient si doux que j’eus le temps de la sentir venir sans avoir une réaction trop brusque. Tant mieux parce qu’avec le couteau que j’avais dans les mains bonjour les dégâts. Je posais au fur et à mesure ce que j’avais en main et me retournais frémissant toujours sous ses caresses. Une fois face à elle et m’emparais avec ferveur de ses lèvres avide d’elle. Je voulais explorer chaque parcelle de sa peau et qu’aucune partie d’elle n’ai pas ressenti mes mains. Tandis qu’elle enlaçait mon cou pour appuyer le baiser je passais mes mains en-dessous de ses cuisses pour la porter et l’emmener dans la chambre. Elle parut surprise sur le coup, mais se laissa faire enlaçant ses jambes à ma taille afin de ne pas glisser.

Le trajet jusqu’à la chambre fut plus long que je l’aurais cru, vu qu’elle m’embrassait. J’avais du mal à marcher droit, mais je trouvais quand même la chambre et fermais la porte avant de la déposer sur le lit et de venir prendre d’assaut l’une de ses oreilles. Je savais que c’était l’une de ses zones sensibles alors j’en profitais pour la taquiner. Je sentais Cia me caresser la cuisse et je souriais. Je partis dans son cou tandis que je caressais à mon tour ses cuisses les remontant lentement pour accentuer plus le désir. J’avais envie d’elle à un point que je ne pensais pas possible et pourtant j’avais quand même peur. Je ne savais pas comment se résumait ses expériences à ce niveau là et il fallait que je sache si elle l’avait déjà fait avec une fille. Je ne voulais pas qu’elle regrette son choix ou que finalement après réflexion elle ne veuille plus. J’avais déjà vécu ça et j’avais peur de perdre encore quelqu’un que j’aime.

Comme je le pensais, c’était sa première fois avec une femme. Pas avec les hommes cependant. Mais je ne pouvais pas non plus lui en vouloir pour ça. J’aurais dû la rencontrer plus tôt. Mais bon après cela ne m’empêchait pas de l’aimer toujours autant. Certes elle a de l’expérience, mais avec moi ce serait différent, ce serait sa première fois alors j’allais éviter de me précipiter comme ça si elle voulait arrêter par la suite, ce sera encore possible. Je devrais me refréner à mort, mais je le ferais pour son bien. Je voulais faire les choses bien. Elle avait l’air d’ailleurs de ne pas trop savoir où se mettre. Est-ce qu’elle aurait peur de ma réaction face à son expérience sexuelle ?

Elle se recroquevilla une nouvelle fois la tête au niveau des genoux évitant le plus possible mon regard. Mais je ne voulais pas que ce soit le cas au contraire, elle devait voir dans mes yeux que je me fichais bien de tout ça. Du moment qu’elle restait avec moi, son passé importait peu pour moi. Elle s’excusa pensant être allé beaucoup trop loin et finit par me regarder dans les yeux comme si elle voulait me rassurer que se sentiments étaient bien vrais. Elle me fit part qu’elle avait vraiment envie de moi que j’étais la seule et je trouvais ça tellement adorable. Je la pris doucement dans mes bras et caressait ses cheveux avant de l’embrasser tendrement.

Tu n’as pas à t’excuser mon amour, je ne t’en voudrais jamais pour ça. Je t’aime trop pour te quitter pour une raison aussi irrecevable. Y a prescription, tu ne pouvais pas savoir que l’amour te tomberait dessus ni rien. Le fait que je sois ta première fille est loin de me déplaire en plus, certes j’ai la pression, mais je suis flattée d’avoir été la seule à te troubler de la sorte.

J’étais vraiment heureuse de lavoir rencontré et de lui avoir fait un tel effet. Je ne voulais absolument pas céder ma place.

Je sais que tu as envie de moi Cia, je le vois dans tes yeux et dans tes gestes, le passé on s’en fiche mettons le de côté et laisse moi m’occuper de toi ma chérie, tu ne seras pas déçue du voyage ~.

Je fis glisser mon sari restant en sous-vêtements et embrassant de nouveau ma belle. Je me mis à califourchon sur elle et pris ses mains.

Laisse toi aller et touche tout ce que tu veux c’est tout à toi ~.

Honnêtement, j’aurais vraiment voulu être sage et attendre le bon moment, mais qu’elle me parle à ce moment là dans l’oreille en me disant qu’elle avait mieux que mon repas à se mettre sous la dent je dois bien avouer que ça m’avait excitée tout en étant prise de cours. Mais c’était mal me connaître si elle pensait que je ne répondrais pas de suite à cette provocation des plus tentantes. Je me retenais depuis un moment déjà alors vu qu’en gros elle me donnait son aval, je n’allais pas me faire prier pour sauter sur l’occasion ~ Une belle femme comme Ciara, que Dieu me garde si je réussis à lui résister plus d’une journée. C’était inconcevable…

Je la portais jusqu’à ma, je veux dire notre chambre et fermais la porte pour éviter une situation embarrassante si Elena arrivait juste à ce moment là. Pas que ça me dérangerait, même Cia pas sûr que ça lui fasse grand-chose par contre Elena finirait par faire un malaise tellement elle serait gênée et j’avais mieux à faire que de ranimer Elena sans vouloir être méchante. Cia était la priorité numéro un et comme je lui avais fait comprendre tant qu’elle n’aurait pas crier une première fois je ne serais pas satisfaite ~.

Par contre j’avais peur pour elle niveau sexualité. Si elle ne l’avait jamais fait avec une femme je ne voulais pas la brusquer et j’avais donc besoin de savoir si c’était le cas. En effet, elle me dit assez rapidement qu’elle n’avait aucune expérience avec ce bord là et je souris tandis qu’elle s’excusait déjà d’avoir eu des relations avec des hommes. Mais moi, je m’en fichais je l’aimais, peu importait son passé. Le fait d’être sa première femme me flattait et vu comment Cia était magnifique j’avais déjà supposée qu’elle n’était pas à sa première expérience. Moi aussi j’avais eu d’autres relations avant elle. On ne pouvait pas faire comme si elles ne s’étaient jamais passés il fallait vivre avec et continuer d’avancer ensemble c’était le principal et je le lui fis comprendre.

Elle me refit un compliment sur le fait que j’étais merveilleuse et je lui caressais la joue.

Non c’est toi qui l’es Ciara. Et sache que je t’aime quoiqu’il arrive. Le passé c’est le passé on ne peut pas le changer. Alors à la place créons nous-mêmes notre avenir ensemble.

Je lui embrassais le front avant de reprendre nos petites affaires, car ce petit préambule n’avait en rien entaché mon désir. J’avais toujours envie de la dévorer toute crue ~. J’enlevais mon sari afin qu’elle ne se pose pas trop de questions de comment l’enlever. Moi c’est niveau robe que j’aurais du mal à enlever sans déchirer. Il me faudrait de la patience et pas sûre que j’en aurais assez pour le coup… Je lui prenais ensuite les mains les faisant parcourir doucement les parties de ma peau mise à nue voulant sentir ses mains sur moi. Je voulais la posséder et la faire mienne, mais je ne voulais pas qu’elle reste spectatrice ou soumise pour autant. Déjà elle n’était pas ce genre à rester inactive et puis, j’aimais bien créer le plaisir tout en l’éprouvant à côté. Je savais qu’elle saurait y faire, elle avait juste à m’imiter si jamais elle bloquait, mais je doutais que cela arrive.

Elle avait sûrement déjà connu un moment seule…enfin vous voyez se faire plaisir à soi-même quoi… Quand on est une femme c’est bien plus simple de faire plaisir à une autre que soi, car on sait les points sensibles. Après certains points changent selon la personne, mais ça c’est pareil pour les mecs je pense. Bref, elle s’élança venant s’emparer de mes lèvres afin que je m’allonge sur elle. Elle me caressait la nuque d’une main tandis que l’autre était occupé à voyager sur mon corps me faisant frissonner de plaisir. Les endroits étaient si biens choisis faut dire ~. Entre les fesses, les reins puis juste en dessous de la poitrine, je ne pouvais pas être plus en condition pour lui sauter dessus là… Tandis qu’elle s’emparait de mon cou pour des baisers fiévreux elle finit par s’exprimer de nouveau.

Mon cœur rata un battement à sa déclaration. Toute à moi…Elle était si belle à cet instant que je défis les bretelles de sa robe et la fis glisser jusqu’à ses pieds avant de la balancer à l’autre bout de la pièce sans ménagement. Elle était presque nue ne restant qu’une petite culotte adorable. Sa peau était douce et j’avais envie de me précipiter, mais je devais faire ça avec application. C’était sa première fois et malgré mon impatience je voulais quand même prendre le temps de l’exciter au maximum ~. Je l’embrassais donc une nouvelle fois tandis que je lui caressais le ventre pour remonter sur sa poitrine généreuse et bien lotis. Ma bouche descendit dans son cou et je lui fis un suçon moi aussi.

Une fois satisfaite de la marque violacée dans son cou je descendis encore embrassant ses épaules avec amour pour de nouveau descendre sur sa poitrine et l’embrasser tout en la caressant du bout des doigts. Puis je finis par prendre le premier téton en bouche. Je le mordillais puis le suçotais avec expertise avant de le lâcher et de passer au second. Une fois que ceux-ci étaient tout deux raides comme des piquets je descendis embrasser son ventre avant de mis reposer quelques secondes. Je finis par remonter au niveau de sa tête afin de lui chuchoter quelque chose tandis que l’un de mes genoux alla s’appuyer précautionneusement sur son intimité que je sentis humide.

Je t’aime Ciara ce soir je te fais mienne mon cœur. Je serais la seule femme que tu connaîtras. Tu es toujours sûre de toi malgré ce fait ?

J’aimais lui faire comprendre que je l’aimais plus que tout que ce soit par les mots ou par les yeux. Ceux-ci la regardait d’ailleurs comme si c’était la chose la plus précieuse que l’univers n’ai jamais porté et c’était le cas. Je voulais vraiment qu’elle sache à quel point elle était importante pour moi. Le fait qu’elle est couchée avec d’autres hommes ne me faisait certes pas plaisir, mais je n’étais pas là à cet instant. Et puis je ne pouvais pas lui en vouloir vu que j’avais fait pareil de mon côté. Donc je décidais d’oublier le passé et de ne penser qu’à l’avenir et elle me fit d’ailleurs une remarque des plus belles en me disant qu’elle ne voyait pas son avenir sans moi. Cela me touchait au plus haut point.

Je ne vois plus ma vie sans toi non plus Ciara. Tu es mon bonheur, je ne veux que toi, tu es la seule à pouvoir me rendre si heureuse.

Je voulais le mettre en condition alors je décidais de me déshabiller en première pour qu’elle ne se sente pas gêner. J’ôtais donc mon sari avec sensualité voulant lui mettre l’eau à la bouche. Je la désirais tellement qu’aucun mot était capable de qualifier assez mon désir. Je pris ses mains et les fit jouer sur mon corps en attendant qu’elle décide d’elle-même de passer aux choses sérieuses. Je souriais en la voyant avec tant de désir dans le regard. Je me sentais à cet instant vraiment spéciale et unique. Surtout que ses yeux me disaient tellement de choses entre l’amour et le désir qu’elle ressentait pour moi. Nous n’avions pas besoin de mots pour nous comprendre au final même si ils nous arrivaient d’en dire. C’était simplement pour appuyer nos sentiments.

Elle passa finalement à l’action m’entraînant dans son sillage pour m’embrasser avec ferveur avant de dévorer mon cou de baisers brûlants. Elle prenait son temps et je comprenais très bien pourquoi étant dans le même état d’esprit malgré l’animal hurlant en moi pour la faire mienne le plus vite possible. Celui-ci c’était d’ailleurs calmé vu que de toute façon il ne gagnerait pas. La blesser en allant trop vite serait la pire chose au monde pour moi. Et puis il fallait bien lui montrer les gestes de bases afin qu’elle puisse elle-même savoir comment s’y prendre avec une femme. Je ne doutais pas de ses capacités à y arriver cependant. J’avais d’ailleurs frissonné à son passage dans mon cou adorant la sensation de ses lèvres sur celui-ci.

Elle eut la riche idée de me de me dire qu’elle était toute à moi ce qui me fit reprendre l’initiative prenant mon temps pour m’occuper de tout le haut de son corps de ses lèvres jusqu’à son ventre. Ma bouche passa sur chaque parcelle de peau nue et pris un malin plaisir à la faire gémir doucement. L’une de mes jambes s’immisça entre ses cuisses pour savoir où en était son taux d’excitation qui était déjà bien élevé à mon grand plaisir. Je continuais mes baisers avant de finir par m’arrêter voulant la prévenir une dernière fois que le retour en arrière ne serait plus possible une fois cette limite franchie. Ses yeux ainsi que sa bouche me firent comprendre qu’elle désirait cet instant plus que tout et que rien ne la ferait changer d’avis à ce niveau là.

Elle me disait de lui montrer mes talents, mais je n’en eus même pas le temps, vu que Cia enleva ma brassière sans concession et qu’elle commença à me masser la poitrine tout en m’embrassant. Je gémissais face à ses caresses tellement délicieuses. Jamais personne ne m’avait touché aussi bien qu’elle et encore moins avec tant de douceur et d’impatience mélangé. J’adorais ce petit geste qu’elle faisait avec son pouce sur mes tétons, cela me faisait frémir.

[color=purple]Moi aussi je suis folle de toi Ciara. Je te désire plus que tout au monde. J’ai bien l’intention de te faire connaître le bonheur à mes côtés et l’épanouissement sexuel aussi d’ailleurs ~[color] dis-je en rigolant.

Je frémissais face à ses caresses suivantes. Elle n’était pas du tout timide bien au contraire elle me caressait l’intimité au travers du tissu et je mouillais de plus en plus à cause de ses doigts. Elle fit aussi un sort à mes seins tout comme moi un peu plus tôt et je caressais ses cheveux lui intimant de continuer tout en gémissant un peu plus fort ? Je rigolais face à sa question avant de l’embrasser tendrement enlaçant sa taille.

Oui tu me fais un effet incroyable mon amour. Mais c’est toi qui va crier en première ma belle, car je ne suis pas du genre à me rendre sans me battre. Mais après on s’en fiche de l’ordre du moment que tu prends ton pied et moi le mie peu importe ma chérie.

Je m’emparais de nouveau de ses lèvres et inversait une nouvelle fois les rôles descendant sur son ventre pour le lui embrasser avant de faire glisser sa petite culotte afin de la mettre à nue pour de bon. Je décidais de la faire languir venant embrasser ses cuises avant de les lui lécher doucement tout en la regardant de façon intense et envieuse. J’aimais bien jouer de mes charmes et la taquiner de la sorte me plaisait bien. Je ne le ferais pas tout le temps, mais de temps à autre peut-être ~. Je finis par approcher mes lèvres de son intimité et avant qu’elle n’ait pu émettre la moindre objection si tant ai qu’elle en ait l’idée, je la fis taire en embrassant puis mordillant son clitoris avant de m’attaquer à ses lèvres intimes les dégustant avec attention avant de les écarter à l’aide de l’une de mes mains et de faire entrer ma langue en elle. Je ne savais pas du tout ce qu’elle penserait de tout cela, mais je verrais bien une fois que j’arrêterais.

Je me sentais tellement bien à cet instant. Chacune de ses caresses me faisaient vibrer comme jamais je ne l’avais connu. Aucune femme avant elle ne m’avait fait connaître un tel désir en seulement quelques gestes. Je voulais la sentir contre moi, sentir ses mains, sa bouche. J’avais envie de bien plus. Après toutes ces taquineries même si je l’avais voulu, je n’aurais pas pu faire machine arrière, elle me faisait beaucoup trop d’effet. Ce n’était pourtant pas mon genre de m’emballer de la sorte aussi vite, mais elle était différente et il était hors de question que je la laisse partir à présent. J’allais lui faire connaître la meilleure expérience de toute sa vie. Elle allait voir que quand on aime la personne c’était dix fois mieux.

En reprenant l’initiative, elle me dit d’ailleurs une nouvelle fois qu’elle m’aimait. J’étais si heureuse de l’entendre dire et je ne pourrais certainement jamais m’en lasser. Je lui répondais exactement les mêmes mots avec un regard amoureux. Elle s’occupa de moi durant quelques temps m’excitant davantage, mais je n’étais pas du genre à rester inactive et à attendre que ça passe alors. Surtout que cette petite coquine me provoqua encore plus avec une nouvelle question rhétorique. Je me fichais bien de qui crierais en premier en fait, mais je voulais vraiment qu’elle sache à quel point c’était bien avec une femme.

J’avais déjà connu des femmes m’ayant quitté pour des hommes. Mais elle je ne le supporterai pas alors je ferais tout pour lui montrer que je suis mieux que n’importe qui d’autre. Je laissais mes lèvres divaguer sur tout son corps durant quelques minutes avant de sentir sa frustration et de me dire que c’était le moment d’aller plus loin dans les sentiers battus. Je descendis donc au niveau de son intimité et commençais à m’exercer y allant de bon cœur léchant avec douceur. Puis une fois que j’entendis des gémissements, je fis entrer ma langue en elle. Elle gémit bien plus puissamment prononçant même mon nom ce qui me fit frémir une nouvelle fois. Ce que c’était bon d’être désire de la sorte.

Je sentais qu’elle ne tarderait plus à venir avec ce que je lui faisais. Elle était déjà en train de faire un sort aux draps du lit les tordant sans merci tandis qu’elle se mordait la langue. Elle était si sexy à ce moment là. Et elle avait un goût si délicieux que j’étais prête à faire ça un sacré moment. Mais je n’eus pas le loisir de continuer bien longtemps vu qu’elle s’éloigna elle-même de ma langue pour m’arrêter. Je me redressais sur les genoux le regard inquiet face à la situation. Et si ça ne lui avais pas plut ? Et si on était allé trop vite ? Et finalement elle dissipa le moindre de mes doutes en prenant mon visage dans ses mains et en me disant que je devais y aller doucement où elle allait jouir. Je rougis à cette remarque me sentant soudainement idiote d’avoir douté alors qu’elle avait l’air de prendre plaisir à la chose.

J’étais vraiment débile parfois. Heureusement elle était là pour me remettre sur le droit chemin. Elle voulait elle aussi participer et je comprenais. On était pareille toutes les deux. On ne supportait pas être inactives trop longtemps. En position à genoux nous nous embrassions une nouvelle fois mêlant de nouveau nos langues dans une danse avide tandis que ses mains vinrent caresser mon corps me faisant l’effet d’un électrochoc. J’adorais la moindre de ses caresses et quand je sentis l’une de ses mains passer la dernière barrière de tissu qui restait sur mon corps je souris avant de lâcher un premier gémissement à peine audible vu que j’embrassais toujours ma belle.

Elle finit par me faire allonger une nouvelle fois sur le lit appuyant ses gestes. Elle entra un doigt en moi tandis que son pouce titillait mon clitoris. J’agrippais sa crinière dorée, tandis que je rompis le baiser pour venir lui mordiller l’oreille.

Tu me rends folle Cia, j’aime ce que tu me fais jamais personne ne m’as fait autant de bien.

Je souriais avant de faire glisser l’une de mes mains au niveau de son intimité et de faire la même chose qu’elle. Je fis entrer un doigt puis un second en voyant son degré d’humidité. Je bougeais mes doigts de façon experte, les bougeant dans tous les sens ou les pliants en elle pour découvrir un quelconque point G. On était toutes deux entreprenantes donc la meilleure façon de se faire plaisir était de le faire ensemble et non pas chacune son tour. Je repris de nouveau ses lèvres tandis que je sentais venir la délivrance. Vu que ses parois se contractait elle ne devait plus être très loin non plus. Je n’avais encore jamais atteint l’orgasme avec quelqu’un, mais je pense que ça allait me plaire de partager ce moment avec cette femme si sublime qui était maintenant la mienne.

Jusqu’à maintenant, mes autres conquêtes avaient largement profité de moi. Dans le sens où je les comblais, mais que la plupart du temps moi je n’étais pas satisfaite. On me laissait sur ma faim. Mais Cia était différente elle voulait me combler et me faire crier pour elle alors je n’allais pas me faire prier ~.

Elle était si belle, si douce, si incroyable. Je n’avais jamais pensé rencontrer mon âme sœur dans un bar, mais ça ne me dérangeait pas bien au contraire. On peut se rencontrer n’importe où du moment qu’on se plaît et qu’on arrive à construire quelque chose de solide. Et je sentais que toutes les deux on irait très loin. On était liées j’en étais persuadée et peu importe ce que pourrais bien dire les autres, je ne laisserais personne me l’enlever. Elle avait été mon rayon de soleil à partir du moment où je l’avais aperçu à ce bar. Ma drogue à moi dont je serais toujours dépendante.

Quand je repris le dessus pour passer aux choses sérieuses j’étais bien décidée à lui faire connaître le plaisir intense de le faire avec une personne qui nous aime et que l’on aime en retour. Je ne savais pas combien de conquêtes elle avait eu, mais jamais personne pourrait faire aussi bien que moi j’en étais persuadée. Personne n’avait pu l’aimer au point que je l’aimais actuellement. J’étais charmée, fascinée par cette femme et je me fichais pas mal du fait qu’on s’était rencontrés y a genre quatre heures maximum. L’amour ça ne se contrôle pas et ça ne se contrôleras jamais. Mais quand il est là généralement on sent que c’est la bonne personne alors il ne faut pas la laisser partir. Il faut lui montrer qu’on est la meilleure personne possible pour elle. C’était bien ce que je comptais faire.

Cependant, quand je sentis qu’elle arrivait à la jouissance elle se retira et sur le coup je pensais avoir mal fait quelque chose. Mais elle me rassura assez vite et je m’en suis voulu direct après. J’étais bête de douter de son amour alors qu’elle ne cessait de me le déclarer à tord et à travers. Elle reprit assez vite le contrôle venant me caresser partout jusqu’à mon intimité y entrant un premier doigt tout en faisant glisser mon dernier bout de tissu. J’étais en tenue d’Eve en train d’être pénétrée par la plus belle femme du monde. Je ne pouvais pas être plus heureuse, d’ailleurs lors de notre baiser, je ne pus retenir mes premiers gémissements tellement j’adorais ce qu’elle me faisait.

Je lui fis part d’ailleurs de ce que je ressentais avant de finalement mettre moi aussi mes caresses en action venant vite entrer en elle à mon tour à l’aide de deux doigts. Je voulais qu’on vienne ensemble. Elle accentua ses caresses rajoutant un second doigt en moi tandis qu’elle prenait d’assaut mon corps. Mes seins, mes tétons, jusqu’à mon cou avant de finir sa course au niveau de mon oreille qu’elle se faisait un plaisir de torturer délicieusement avec sa langue et ses dents. Elle me faisait tellement d’effet, surtout au moment de la délivrance. Surtout que sa petite phrase m’embrasa encore plus et on finit par se lâcher toutes deux.

La chaleur explosa dans mon bas ventre tandis que ma belle étouffa mon cri grâce à ses lèvres qui m’assaillir sauvagement. Je la laissais faire lui répondant de façon aussi fougueuse. Malgré notre baiser, ça n’étouffas pas tout les cris et certains percèrent se dissipant dans la pièce. On sentait que notre ébat avait vraiment fait du bien. On s’était faite plaisir mutuellement et pour le coup j’étais crevée. J’aurais bien recommencé, mais il fallait être raisonnable et surtout que je n’étais pas en état en fait. On retirait doucement nos mains l’une de l’autre et je m’affalais sur le lit comme une grosse loque avec un large sourire jusqu’aux oreilles.

Elle s’installa près de moi et vint m’embrasser une nouvelle fois sur les lèvres de façon furtive avant de s’exprimer. Ce qu’elle me dit me fit vraiment plaisir et mon cœur déjà rapide à cause de l’effort accéléra de nouveau sa cadence face à cette déclaration des plus adorables. Je passais mes bras autour de son cou heureuse de l’avoir rencontrée.

Oui je suis prête à continuer pour toute la vie, parce que je ne me vois pas vivre sans toi non plus ma chérie. Contente que ça t’es plut, mais la prochaine fois je veux finir ce que je faisais avec ma langue ~.

J’acceptais son câlin tout en riant avec elle. Je caressais son épaule tendrement tandis qu’elle préférait les fesses ce qui me fit esquisser un nouveau sourire. Puis elle me demanda si ça ne me gênait vraiment pas qu’elle reste. C’était quoi cette question. Je posais mon front contre le sien.

Bien sûr que tu peux resté tu seras toujours la bienvenue ici. D’ailleurs vu que tu habites dans un hôtel, j’ai même envie que tu viennes t’installer directement avec moi. Me séparer de toi rien que pour la nuit ça me parait insensé déjà. Mais je ne veux pas te brusquer si tu trouves ça trop tôt prends ton temps, je t’attendrais aussi longtemps qu’il le faudra.

Je lui caressais la joue avant de poser de nouveaux mes lèvres sur les siennes en la prenant dans mes bras. C’est là que mon ventre cru bon de se rappeler à mon bon souvenir et grogna qu’il avait faim. Je soupirais et finit par rigoler.

Bon je crois qu’il est temps de manger après tout cet exercice physique je commence vraiment à avoir la dalle pas toi ?

Au final, ne supportant pas l’inaction l’une comme l’autre on finit par se caresser en même temps tout en s’embrassant. Elle me fit frémir de plus belle et parcourant mon corps de sa bouche une fois qu’elle se détacha de mes lèvres. J’étais assez fière de moi, car je l’avais rendue complètement accro à moi ça se voyait et le fait que nous fassions l’amour l’avais apparemment fait prendre conscience que c’était sa première expérience vraiment intense et délicieuse. Mais il ne fallait pas qu’elle s’inquiète à ce niveau là, quand une femme aussi belle était à mes côtés, il était difficile pour moi de ne pas la satisfaire à chaque fois qu’elle en aurait besoin. Alors je pense qu’à ce niveau là on devrait bien s’entendre. Comme sur le reste d’ailleurs, on était sur la même longueur d’onde. Après avoir fini par jouir quasiment en même temps laissant échapper quelques cris de plaisir non dissimulé.

Je m’allongeais ensuite ayant vécu un moment des plus magique en sa compagnie. Je n’avais jamais autant éprouvé de plaisir avec quelqu’un. Sûrement parce que j’étais plutôt du genre dominatrice et celles en face de moi soumise aux moindres de mes caresses. Elles ne pensaient pas à me les rendre après alors que Cia me les avais rendu les unes après les autres avec un doigté d’experte ~.

Maintenant j’étais allongée et elle me rejoignit assez vite en me demandant ce que j’éprouvais, je lui fis donc part du fait que je ne voulais qu’elle afin de la rassurer. Elle était devenue accro, mais moi aussi, alors elle n’avait rien à craindre, je n’irais pas voir ailleurs alors qu’elle était là toute à moi, car oui je l’avais faite mienne qu’en on y pense et j’étais encore plus fière de moi. Je parlais du fait que je voudrais terminer mon traitement buccal la prochaine fois et elle fut assez intéressée par ma proposition me disant qu’elle s’entraînerait sur moi également. Deux fois plus intéressant du coup, j’avais hâte de voir ce qu’elle donnait dans cette action, mais j’étais sûr que ce serait génial, car elle l’était.

Très bien, je te montrerais en détail la prochaine fois alors, tiens toi prête mon amour ~.

J’adorais quand elle me charmait de la sorte. Elle était si sexy de cette façon. Et puis le rôle de la charmeuse lui allait comme un gant qui plus est. Je lui caressais l’épaule tandis qu’elle baladait son pouce sur mes fesses avant que je prenne une mèche de ses cheveux afin de les embrasser doucement, lui proposant de venir carrément habiter ici, car je ne voulais pas me séparer d’elle et savoir qu’elle allait aller dans un endroit aussi impersonnel qu’un hôtel. Je sais que c’était tôt et je pouvais comprendre qu’elle dise non, mais après tout, on était tellement accro que j’avais quand même osé demander. Après à elle de décider de ce qu’elle voulait faire. Je souris face à sa réponse et l’embrassais tendrement sur les lèvres.

Je suis sûr qu’elle sera d’accord. De toute façon, vu que c’est moi qui l’héberge et qui paye la totalité des trucs je ne pense pas qu’elle dirait non. Ne t’inquiète pas après elle fait des tâches ménagères pour pallier au salaire en attendant de trouver un boulot. Je ne pense pas qu’elle y verra d’inconvénient et oui chaque murs sont insonorisés, on pourrait même le faire dans la cuisine, qu’elle ne nous entendrait pas à l’étage ~ dis-je en tirant la langue malicieusement.

Je la pris dans mes bras en l’embrassant, me disant qu’on aurait pu partir pour un second round avant que mon ventre n’émette un bruit de révolte. Je soupirais amusée avant de me détacher d’elle et de lui demander si elle avait faim. Apparemment, elle n’était pas affamée alors je me contenterais d’une salade composée afin de ne pas en faire pour un régiment.

Bien princesse, je vais aller nous faire une petite salade afin qu’on se sustente un peu.

Je souriais avant de me faire embrasser basculant de nouveau en arrière agrippant ses fesses au passage me disant qu’elle n’était pas la seule à pouvoir en profiter après tout.

Tout ce que tu veux ma chérie tu es ici chez toi à présent chaque pièce m’appartenant t’appartient aussi. Tu crois que c’est raisonnable de venir avec toi ? dis-je un grand sourire sur les lèvres.

En fait, je ne crois pas que ça l’était, j’étais fatiguée et elle aussi. Il faudrait que je ferme les yeux et je n’avais pas la tête à faire ça. Surtout que je voulais pouvoir admirer ma femme quand bon me semblait alors devoir fermer les yeux pour éviter de succomber à son corps de rêve. Je lui mordis l’oreille avant d’inverser les rôles et de me lever.

Aller à la douche, moi je vais préparer un encas. Mieux vaut être raisonnable pour ce soir ~.

Je me sentais vraiment bien avec elle. Quoique que l’on fasse, on était heureuse, se parlant, s’embrassant, se caressant. Qu’elle accepte ma proposition me paressait encore être un rêve, mais c’était bel et bien réel. Elle serait bientôt dans cette maison la plupart du temps et j’avais hâte que ce soit le cas de façon définitive. Que je puisse la prendre dans mes bras quand je le voulais que je puisse la gâter et encore pleins d’autres choses. Je lui fis part du fait que ma colocataire serait loin d’être contre cette idée et reprit sur sa taquinerie comme quoi on pouvait le faire n’importe où qu’elle n’entendrait rien depuis sa chambre. J’avoue que la cuisine, ça pouvait être très excitant comme endroit ~.

Elle me répondit donc qu’elle ne pouvait faire autrement que d’accepter la proposition de passer toutes ses nuits dans mes bras trop tentantes. Elle me fit d’ailleurs part du fait qu’elle ne resterait pas dans ce lit juste pour dormir et tant mieux, car ce n’était pas mon intention non plus de ne faire que pioncer, pas quand je savais que j’allais avoir la femme de ma vie coucher à mes côtés. J’aurais envie de la combler de toutes les manières possibles et imaginables ~. Et elle ne voulait épargner aucune pièce qui plus est de plus en plus tentant tout ça. J’allais finir par craquer et lui ressauter dessus si ça continuait.

Mais pour le moment j’allais me contenter d’aller faire à manger. Enfin, j’essayais de me dire d’être raisonnable ce qui n’était pas facile quand votre fantasme réel vous saute dessus et vous embrasse à pleine bouche. Surtout qu’elle voulait prendre une douche, ça ne tiendrait qu’à moi, j’irais sans me poser de question, mais mon corps était trop fatigué après tous ces efforts répéter. Mon travail consistait en beaucoup de terrain et donc de marche dans des lieux pas toujours évidents d’accès qui plus est alors j’étais fatigué. Surtout qu’en plus de ça, il fallait ajouter la danse en boîte et notre plaisir commun. Autant dire qu’il fallait que je me repose sinon j’allais passer l’arme à gauche plus vite que je ne le voudrais.

Je me levais après m’être séparé d’elle à contre cœur tandis que j’enfilais une chemise pour ne pas avoir froid. Elle me sauta au cou en m’embrassant avant d’annoncer sa douche et de partir dans la salle de bain tandis que je descendais préparer la salade. Je mis différents ingrédients dedans. Salade verte croquante, maïs, betteraves, poivrons, tomates concombres. Tout ce qui pouvait aller dans une salade quoi en rajoutant également des dés de jambon afin qu’il y est des protéines.

Je devais m’occuper, parce que notre soudaine séparation me laissait un vide dans mon cœur. Je savais qu’elle n’était pas loin, mais c’était le temps que je m’habitue vu que c’était tout nouveau. J’étais vraiment devenue complètement accro, alors que d’habitude, je n’étais pas du genre à rappeler ou quoi ou qu’est ce là, j’avais craqué à un point de non retour. Et je ne regrettais en rien mon choix, j’avais trop longtemps joué ne me permettant jamais une relation sérieuse, mais Cia était la bonne j’en étais persuadée. Ses yeux rubis si magnifiques qui me regardaient avec tant de convoitise ça me faisaient chaud au cœur. Et sa crinière couleur de blé si magnifique sans oublier sa petite mèche verte qui était originale et sortait du lot. Ça lui donnait un charme fou. J’aimais beaucoup cette petite mèche d’ailleurs, ça la rendait encore plus unique.

Je finissais la préparation me lavant les mains quand Cia apparut en serviette derrière moi en me demandant des vêtements. Je fis tous les efforts du monde pour ne pas lui sauter dessus et essuyait plutôt mes mains avant de la prendre dans mes bras en la voyant frisonner.

Si tu n’avais pas si froid je t’aurais bien dit de rester comme ça ~. Ne t’inquiètes pas la prochaine douche je ne raterais pas l’occasion. J’ai fini la préparation alors non pas besoin d’aide on va te trouver quelque chose à te mettre pour ne pas que tu attrapes froid. Viens suis moi je vais te donner ce qu’il te faut.

Je lui pris doucement la main et l’amena à l’étage avant de la lâcher et de fouiller dans un tiroir pour lui donner quelques vêtements.

Tiens et si ça ne te plais pas tu es libre de fouiller pour trouver ton bonheur mon ange tu es ici chez toi maintenant, tout ce qui est à moi est à toi et inversement.

Je l’embrassais tendrement sur les lèvres avant de redescendre mettre la table avant que l’envie de la déshabiller ne devienne complètement incontrôlable. Je redescendis en vitesse et sortais les assiettes, et couverts avant de les poser sur la table. Je sortais ensuite les verres et des serviettes avant de mettre la salade avec la vinaigrette que j’avais préparé à côté au cas où qu’elle n’aime pas. J’allumais ensuite des bougies pour que ça fasse un minimum romantique et une fois satisfaite j’attendis ma belle tout en regardant ce que je pourrais faire en dessert. Mais je pense qu’une boule de glace serait peut-être le mieux pour faire digérer et que ce soit pas trop lourd sur l’estomac.

Il fallait que je fasse des efforts pour ne pas succomber une nouvelle fois à ses charmes. L’idée de la douche était plus que tentante, mais je finis par me relever en m’habillant d’une chemise afin de couper court à mon désir. Je serais une grosse loque demain si je faisais trop de sport de chambre et ce ne serait pas vraiment pratique pour bosser…Enfin après moi ça me gène pas. Ce qui me gênerait le plus c’est qu’elle pense que je suis obsédée et que je ne pense qu’à ça alors que ce n’est pas le cas bien au contraire. Mais il fallait bien avouer qu’avec elle auprès de moi j’avais du mal à ne pas être tactile ce que j’étais très facilement et sûrement plus avec la personne qui m’est cher.

Je partis donc en cuisine tandis qu’elle allait à la douche. Sauf que je ne m’attendais pas à la voir redescendre en serviette de bain encore mouillée et ultra sexy. Là elle jouait avec mes nerfs ce n’était pas possible, il me fallait vraiment faire abstraction pour ne pas lui enlever ce tissu gênant et la prendre sur le bar de la table…Je me lavais les mains puis respirais calmement avant d’aller la prendre dans mes bras prenant plaisir à sentir son doux parfum et sa peau contre la mienne. Dieu qu’elle me manquait et ça faisait même pas une demi-heure. Autant dire qu’après le travail j’allais être terriblement en manque. Je me demandais si j’étais la seule à penser ça, mais elle ne serait pas comme ça si elle ne tenait pas à moi alors ça me rassura.

Je lui dis que j’aimerais bien qu’elle reste comme ça si elle n’avait pas aussi froid. Mais je finis par être raisonnable une fois de plus et l’emmena à l’étage là où elle pouvait trouver les habits qu’elle voudrait. Je lui sortis deux trois ensembles et lui dis qu’elle pouvait fouiller si jamais cela ne lui plaisait pas. Je redescendis pendant qu’elle s’habillait et préparais une table avec quelques chandeliers pour faire plus romantique. Certes, ce n’était pas un grand repas, mais je pouvais quand même lui donner une atmosphère douce et sensuelle. Elle arriva d’ailleurs quand je venais d’allumer la dernière bougie.

Je souris, car elle était vraiment magnifique. Peu vêtue, mais magnifique. Je la réchaufferais si elle le désirait et je suis d’avis qu’elle n’a pas choisi ses vêtements pour n’importe quelle raison. Un débardeur violet et un short noir, sexy, court et un appel au viol quoi… Je soupirais me disant qu’elle finirait par m’avoir à l’usure, mais c’était comme ça que je l’aimais séductrice et provocante jusqu’au bout pour me faire craquer. J’adorais ce petit jeu entre nous deux.

Oui un petit dîné en tête à tête. Tant mieux alors je ne vais pas me plaindre de prendre une nouvelle de tes premières fois. Sûrement que je suis celle qui t’aime le plus ~.

Je souris avant de m’installer tout comme elle. Elle ne me laissa pas le temps de faire quoique ce soit qu’elle me servit puis ce fut son tour. Elle avait l’air curieuse face à la vinaigrette. Une fois qu’elle en eut mis dans son assiette elle me remercia avant de commencer à manger.

Derien ma douce, c’est un plaisir. Pour la vinaigrette, c’est vinaigre balsamique, moutarde, huile, sel, poivre et miel. Un délice pour les papilles, car c’est un peu sucré tout en étant assaisonné comme il le faut.

J’espérais qu’elle aimait le sucré salé et si ce n’était pas le cas que je n’avais pas eu la main trop lourde sur le miel histoire qu’elle apprécie le repas. Je rigolais doucement en l’entendant et pris une première bouchée tout en réfléchissant à ce que je devais lui dire.

Habitue toi ma belle, je ferais tout ce que tu veux ~. Pour ce qui est de mes goûts j’ai un faible pour tous ce qui est plat sucré/salé et plat épicé donc après tu fais ce que tu veux qui comporte l’un des deux goûts. Mais concrètement je ne suis pas difficile, tu ne devrais pas avoir de mal à me contenter en plus si c’est fait par toi je suis sûr que ce sera un délice.

Je fis glisser l’une de mes mains sur la table afin de prendre l’une des siennes. Puis finalement, n’arrivant pas à résister à tant de tentation, je fis glisser ma jambe entre les siennes caressant doucement ses jambes du bout du pied dans un sourire plein d’arrogance et de fierté. Parfois j’étais une vraie gamine, mais je m’en fichais, j’aimais vraiment voir comment elle réagissait. Surtout que j’imaginais déjà bien comment elle réagirait. Je pense que j’allais aimer enfin si ce n’est le fait que j’annonçais ensuite le dessert arrêtant tout ce que j’étais en train de faire et me relevant. J’allais jusqu’au frigo et déposais l’assiette que j’y avais pris sur la table avec un saladier. L’assiette découvrait un brownie maison tandis que dans le saladier il y avait une crème anglaise pour adoucir le chocolat de ce dernier.

J’espère que tu es gourmande ~.

Encore une phrase à double sens, mais là encore j’étais fière de la prononcer attendant le verdict final.

Je sentais qu’avec Cia ma vie ne serait jamais plate et insipide, qu’il y aurait toujours du mouvement. Il faut dire qu’avec nos deux caractères bien trempés il ne pouvait pas en être autrement. Je savais aussi qu’elle m’aimait comme moi je l’aimais son regard en disait long sur ce qu’elle ressentait. Je me sentais tellement bien depuis que je l’avais rencontré ce soir. Si j’avais su je me serais blessé rien que pour qu’elle me porte secours. Sauf que ce n’était pas aussi simple en sachant qu’elle avait eu le job qu’aujourd’hui. Mais maintenant qu’elle faisait partie de ma vie, je ne voulais personne d’autres, elle était la seule avec qui je pouvais me projeter.

Je n’avais jamais réussi cet exploit avec une autre. Mais avec elle j’imaginais très bien un future mariage pourquoi pas au bord de la mer avec une arche fleurie et moi l’attendant à l’autel ou encore plus tard avec des enfants. Je me demandais si elle avait envie de tout ça. Parce qu’une relation stable ne voulait pas forcément dire que la personne voulait se marier et fonder une famille. Mais après quand on se sent vraiment bien avec la personne je pense qu’on a envie de toutes ses choses à un moment où à un autre. Je n’allais certes pas demander sa main dès ce soir, mais un jour c’était certain je le ferais et dans les règles de l’art.

Après l’avoir emmener dans la chambre afin de lui proposer des vêtements, je redescendis préparer une table pour notre premier dîner en tête à tête. Même s’il s’agissait de quelque chose de simple je voulais que ça ait une certaine signification et un dîner aux chandelles me paraissait être une bonne idée. Elle était la première pour laquelle j’étais prête à me mettre en quatre. Je voulais lui faire plaisir et lui montrer que je pouvais être romantique.

Elle arriva et parut vraiment touchée de cette attention. On se mit donc ç table et elle nous servit. Je mangeais tranquillement tout comme elle avant qu’elle ne demande mes goûts en matière de plats. Je lui dis mes préférences de goût sans pour autant dire un plat en particulier. Je n’étais pas vraiment difficile en fait. J’avais hâte de goûter sa cuisine d’ailleurs. Je finis par prendre l’une de ses mains dans la mienne ne supportant que peu de temps le non contact. Elle me fit part en souriant qu’elle savait qu’elle recette elle entreprendrait pour le premier coup. Celle-ci allierait mes deux saveurs préférées apparemment. J’avais hâte de voir ce qu’elle allait me faire ~.

J’eus une idée saugrenue ensuite et je l’appliquais sans attendre ayant hâte de voir sa réaction. Elle fut tout d’abord surprise de sentir l’une de mes jambes entre les siennes pour lui caresser les cuisses, mais elle ne se déroba pas pour autant. Elle me regardait rouge de gêne, trop mignonne, ça me donnait envie de l’enlacer. Oui j’avoue je l’allumais purement et simplement, mais j’adorais ça et je savais très bien qu’elle répondrait tôt ou tard. Au diable le raisonnable, je sentais qu’avec elle je ne pourrais pas l’être souvent…

Je finis par me lever pour aller chercher le dessert tandis qu’elle réussit tant bien que mal à finir sa salade. C’est sûr qu’avec ma jambe se baladant entre les siennes ce n’était pas très pratique. Je fis encore un commentaire à double sens et sa réponse fut tout aussi ambiguë que ma question, cela m’excitait de nouveau. Elle réussissait à me faire autant d’effet en seulement quelques paroles c’était dingue…Elle trempa son doigt dans la crème pour la goûter sauf que sa répartie suivante était bien plus intéressante que de manger un pauvre brownie.

C’est une idée très attirante en effet ~.

Je me levais donc rangeant le brownie dans le frigo et venant me rasseoir sur les jambes de Cia avec une nouvelle lueur de désir dans les yeux.

Pourquoi n’essayerai donc tu pas ce que tu voulais faire avec cette fameuse crème anglaise ? Je suis impatiente de savoir où tu veux la faire couler ~ finis-je par chuchoter à son oreille.

Je l’embrassais afin de briser les dernières défenses qu’elle aurait pu avoir.

Je voulais vraiment que chaque instant passer auprès de moi, elle soit heureuse et se sente unique au monde, car pour moi c’était vraiment le cas. Je n’imaginais pas faire ça pour quelqu’un d’autre qu’elle. Elle était la seule que je voulais garder au point d’être romantique alors qu’avant cela ne m’avait pas effleuré. Pas que je changeais quoique ce soit dans mon caractère, c’est juste que je n’avais jamais pensé à la romance avant aujourd’hui. Elle m’avait ouvert les yeux sur bien des choses et je ne serais jamais aussi heureuse que quand je me trouve à ses côtés.

Pour pimenter la petite soirée improvisée, je décidais de la provoquer avec ma jambe entre les siennes. Ce n’était que des caresses, mais derrière il y avait un brûlant désir pouvant se lire dans mes yeux. J’avais sorti le dessert afin que l’on se fasse plaisir, mais ma chérie était encore plus gourmande que ce que je pensais et je ne gardais donc que la crème anglaise sur la table étant impatiente de voir ce qu’elle ferait de celle-ci vu qu’elle avait d’autre idée en tête que de la faire couler sur du brownie. Je m’installais donc à califourchon sur elle et l’embrassais me faisant plus entreprenante que jamais afin qu’elle comprenne bien qu’en sa présence, raisonnable n’existe plus.

Nos lèvres eurent du mal à se détacher, mais je finis par les décoller pour savoir ce qu’elle me réservait par la suite bien trop curieuse et excitée par le tour qu’allait prendre la situation. Je souris en entendant sa remarque et vint lui mordiller l’oreille.

Depuis que tu es entrée dans ma vie, je crois que raisonnable a été rayer définitivement de mon vocabulaire ~.

Pour toute réponse, Cia commença de douces caresses qui furent de plus en plus frustrantes tandis que ses lèvres mettaient un temps fou à se mettre sur les miennes. Je me mordillais ma lèvre inférieure afin de lui montrer que je n’étais pas très patiente et elle finit par m’embrasser demandant très vite l’accès à ma bouche pour que sa langue trouve sa jumelle. Je la laissais faire me disant que ce n’était pas mal de temps à autre de se laisser faire. Je finis même par laisser échapper un gémissement quand son pouce vint effleurer mon intimité déjà bien excitée. On voyait sans mal que j’avais envie d’elle à nouveau et elle ne se priva pas de le faire remarquer.

Je mentirais si je disais le contraire, tu as sûrement du te rendre compte que je ne suis pas très patiente ma chérie. Ne me taquine pas trop longtemps sinon je vais finir par inverser de nouveau les rôles et je sais bien que tu préfères ta situation ~.

Je la sentis repartir à la conquête de mon corps in filtrant sa main sous la chemise et en me caressant de plus en plus vivement, massant ma poitrine ce qui me fis gémir  à son oreille, mais j’étais sûre qu’elle n’attendait que ça alors je ne fis rien pour me contrôler bien au contraire. Mon cou quant à lui était assailli par ses lèvres et je l’inclinais donc afin qu’elle ait toute la place désirée pour s’occuper de celui-ci. J’étais toute haletante de désir quand on finit par se relever afin d’aller droit jusqu’au canapé où elle me déposa afin de partir chercher ce qu’elle voulait : la crème anglaise. Je souris en la voyant avec celle-ci prête à la déposer sur mon corps. Je me laissais faire une nouvelle fois ayant hâte que sa langue nettoie chaque recoin de mon corps ~.

La crème tomba sur mon ventre et ma poitrine des zones bien stratégiques il fallait l’avouer. Elle commença à lécher ceux-ci une fois le saladier posé et je fourrais mes mains dans ses cheveux en l’encourageant à continuer de mes gémissements bien distincts. Elle était très douée avec sa langue et j’étais bien contente d’avoir été la première femme et  à être aussi la seule à avoir goûté à son expertise. C’était quelque chose que je n’avais encore jamais éprouvé étant toujours la seule à procurer le plaisir dans mes relations précédentes. Pour une fois, c’était dans les deux sens, Cia était là pour moi et elle désirait que je prenne mon pied moi aussi. En sentant que sa langue avait finit de tout faire reluire, ses doigts s’insinuèrent en moi avec une facilité déconcertante. Je l’enlaçais fort à cet instant voulant qu’elle soit le plus possible collée à moi.

Je t’aime ma Cia, je ne désire que toi et ce sera toujours ainsi.

Une fois contente d’avoir dit ses mots je l’embrassais longuement.

Cia était vraiment géniale. Une femme qui savait ce qu’elle voulait et en plus de ça qui savait également interpréter toutes mes envies. Je sentais qu’on était faites l’une pour l’autre et jamais au grand jamais je ne la laisserais partir sans me battre pour elle. Elle méritait qu’on se démène bec et ongle pour elle. Cela m’étonnerait qu’elle n’ait aucun prétendant à l’avenir vu comment elle était belle. Rien que dans le bar plusieurs regards étaient tournés vers elle, mais j’avais été la seule à oser l’approcher. Au final, je ne m’en plaignais pas vu ce qu’elle était en train de me faire à présent. Je pensais qu’on prendrait notre temps, mais nos corps s’appelaient et on avait finis par franchir le pas comme si on se connaissait depuis des années.

Comme quoi le coup de foudre ça tombe sur n’importe qui. Et ça nous fait parfois sauter des étapes. J’espérais que malgré ça notre relation continuerait à être magique comme elle l’était actuellement, car plus heureuse que moi à l’instant on ne faisait pas. Moi à califourchon sur ses jambes lui faisant une proposition osée et loin de lui déplaire vu sa réaction. Elle reprenait déjà ses caresses sur mon corps tandis que je l’embrassais. Une fois mon intimité à portée de main je réclamais plus, mais elle me fit clairement comprendre que c’était elle qui décidait. J’aimais cette autorité soudaine qui reviendrait sûrement vu qu’elle était une femme de caractère. Cela m’excitait encore plus ~.

Une fois amenée au canapé je m’installais confortablement tandis qu’elle allait chercher l’ingrédient de pure gourmandise pour la suite des événements. Je devais bien avouée que j’étais plutôt douée en cuisine, donc elle allait se régaler. Entre la crème et la saveur de ma peau, je pense qu’elle allait être satisfaite tout en se faisant un plaisir de me faire languir jusqu’à la dernière minute. Une fois la crème déposé à des endroits bien stratégique, c'est-à-dire nickel pour m’exciter davantage, elle se mit au travail. Elle lécha mes seins ainsi que mon ventre tout en pressant un doigt sur mon intimité avant de l’y faire rentrer sans attendre. Finalement, me faire languir n’était pas l’une de ses priorités. Loin de moi l’idée de me plaindre c’était juste parfait comme moment.

Je ne pensais pas qu’un moment aussi coquin arriverait si vite entre nous, mais c’était très agréable et elle avait l’air d’apprécier tout autant que moi l’instant. Je gémissais ne pouvant me retenir face à tout ce plaisir qu’elle me prodiguait. Je n’avais jamais ressenti autant de plaisir que maintenant. Mes partenaires faisant le strict minimum quand elle pensait à moi. Je vins même à l’agripper afin de la ramener le plus proche de moi possible. Nos corps collés je sentais ses formes et je n’avais qu’un regret qu’elle ne soit pas nue contre moi. La chaleur de sa peau me manquait déjà. Comme si elle avait lu dans les pensées elle s’éloigna de nouveau de moi et de mes baisers afin d’enlever ce bout de tissu bien encombrant avant de se remettre sur moi. Je gémis de contentement avant de l’embrasser de plus bel taquinant sa langue avec la mienne le plus souvent possible.

Chaque partie de moi qui était touché par ses mains baladeuses s’enflammaient. Je commençais à avoir vraiment très chaud et elle en était complètement responsable. Je voulais qu’elle éteigne ce brasier qu’elle avait allumé en moi car elle seule en serait capable à présent. Aucune autre personne pourrait me faire prendre un tel pied qu’elle le faisait. Je l’aimais à un point de non retour, à un point qui faisait que je ne pourrais plus jamais envisager ma vie sans cette femme si merveilleuse. Pourtant on s’était rencontré durant la soirée, mais mon cœur était déjà emprisonné et sien pour l’éternité. Ces trois petits mots qu’elle prononça suivit d’un je te veux eut un effet bien supérieur à un quelconque aphrodisiaque. J’étais à sa merci.

Je t’aime aussi Cia, je suis toute à toi prends moi autant que tu le désires, mais sache que j’en ferais de même pas la suite ~.

Elle se décala de nouveau et repris la crème pour en verser sur mon intimité. J’émis un hoquet de stupeur trouvant la crème vraiment froide, mais elle vint assez vite me réchauffer si bien que je ne m’en préoccupais que très peu. Elle vint lécher mon clitoris avec insistance me faisant fermer les yeux et apprécier le traitement. Puis elle descendit plus bas entrant sa langue en moi de façon lente et inexpérimentée, mais pour une première c’était vraiment pas mal. Je la laissais faire l’encourageant en caressant ses cheveux.

Continue Cia, j’aime ce que tu me fais, c’est tellement bon…

Et là elle accéléra le rythme ce qui me fit encore plus d’effet. Malgré le fait qu’elle débute elle avait vite compris comment ça marchait et c’était juste génial. Elle était la première à me faire un truc pareil si bien que je ne tins pas longtemps tellement je n’avais pas l’habitude. La jouissance arriva avant même que je ne puisse dire qu’elle venait et je m’étalais de tout mon long sur le sofa haletante.

Je prenais mon temps afin de respirer avant de me redresser et d’agripper ses cuisses pour la porter tout en me levant ma belle dans mes bras. Je montais les escaliers ne prenant pas la peine de cacher quoique ce soit et entrais dans ma chambre avant d’aller directement jusqu’à la douche dans la salle de bain.

Finalement, on va l’étrenner elle aussi ~.

Je souriais avant de l’embrasser et d’ôter son short inutile avant qu’elle ne se retrouve de nouveau nue contre moi.

Si tu veux arrêter c’est maintenant mon ange, parce qu’après je n’arrêterais pas tant que je ne t’aurais pas fait hurler comme il se doit dans cette douce ~.