Himitsu no Kii
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 Drogué ; individu coupé de la société car la came isole | Pv - Johan N. Stern

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MessageSujet: Drogué ; individu coupé de la société car la came isole | Pv - Johan N. Stern   Drogué ; individu coupé de la société car la came isole | Pv - Johan N. Stern EmptySam 28 Mai 2016 - 20:09

Tout le monde est persécuté par quelqu'un malgré toute la hauteur qu'un grade offre. Quand elle a commencé à travailler dans un magasin, sa condition désespérante fut celle d'un sous-fifre, contraint de se mettre au garde-à-vous au moindre appel du sous-administrateur délégué, même quand elle m'envoyait en l'air, condamnée, pour gagner sa croûte, à poursuivre jour et nuit ses débiteurs, persécuté par sa banque, ses collègues mais, surtoutsmes supérieurs. Arborer son téléphone, c'était ratifier son implacable marginalisation sociale.

And I need to save you, but who's going to save me? Please forgive me for whatever I do, when I don't remember you. Ce jour-là, c'était la douce mélodie d'un dessin-animé rétro qui la tirait des bras de Morphée mais, plus précisément son portable dont le vrombrissement faisait grésiller la mélodie. Fatiguée, les yeux cernés et le visage bouffi de sommeil, elle relevait la tête de l'oreiller avant d'attraper maladroitement le sujet de son réveil et d'observer qui en était l'auteur. Le grand patron du magasin. Le premier ministre au déléguation de l'anté-christ. Son doigt glissait sur l'écran du téléphone et elle répondit en se relevant doucement pour s'assoir dans son lit, les draps couvrant une partie de son corps. Un bâillement décrochait sa mâchoire et sa voix était rauque, sujette à quelques moqueries de la part de son supérieur mais, elle n'y prêtait pas attention. La relation singulière qui les liait, ce n'était que celle d'un employeur et son employé, rien de plus et de toute manière, elle ne désirait pas plus. Après une rapide discussion avec son interlocuteur, elle raccrochait en clamant les banalités mensongères habituelles. Un de ses collègues semblaient s'être blessé lors de l'utilisation de sa magie alors ; Jody était de remplacement. Magie de merde. Un petit sourire maussade s'esquissait sur son visage, elle n'était pas encore totalement réveillée. Les rideaux fermées donnaient une lueur orangée à la pièce, les rayons du soleil caressant le tissu. Quelle heure est-il ?

Sa vision floue était rétablie par le réveil. Après des tergiverses quand à l'utilité de travailler, elle réussit l'exploit de tirer son corps de la couette chaude et douillette qui l'enveloppait. Elle traînait son corps las jusqu'à la fenêtre qu'elle prit soin d'ouvrir avant de s'y accouder et de glisser l'objet phallique du délis entre ses lèvres ; une cigarette. Sur la bordure de pierre qu'arborait l'ouverture gisait des cadavres de mégots empalés dans son cendrier ainsi qu'un briquet bientôt vide. Cigarette allumée, première respiration, première bouffée qui permet d'affronter la journée. Peu à peu je sens la nicotine, le phénol, le butane et l'arsenic venir détruire ses poumons en échange d'un étrange sentiment de bien-être et de plénitude des sens. Elle recrâchait la fumée avant de réitérer l'acte qui amochait sa santé avant d'être veille. Je me souviens de ma première cigarette au lycée, quand les filles commençaient à se dévergonder. Une ellipse guidait ses pas jusqu'à la salle de bain qui jouxtait la chambre. Comme tout habitant, elle disposait d'un logement dont la superficie était proportionelle à son emploi. Le sien n'avait rien de grandiose.  Après une briève toilette, elle revêtit d'un pantalon beige, d'une chemise grise carrelée noire, d'un gilet lâche gris, d'un boxer, d'une brassière et d'une paire de baskets usées. Le travail oblige ; on sort les beaux habits. Elle se saisit de ses clopes, d'un briquet et de son porte-feuille avant de glisser le tout dans la poche arrière de son pantalon et de prendre la direction de la sortie.

Depuis le début de la journée, il ne s'était pas manifesté mais ; il arriva. Tardivement, violemment. Le manque lui saisissait l'estomac, le pressait, le violentait, elle eut un soubresaut de douleur avant de glisser une main autour de ses flancs comme pour le faire disparaître. Son bras couvrait son ventre endolori et elle reprit sa route, chancelante, tâchant d'oublier cette vive douleur. Tu as intérêt à te calmer et vite. Arrivée au magasin, elle s'y déplaçait avec l'expertise d'une danseuse dans son ballet. Les jeux vidéo n'avaient plus aucun secret pour elle et il fallait bien avouer que malgré sa timidité, elle appréciait conseiller les autres. Il était aux alentours de dix heures et son travail s'étendait jusqu'à dix-huit heures. La journée s'était déroulée sans accro, sans risque, sans drame, morne et monotone. Ses journées n'étaient plus celles d'avant, malheureusement. Le manque ne l'avait pas quitté, oscillant entre une douleur vive et une simple présence, marquée. Dehors, les nuages tâchetaient le ciel et cachaient le soleil pourtant, il faisait doux. Dans le centre-ville de Kousha, elle arpentait les rues jusqu'à rentrer chez elle dans la chaleur naissante du printemps. Pendant quelques instants ; elle appréciait sa vie, ce moment, cette île, ces habitants et ce, jusqu'à que le manque revienne comme sa bête noire. Une quinte de toux secoua sa poitrine alors qu'elle se déplaçait pour s'appuyer contre le mur d'une petite ruelle. La douleur dans son estomac fut soudaine avant qu'elle ne crâche une bile jaunâtre imonde.  J'en... ai... besoin. Son regard accrochait alors un jeune homme qui semblait la regarder voir, s'approcher. Avec dédain, elle lui adressa un regard noir avant d'être submergée par une nouvelle quinte de toux suivit du liquide, pressé de sortir. « Barre-toi de là, il n'y a rien à voir maugréat-elle en se tenant les côtes. »
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MessageSujet: Re: Drogué ; individu coupé de la société car la came isole | Pv - Johan N. Stern   Drogué ; individu coupé de la société car la came isole | Pv - Johan N. Stern EmptyMer 1 Juin 2016 - 0:03

Un autre jour de semaine, une autre journée bien remplie pour le jeune Néerlandais. Une journée de routine et de banalité affligeante, une journée de normalité, encore une. Comme chaque début de journée depuis qu’il avait été amené sur cette Île, depuis qu’il avait décroché cet emploi au lycée Danshi, il s’était levé au son doux et répétitif de son réveil matin. Il avait ouvert les yeux sur cette vision régénératrice du petit matin : sa si chère Elena. Son aimée aux cheveux d’ébènes et au regard d’océan encore voilé par l’heure matinale. Et directement, un sourire s’était épanoui sur son visage. Une fois encore, comme chaque matin, il se trouva chanceux. Chanceux d’avoir pu faire sa rencontre, chanceux d’être aimé de la sorte, chanceux de la savoir si compréhensive, chanceux de pouvoir juste s’endormir et s’éveiller dans ses bras, un rituel instauré dès la première nuit de leur relation. Depuis cette soirée où chacun s’était déclaré ne pouvant retenir les sentiments qui les unissait. Depuis un certain temps déjà, il partageait son existence avec cette étudiante en lettre, elle qui était encore son assistante et qui avait tout simplement ravi son cœur par la douceur et la grâce de sa personne. Il arrêta rapidement le rythme mélodieux et briseur de rêve pour ne pas la déranger plus que nécessaire et se glissa hors de la chaleur de son étreinte et de ses draps. Il déposa un tendre baiser sur son front, avant de s’échapper vers la cuisine pour préparer le café dont ils auraient bien besoin tous les deux. Puis, avant qu’elle ne s’éveille définitivement, le néerlandais se rendit dans la salle de bain pour ses ablutions matinales.

Un tout autre rituel qu’il avait dû mettre en place s’enclenchait alors. Encore maintenant, malgré les évènements de la Tour sans fin et son fantôme frappeur, il préférait la savoir endormie quand il se trouvait dans cette pièce. Car le temps de la discussion n’était pas encore arrivé, il n’avait pas encore eu le courage de répondre aux milliers de questions qu’Elena devait se poser à son sujet, et surtout sur son passé. Depuis la rencontre avec ‘Ghost’, ou du moins, cette apparition sortie des tréfonds de sa mémoire, l’américaine avait pu avoir un aperçu assez clair sur ce qu’il voulait lui cacher. Une bonne partie de son existence, concentrée en un peu plus de trois années où il n’avait plus été lui-même. Trois années de son adolescence, passés dans l’enfer de la drogue, des gangs et de la rue, cette vie qu’il avait embrassée de son plein gré à l’époque, trop bouffé par la colère pour voir une autre porte de sortie. Cette vie dont il était revenu marqué à l’encre sombre à même la peau. Depuis cette époque, ces dessins la parcheminaient, gravant cette passade pour l’éternité. Ses bras et son dos, noirci d’art de violence, ainsi que l’une ou l’autre cicatrice, d’altercation ou d’injection, voilà ce qu’il masquait encore à sa vue à elle, voilà ce qu’il avait réussi à lui voiler tout ce temps, voilà ce qu’il cachait au monde depuis tant d’années. Paradoxalement, il n’avait pas honte de son corps, il ne le pourrait jamais, ne fusse par respect pour celle qui lui avait permis d’ouvrir les yeux. Non, il appréhendait plutôt sa réaction. Pour lui, elle ne pouvait être que négative. Du moins, c’est ce qu’il pensait. Car, plus le temps s’écoulait, plus il découvrait à cette femme qui partageait sa vie une bonté et une compréhension si profonde qu’il n’en voyait la limite. N’importe qui d’autre se serait enfui en devinant ses anciennes fréquentations. Personne ne serait resté pour une histoire ne datant que de quelques mois. Mais, pas Elle. Non, pas Elle, pas Elena. Elle attendait, patiente, qu’il soit prêt à lui faire part de tout ça. Elle attendait que ces mots bloqués dans sa gorge ne sortent d’eux même. Pour tout ça, Johan se voyait se convaincre un peu plus chaque jour de lui dévoiler ses bras, de lui dévoiler toute la vérité, si sale et dérangeante pouvait-elle être. Après tout, par respect pour elle, par respect pour eux, il ne pourrait garder ce statu quo beaucoup plus longtemps. La providence avait fait que sa bienaimée n’avait pas été curieuse de découvrir ces parties de son corps. En réalité, il la savait trop timide et réservée pour le faire. Et il avait pu user de ce temps supplémentaire pour s’habituer à cette perspective future.

Et encore ne fois, il songeait à tout ça sous la douche. Durant ces instants de solitude où l’eau chaude dégoulinant sur la peau devient étrangement à la fois le meilleur des psychologues et la meilleure des thérapies. Quand il eut terminé, il s’habilla, un simple jean’s et une chemise blanche, toujours à manches longues, toujours accompagnée de ce gilet vert tendre, malgré que le temps se faisait plus clément. Tout était bon pour masquer aux yeux des autres, et surtout de ses élèves, ce qui courrait sur sa peau. On ne pouvait être trop prudent, après tout. Même si tout ceci faisait partie de sa vie privé, il ne doutait pas que cela mettrait un certain coup à la réputation de l’école, et à la sienne.
Une fois sortis de la salle de bain, il se rendit dans la cuisine où il prépara tout ce dont ils auraient besoin pour petit-déjeuner. En réalité, il s’avait bien qu’il devait être le seul à se lever ce matin, son Elena ne débutant pas ses cours si tôt, aussi laissa-t-il simplement un petit mot doux, à côté de sa tasse pour quand elle se lèverait. Après une solide collation accompagnée d’un café assez bien sucré, il se glissa dans la chambre et finit d’éveiller son aimée par un tendre baiser. Une ou l’autre parole échangée, un simple ‘au revoir’, un simple ‘à ce soir’, et il sortit de leur appartement, direction son lieu de travail.

Il avait la chance d’habiter proche de lu lycée, puisqu’il résidait ans l’un des logements de fonction mis à disposition des enseignants. Aussi c’est à pied qu’il se rendait dans le temple de la connaissance, sa mallette un peu désuète en main. Il n’était pas reconnu comme étant le plus moderne des professeurs, et recevait bien volontiers les petites taquineries qu’il pouvait entendre à ce sujet. Simplement, il s’en fichait, et ne changerait jamais ce qu’il était pour de ces paroles adolescentes. Une longue journée de cours l’attendait, où il enseignerait son savoir avec envie et passion, tout en gardant en mémoire que peu de ses élèves avaient une réelle passion pour la biologie. Qu’à cela ne tienne, du moment qu’ils pouvaient retenir une petite chose de son cours, il en serait content. Doucement mais surement, il arrivait à la fin de sa première année d’enseignement. Pour sûr, il s’était bien amélioré depuis le mois de septembre. Plus sûr face à sa classe, plus assuré dans ses propos, ses préparations de cours se faisaient de moins en moins à la dernière minute, tout comme ses corrections et ses photocopies. Il lui avait fallu un certain temps d’adaptation, mais il s’était découvert une véritable passion pour l’enseignement. De quoi exorciser un peu le fait que lui-même n’avait jamais pu mettre les pieds dans un lycée ‘normal’ et même si celui-ci ne serait jamais tout à fait dans les normes, il s’efforcerait de faire en sorte que tout se passe bien pour tout le monde.
Petit à petit, il entrapercevait l’espoir, celui d’une vie où il n’aurait plus à se soucier de ses anciennes fréquentations, celui d’une vie où il pourrait simplement être heureux, entouré des personnes qui comptait pour lui. Ah ! Il avait encore tant à faire pour se reconstituer un vrai réseau d’amis. Mais désormais, sur cette Île où il était retenu de son plein gré, il avait tout le temps dont il avait besoin et se laissait porter par le mouvement.

Sa journée de cours terminée, Johan enchaina avec quelques leçons de rattrapage à dispenser à certains de ses élèves en retard, ou arrivé en cours d’année. Pour beaucoup, ce n’était pas aisé de s’intégrer. Certains ne parlait pas un mot d’anglais, d’autre avait été arraché à une existence difficile ou simplement à une famille aimante qui leur manquait. Lui-même devait faire un effort quotidien pour s’exprimer en anglais, pour masquer, atténuer un maximum, son accent néerlandais. Pour l’instant, il n’avait rencontré encore personne d’autre venant de son pays d’origine. A croire qu’il était le seul être doté de magie de ce pays… Mais il savait pertinemment que non. Ces heures supplémentaires le firent quitter le lycée un peu plus tard qu’à l’accoutumée, et il avait hâte de rentrer auprès de son Elena. Toujours à pied, il s’en retourna en direction de son chez lui. En ce jours de printemps, le temps n’était pas très clément et des nuages menaçait de larguer pluies et vent sur la citée. Cependant, la température ne suivait pas, restant très douce. Le néerlandais, loin de s’en inquiéter, leva un temps le nez au ciel, et prophétisa en son for intérieur l’arrivée d’un orage. Il ne pouvait le savoir, mais dans sa région natale, c’était souvent ce cas de figure : une journée de beau temps suivie de l’arrivée des nuages menaçant et la température qui se maintenait, c’est que l’orage menaçait, voir la tempête.
Alors qu’il s’avançait dans le centre-ville de Kousha, ayant certes hâte de rentrer mais ne se hâtant pas plus que d’habitude, son attention fut captée par un son répétitif et étouffé, s’échappant non loin de lui. Interloqué, il se stoppa et balaya les alentours de son regard de vert et de brun. Ses yeux s’accrochèrent alors sur une petite silhouette de beige et de grisaille. Là, au coin d’une ruelle, se retenant au mur de brique, une jeune femme lui semblait assez mal en point. Elle toussait, retenant ses côtes de son bras. Cela n’aurait pu être d’un rhume, mais sa posture et son intuition lui susurrait que cela n’en était pas le cas. Il n’eut pas besoin d’autre raison que celle de proposer son aide pour s’approcher d’elle, un voile de soucis sur le visage. D’une voix qu’il voulut douce et rassurante, pour ne pas brusquer ce petit bout de femme qu’il dépassait d’une bonne tête et demie, il s’adressa à elle.

« Excuse-moi, Est-ce que tout va bien ? Tu ne me sembles pas en grande forme. »

La réponse qu’il reçut ne fut pas vraiment dans ses attentes. Contrairement à sa modeste stature, la demoiselle lui rétorqua sèchement, balayant d’un revers de main le code des politesses d’usage. Mais c’était bien mal le connaitre de penser que cela suffirait à le faire partir. Après tout, il en avait vu d’autre et pouvait bien encaisser deux-trois mots bien sentis, sans pour autant prendre la mouche. Aussi décida-t-il d’ignorer ce ton désagréable, préférant mettre ça sur le compte de la douleur pour l’instant. Souhaitant capter son regard au mieux, son attention au minimum, il s’était posté face à elle, ignorant la bile maculant le sol qui les séparait.

« Au contraire, tu as l’air d’avoir besoin d’un peu d’aide… » Il marqua un pause, profitant pour la détailler un peu mieux et ajouta, souriant, comme toujours. « Je m’appelle Johan, j’habite à Kousha. »

De cette façon, il espérait un peu la faire réagir positivement, lui montrer qu’il n’était pas d’une espèce de taré venant profiter de sa détresse d’une quelconque façon. Après ses quelques observations, il lui parut assez évident que l’estomac de la jeune femme était le problème. Des crampes ? Et assez violentes pour lui arracher sa salive. Il avait un petit « truc » pour ça, appris de sa grand-mère, et testé sur lui-même durant une période à laquelle il n’aimait pas trop songer. De façon tout à fait naturelle, il libéra sa magie, compagne et amie de toujours. Son regard balancé vira alors à l’argent cendré. Il n’avait pas peur de montrer ainsi son don, sachant pertinemment que, sur cette Île, seuls les possesseurs de magie étaient acceptés. De sa main à plat émergèrent comme du néant des petites feuilles ovales et pétiolées. Légèrement rugueuses au toucher, il en saisit une entre ses doigts fins et la froissa. Immédiatement, une odeur citronnée se répandit dans l’air.

« La mélisse est connue pour calmer les maux de ventre quand on les mâche. Peut-être que cela pourra t’aider un peu, en attendant de trouver une vraie pharmacie. »

Il n’était pas médecin, et ne prétendait pas d’être d’ailleurs. Mais sa solide connaissance des plantes quel qu’elles soient lui permettait de soulager quelques tracas du quotidien. C’est ce qu’il espérait faire pour elle.

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