Capucine Ariette ♀
Lyon, 13 juillet 1999 • francaise • hétérosexuelle • dessin, chant, et la fête • rajin • miku hatsune
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
“Tu me cherche? Tu me trouve.”
Oui, cette phrase la représente bien. Capucine pourrait être l’exemple parfait de l'ados rebelle en pleine crise. Pourtant, ce côté dur à cuir vient d’autre chose. Elle ne s’est jamais bien intégré au mode de vie de la société. Elle cherche en vain une philosophie plus intéressante et à pour habitude de traîner avec des plus vieux, trouvant la maturité des gens de son âge pas assez développé. De ce fait, elle à fait des expériences un peu tôt. Elle à bus pour la première fois à 12 ans, à tirée sa première taffe à 13 ans…
Mais elle sait aussi être pleine de compassion et son contact avec les autres à toujours été très développé. Car elle possède la capacité étonnante de trouver les mots.
En fait, Capucine à beaucoup de charme, malgré son caractère de cochon mal réveillé. Elle à tendance à jouer le rôle de la grande soeur qui pète les dents pour ceux qui n’ont pas la force de le faire. Oui, elle a déjà frappé. Mais elle a aussi été frappé.
Sa relation avec les professeur a toujours été un peu compliqué, elle a de bonne note mais semble ailleurs et ne s’intéresse nullement au cour. Ses parents lui on fait sauter une classe, pensant que cet ennuis venait d’un côté surdoué, mais ses notes sont tombé à tout allure et elle a finit par redoubler. Le seul cour qui ai réussit à intéresser Capucine est celui d’anglais. Même si ce n’est pas réellement le cour qui attirait son attention…(voir histoire)
Le point sensible se Capi ?hum… Je dirait son côté susceptible. Trop susceptible.
La jeune fille n’a jamais accepté le reproche, pensant toujours que on ne devrait pas en faire tant que nous n’avons pas rectifié nos propres défauts. Certes, sa justification part d’une assez bonne idée cependant sa susceptibilité est a un stade étonnant et il suffit d’un seul mot de travers pour qu’elle s’emporte. A ce moment là, mieux vaut ne pas être dans les parages! Capucine peut être une vraie furie. Il lui est même arrivé de plaquer son camarade de classe contre le mur parce qu’il lui avait dit qu’elle ne savait pas manipuler le TP. Bref, mieux vaut éviter de la provoquer, même si parfois il faudrait sincèrement la remettre à sa place.
Vive d'esprit, mais aussi très sportive, elle est entraînante et joue souvent le rôle de leader. On lui fait facilement confiance et elle abuse parfois de cette dévotion. En fait, elle a le profile parfait de la fille que on admire. Elle fait un peu de tout les sport, est souvent bénévole dans des festivals, a de bonne notes... Mais pourtant, Capucine est loin d'être parfaite. Suceptible, capricieuse, brusque... je pourrais voter encore bien d'autre de ses défauts mais la liste risquerait d'être longue.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Capucien utilise ses mains et ses doigt pour joeur avec son pouvoir. Elle l'utilise souvent mais le cache au grand jours, de peur de la réaction de ses parents.
• Affinité : La jeune fille aime énormément sa magie qui la rend différente des autres.
DESCRIPTION PHYSIQUE
Comment décrire Capucine?
En premier, je parlerais de ses cheveux. Elle les as assez long, raide et fins avec une frange courte qui retombe sur ses sourcils. A 11 ans, elle les tint en bleu turquoise, au départ pour choquer ses parents mais finalement cette couleurs lui plaît bien et elle les gardes comme ça. Depuis, elle a oublié ses cheveux naturels.
Quand elle agite sa tête, ses mèches fines virevoltent et créent des reflets qui leurs donne une apparence de joyaux.
Elle est assez jolie, mais ne représente pas la beauté apprécié à notre époque. Cependant, elle a un certain charme qui ne laisse pas indiffèrent.
Ses yeux sont la deuxième chose que on remarque. Ils sont grand, légèrement en amande, et d’un bleu turquoise similaire à ses cheveux. Son regard est pétillant et plein d’émotion.
Son visage est fins, laissant ressortir ses petites lèvres rosées, vient déposer des pommettes colorés au dessus des légères fossettes qui se dessinent quand elle sourit.
Elle est de taille normal, 1,67m pour 57 kg. Son corps et lui aussi fins mais laisse cependant place a des formes féminines de taille moyenne. Cependant, avec son look de punkette, elle parait plus épaisse et plus forte. Sa famille a honte d’elle. Elle est “l’anomalie” perturbant la classe habituelle résignant au sein de ce que Capucine appelle “la secte des aveugles” (ou sa famille)
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
“ La vie n’est pas un long fleuve tranquille “
Sébastien Ariette était un homme d’une trentaine d’années. Il n’était ni beau, ni laid, mais possédait un certain charme qui faisait fondre les femmes. C’était d’ailleurs comme ça qu’il avait rencontré Martine Aubin, sa fiancée. Tout deux étaient des gens ordinaires, qui menaient une petite vie tranquille sans penser ne serait-ce qu’un instant à ce qui pouvait se passer au-delà des frontières de leur jardin. Ils étaient le couple idéal. Vous savez, celui que l’on décrit dans les livres aux fins heureuses ? À vrai dire, il ne leur manquait plus qu’une seule chose. Un enfant.
Octobre 1998, Amérique du Sud
Le petit bateau flottait en silence sur les eaux calmes du fleuve, n’osant pas troubler l’harmonie des lieux. Il y a un mois de cela, le petit couple s’était marié à New-York sous les lumières de la grande ville. Madame Aubin, la mère de Martine Aubin, leur avait offert une lune de miel peut ordinaire. En effet, le voyage constituait une traversée de l'Amazone en bateau. L’idée n’avait pas révélé un grand enthousiasme chez les jeunes mariés, pas vraiment fan d’aventure dans des terres non civilisées. Mais comment refuser une lune de miel offerte par votre belle-mère ? Évidemment, c’est une opération délicate et le couple préféra ne pas s’y risquer. C'est donc comme ça qu’ils se retrouvèrent à parcourir les flots des eaux dites “indigènes”.
La nature offrait une symphonie sauvage douce et agréable aux visiteurs peu à l’aise dans cet environnement. La traversée prendrait bientôt fin au plus grand bonheur des jeunes époux ravis à l’idée de retrouver leurs maison neuve bâtie au centre de Lyon. Mais à trois jours de la fin, une surprise inattendue s'offrit à eux. Madame Ariette était enceinte.
13 juillet 1999, hôpital de Lyon
Un pleur résonna dans l'immense allée de l'hôpital, troublant le calme régnant dans la nuit.
Une petite fille est née.
L'accouchement est terminé et Martine peut enfin souffler. Elle tombe sur son lit, épuisé et ruisselante de sueur. Jamais elle n’aurait pensé que l’épreuve fut si dure. Elle pose son regard sur la petite chose qui s’agite à son sein. Elle lui parait si fragile et si belle, c’est un petit bourgeon qui donnera très bientôt une belle fleur.
-Martine!!
La jeune femme lève la tête et aperçoit son compagnon affichant une mine inquiète. Pendant tout ce temps, il avait attendu dehors sous la demande de Martine. Elle ne souhaitait pas qu’il la voie ainsi.
Elle lui sourit faiblement et lui montra la petite. Les yeux de Sébastien s’illuminèrent et il s'approcha, mais n’osa pas la toucher, de peur de mal s’y prendre.
Martine Ariette lui pris la main pour le calmer.
-Tu sais, j’ai déjà réfléchi à un prénom. J’en ai cherché dans des livres exprès, mais je pense que celui qui lui est destiné ne se trouve pas là.
Son mari la regarda, curieux et attendis qu’elle reprenne.
-Je suis tombé enceinte durant notre lune de miel. Tu te souviens de la fleur que j’aimais tant là-bas?
- ... La Capucine ?
-Capucine… Oui, c’est ça. Ne trouves-tu pas que ça ferait un joli prénom ?
Sébastien resta un moment sans comprendre. Dans sa famille, ils donnaient le nom de la grand-mère à la première fille. Il aurait donc été logique que leur enfant s’appelle Madeleine. Mais au fond, Capucine lui plaisait bien et il trouvait que ce nom allait parfaitement à la petite chose si envoûtante qui venait de naître. Au diable les traditions, il était temps de mettre un coup de neuf à tout cela.
C’est ainsi que la petite fut baptisée Capucine.
Plusieurs années après…. Capucine était installée à son bureau, un crayon à la main et une tonne de devoirs sur le dos. Elle avait maintenant 16 ans et trouvait qu'une ados de son âge avait mieux à faire que de rester collé à des exercices sans intérêt qui ne lui serviraient jamais quand elle serait adulte. C’est donc à contre cœur quelle sortie son agenda Pusheen de son sac. Math, français, histoire et art… Art ? Il était rare qu'un professeur quel qu'il soit enseignant cette matière donne quelconques devoirs. Elle décidait donc de se pencher sur cette matière ludique pour commencer en douceurs. “ Art : représenter ce que nous sommes dans une œuvre grâce à des éléments de notre passé” . Capucine ne se souvenais même pas d'avoir écrit ça. D'ailleurs, ce n'était pas son écriture. C'était sûrement Alice qui lui avait recopié les devoirs, comme elle le faisait si souvent. Alice était une fille banale avec un petit penchant intello qui la rendait peu sociable. Elle s’était rapprochée de Capucine en lui faisant ses devoirs et en lui écrivant des notes pour les jours ou la jeune fille avais la tête ailleurs. Mais Capucine ne portait pas de réelles attentions à la petite surdouée qu'elle considérait surtout comme “la fille qui veut se faire des amis”. Plus d’une fois elle se dit qu'elle devrais essayer d’être plus attentionné envers cette pauvre demoiselle qui faisait de son lieu pour se faire accepter, mais elle avait beau essayer, Alice était trop passive et soumise pour qu’elles puissent s'entendre en amies. Capucine était une dure à cuir, rebelle et rêveuse qui avait tendance à s’emporter et à être un peu trop grande gueule. Cependant, elle avait une certaine popularité qui restait un mystère pour elle. La jeune fille referma son agenda d'un coup sec et s’adossa confortablement contre sa chaise. Elle réfléchit à son thème d'art plastique. Premièrement, il lui fallait représenter comment les autres la voyait. La première chose qui lui vint à l'esprit fut l’acrostiche qu’elle avait réalisé en CM2. La maîtresse leur avait demandé d'en faire un sur notre voisin de table. Elle se souvient encore parfaitement de celui fait à son attention.
Capricieuse
Affirmée
Prétentieuse
Unique
Colérique
Intelligente
Nul
Entêtée
Voilà comment des “amis” de la primaire la voyait. Au collège, tout devint différent. Avec son look bien à elle et des cheveux bleus, les gens la trouvèrent “classe”. Elle supprima l’acrostiche de sa liste, et se remit à chercher. Et puis merde ! Ces devoirs ne servaient à rien, à part à lui prendre la tête.
Elle se leva pour s'étirer quand son téléphone se mit à vibrer. Anaïs. À 23h28, ça ne pouvait être qu’elle. Anaïs était une amie plus âgée qui traînait avec une bande pas très nette et qui s'était prise d'affection pour la jeune Capucine. Elle lui avait proposé plus dune fois des plans foireux et Capi redoutait chacun de ses appels. Au bout de la troisième sonnerie, elle décrochât, regrettant déjà son geste.
-... Bonjour Anaïs. Tu sais quelle heure il est ?
-Oh, fait pas ta rabas joie, je sais très bien que t’es même pas couché!
Capucine soupira. Elle ne savait pas mentir et elle redoutait une crise le son amie si elle lui
mentait.
-Qu'est ce que tu veut, Ana?
-En fait on sort en boite avec des potes, ça te dit de venir ?
-... En boite ?
-Attend, Enzo me parle, rejoins nous au 17 rue de beau lieux! salut!
Tuuuuut, tuuuuut, tuuuut. Elle avait racroché. Apparemment, elle ne lui laissait pas vraiment le choix. La jeune fille se traîna jusqu'à son miroir. Elle ressemblait vraiment à une geek qui vient de passer 9h devant son écran. Capucine savait très bien que si elle y allait comme ça, les cheveux en bataille et un jogging troué, Anaïs la tuerait puis la traînerait jusqu'à chez elle pour lui mettre une robe moulante et des talons. Beurk. Mieux valait se changer maintenant, il était hors de question qu'elle porte ce genre de vêtement que les filles aimaient tant. Elle choisit un t-shirt en dentelle blanche et un short déchiré, enfilât des doc martens et sa veste en cuir, puis descendit doucement les escaliers, espérant de tout son cœur que le grincement du plancher ne réveillerait pas des parents. Une demie heure plus tard. Des voies se firent entendre au bout de la rue Beaux Lieux. Capi savait qu’elle était arrivée à destination. Ses “amis” l’accueillir avec grand enthousiasme, pressés de se rendre en boite de nuit. Ils partirent devant, et la jeune fille les suivit malgré elle, d’un pas traînant. Le froid était saisissant et un frisson la parcourut. Chaque fois, c’était la même chose. Dehors, la température était celle d’un frigo, mais à l'intérieur, on se serait cru en Afrique. Résultat, on avait 99 % de chance de chopper un rhume. Enfin, les lumières des projecteurs de la boite de nuit apparurent, de même qu’une foule incroyable. Plus elle se rapprochait, plus la musique dansante attirait son corps impitoyablement, lui ordonnant de se trémousser au rythme des basses. Les vigiles les laissèrent rentrer sans rien demander, comme souvent quand un joli groupe de fille entrait dans la discothèque. Une fois dedans, le son enveloppa Capucine et l'entraîna dans une danse incontrôlable.
ses pieds commencèrent à frapper le sol, entraînant au fur et à mesure tout son corps dans une ondulation rythmé. Les enceintes diffusaient une musique de Prodigy résonnant dans toute la salle, passant d’une personne à l’autre comme un balle rebondissante poussant chaque personne dans une bulle reculé, enveloppant chaque corps d’une aura envoûtante ne laissant plus de place à leurs propre volonté. Capucine sentait chaque recoin de sa peau frémir sous les fumigènes et la transpiration ambiante. Elle touchait sans cesse des personnes qui lui étaient inconnu, rependant sa fougue avec des gestes gracieux et hargneux à la fois, bougeant chacun de ses membres sensuellement, agitant ses cheveux bleu dans l’air enfumé de cigarette. Elle était un feu follet infatigable et hypnotisant, qui entraînait les gens se trouvant près d’elle dans une frénésie d’une force incroyable. Autour d’elle, on s’était écarté pour lui laisser la place. Plusieurs hommes avaient tenté de s’approcher mais elle était intouchable et sa danse enflammée ne prendrait fin qu’a l’aube.
4h 39
Une main vint tapoter son épaule. Anaïs.
Eh Capi, on vas devoir y aller, les vieux de Samuel vont débarquer, ils on trouvé ou on était et on risque d’avoir des problème si ça se sait que t’es venue avec nous. Désolé meuf.
Capucine s'arrêtât net. Elle aussi risquait d’avoir de gros ennuis, ses parents étaient strict, chic, et détestaient que leurs fille fréquente cette bande. Ils auraient tout donné pour la voir jouer du piano et se marier avec Albin, le fils du meilleurs ami de son père, un petit “fils à papa” avec une tête de monsieur je-sais-tout et une horrible coupe vieillote.
Elle quittât les lieux en vitesse et une demie heure plus tard, elle était couché, comme si la soirée s’était évaporée en un instant.
Cette nuit là, elle fit un rêve étrangement réaliste. Capucine se trouvait dans son lycée en compagnie de son professeur d’anglais, M.Lindberg.
Il faut savoir que leurs relation n’était pas réellement celle habituelle du prof/élève. Ils avaient éprouvés des sentiments l’un pour l’autre, sentiments qu’ils avaient refoulés et caché à l’autre, sachant très bien qu’ils ne pourraient jamais aller loin. Mais récemment, tout avait changé. Ils leurs avaient suffit d’un moment seul pour que tout dérape. Même si déraper n’est pas le mot exact. Bref, ils s'étaient laisser aller à leurs désire, et depuis ce jours, ils se fréquentaient parfois en secret, profitant de chaque instant en compagnie de l’autre.
Son rêve dérivât ensuite sur une scène, qui cette fois encore lui était familière. Elle se trouvait dans sa salle de bain, une boule d'électricité grésillant entre ses mains. Voila encore une chose à savoir. Depuis près d’un ans, Capucine avait découvert cette étrange capacité de pouvoir jouer avec les réseau électrique. Elle s'exerçait en secret, sachant très bien que cette anomalie était hors de portée de la compréhension de ses parents qui avaient tendance à ne pas voir plus loin que leurs bout du nez.
Soudain, son rêve se stoppât et laissât place à un noirs total.
Quand Capucine se réveilla, elle était étendue sur du sable fin, coiffée et maquillée. Son premier réflexe fut de se pincer pour se réveiller. Son deuxième fut d’éclater de rire et de sauter dans l’eau salée. Elle ne savait pas pourquoi ni comment elle était arrivée là, mais elle avait la certitude qu’on lui offrait une deuxième chance de tout recommencer. Où qu’elle soit, elle n'essayerait pas de rentrer. Elle vivrait à la rue s'il le fallait, mais le fait qu’elle se soit retrouver là était un signe qu’il fallait saisir. Elle n’aurait qu’un seul regret, le professeur Isaac S.Lindberg.
DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : yoyo ou yook
• J'ai : 13 ans
• J'ai connu le forum grâce à : top site
• Je pense que le forum est : toujours aussi farfelu x3
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : #Jessy valide ♪
• J'aimerai ajouter que : facultatif ! n'hésitez pas à préciser si vous avez des horaires contraignantes, des problèmes de dyslexie, une connexion pourrie, etc...