quand les chiens jouent au chat [Minho & Miki]

Shhhhhhhh.....
Un frisson me parcour. Où suis-je ?
Shhhhhhhh.... Encore ce bruit. Il me rappel quelque chose, un son familier. Celui de l'écume des vagues.
C'est étrange... J'ai l'impression que mon corp est humide. Peut être me suis-je endormie lors de la chasse au insectes ? Pourtant, j'avais bien dormit la nuit dernière... Je croyais avoir eu mon cotât de sommeil,mais j'ai dû me tromper. Mais... Les sensations qui me parcourent ne sont pas habituelles. J'ai l'impression d'être dans un endroit sec et salé. Pourtant, la forêt est sensé être humide et fraîche.
Mes vêtements sont poisseux. Je le sent. On dirait qu'ils sont remplis de sable.
Il faut que je me réveil, je ne suis pas bien installé. Je vais aller me recoucher dans ma chambre, ce serait bien mieux. Mes paupilleres s'entrouvrent doucement. Aie! Le soleil que je croyais filtré par le branchage des arbres se révèle dur et torride sous l'absence du feuillage protecteur et viens directement m'éblouir. Après un moment d'adaptation à la lumière, je finis par voir clairement.

-Ouaaaaaa !

Devant moi s'étale une étendue de sable fin couleur gris clair, tournant presque vers le noir à des endroits. Le contraste avec le bleu turquoise de la mer et là densité de la végétation épaisse qui démarre plus loin donne l'impression d'être dans une peintures au couleurs dérangeantes. Je me redresse doucement. Zut! Ma salopette est toute trempée . Maman vas encore me gronder... Mais au faite, comment ça se fait que je soit arrivé ici? Mon visage affiche une grimace. Je ne comprend pas, et je n'aime pas ne pas comprendre!
Mon expression change soudainement en de l'affolement, et je m'empresse de chercher ma besace autour de moi . Mon regard s'agite dans tout les sens et je finis par apercevoir le petit sac de cuir non loin d'ici. Je cour vers lui sans attendre et le renverse sur le sol, craintive. Ouf! Sur ce parterre granuleux, s'étale les choses les plus importantes à mes yeux. Ma plante, mes mikados et... Patrick ?! Où est passé Patrick ?! Soudain, une petite langue râpeuse viens me chatouiller la main, et deux gros yeux globuleux me fixèrent.
-Patrick!!!
Le petit caméléon avait sentis le danger et s'était camouflé dans décors. Mon regard s’adoucit et je pris dans mes bras mon animal ainsi que ma petite plante, appelé Samiko. Les serrer forts tout les deux me redonnait du courage. Et j'allai en avoir besoin. J'étais dans un endroit qui m'était inconnu, seule, sans aucun repères. Il fallait à tout pris que je trouve quelqu'un parce que j'avais très faim, très sommeil, et surtout très peur. Par un heureux hasard, mes mikados avaient résister à l'eau et n'étaient même pas humides. C'est donc le sourire au lèvres et une friandise a la bouche que je m’avançait vers la lisière de forêt qui semblait cacher bien des merveilles.

La végétation était dense, et donc difficile à traverser. Cependant, je ne m’arrêtait pas pour si peu, et ne prêtait même pas attention au griffures que les branches m'avaient laissé. J'étais en plein rêve. La forêt était remplis de grands arbres, qui étaient remplis de beau fruits, qui étaient remplis de gros insectes, qui étaient remplis de bonnes graisse, qui feraient bientôt mon quatre heure. Oui, j'avais commencer à prendre les mêmes habitudes que Patrick, et avais découvert avec émerveillement que ces petites bête pouvaient se révéler être délicieuse; si on savait les préparer. Je grimpais donc à un immense arbres dont je ne connaissait pas le nom et attrapais un fruit orangé qui me paraissait bien mur. Mais alors que je tentais de redescendre, j'entendis un aboiement. Sûrement un chien érant. Mince! J'avais une mauvaise expérience de ces animaux, ayant tenté une foi d'en coiffer un avec les bigoudis de maman, manquant ainssi de me faire arracher la main. Depuis, je les considérait comme de grosses bêtes qui n'aimaient pas le bonheur et préféraient se battre plutôt que de s'amuser. Mal à l'aise à l'idée de recroiser ce type de chien, je restais sur ma branche, écoutant les pas se rapprocher un par un.

Mes yeux étaient écarquillés par la fascination. Non, je n’avais pas peur,non, au contraire. Alors que je m’attendais a faire face à une bande de chien sans cervelle, je m’étais retrouvé nez a nez avec ce jeune garçon à l’allure peu commune qui parlait coréen. J’avais des bases assez fondées dans quasiment toutes les langues, en raison des nombreux voyages que j’avais fait tout au long de mon enfance, mais le coréen n’était pas facile, et je n’aurais pas sue tenir une discutions. Lors de mon voyage dans ce pays, j’avais appris les mots qui me semblaient les plus importants:
jouer
manger
amis… etc.
Mais ce n’étais pas suffisant pour comprendre ses paroles. A mon grand soulagement, ils se mit à utiliser l’anglais dont j’étais pratiquement bilingue.

- « TERRITOIRE ! OUST, OUST ! »

Mon visage affichât une grimace de désaprouvement. Pourquoi les gens étaient si peu gentils? Moi tout ce que je voulait, c’était un bon repas plein de vitamines et de protéine! Mais non, ce jeune garçon avait décidé de faire son égoïste!
C’est alors que j'eus un tilt. Mais quelle débilos je pouvais faire! si on résumait ma situation:
-je suis seule sur un île que je connaît pas.
-Je cherche a manger et quelqu’un viens m'arrêter pour me faire comprendre que cette nourriture lui appartient.
-Moi je lui fait la boude et rentre dans un blocage stupide.
Le voila le problème! Je faisait encore ma pessimiste alors que j’avais tout pour moi. Quand on y penses, cette personne ferait un très bon camarade de jeux! En plus, il a l’air plutôt rigolo, avec sa chienne au pelage ravagé par l'âge. Je m’imaginait alors jouant a chat perché tout les 5, dans cette étendue de verdure. Ma bonne humeur revint immédiatement, affichant sur mon visage un sourire enfantin et innocent. Il ne voulait pas me prêter ses fruits, il se comportait comme un chien...Maman l’aurait classé dans la catégorie “voyous et vagabond”et serait partie sans même lui adresser un regard, de peur d’attraper des puces, mais moi, je l'appréciais déjà.

Heureuse de ce compagnon nouveau, je me prêtait a son jeu et lui tendais un mikado avant de pousser un petit aboiement aiguë. Je sautillais sur place, manquant plusieurs fois de perdre l’équilibre. J’avais vraiment de la chance. J’aurais put tomber sur n’importe qui, et le hasard a voulut me faire rencontrer ces deux camarades qui semblaient avoir une longue histoire loin d’être toute blanche. C’est le moment que choisit Patrick pour se montrer, prenant la couleur de mes cheveux sous l’effet de surprise provoqué a la vue de la grande chienne au regard étonné qui patientait en bas. j’attendais patiemment la réaction de l'inconnu face a ma déclaration de paix.

(Je m'excuse pour les fautes de frappes et surtout le manque de " ' " mais j'écrit sur mon portable et il à eu un gros beug donc encore désolé x)


Minho.
C'est donc son nom. C'est très joli je trouve.
Minho et Hwaiteu.
Si ils m'avaient donné leurs noms, ca voulait dire que javais leurs confiance? Quils étaient mes amis ? Oui, nous n'étions plus des étranger vis à vis de l'autre.

- Moi c'est Miki! Voici donc Patrick, Samiko et ce bâtonnet au chocolat, c'est un Mikado.

Je pointait du doigt chacun de mes camarades en énonçant leurs nom. J'étais fière de les avoirs à mes côtés.
Le jeune garçon au nom de Minho me sourit avant de grimper agilement à une branche au dessu de moi. Depuis son arrivée, j'avais arrêter de toucher les fruits, ou plutôt ses fruits, mais en le voyant la haute savourer le doux nectar de ce sucre naturel, jen avais l'eau à la bouche. Il a dit tomber un aux pied de l'arbre pour sa belle Hwaiteu, puis, à mon grand étonnement, il m’en offrit un, le sourire au lèvres “ toi manger les fruits de moi”.
Il vennait de moffrir le droit de partager son territoire, et malgres mon ignorance, je savaistout de même que c'était une chose rare.

Mon regard sattardat un moment sur son visage. Il à les cheuveux très clair, des très fin et remplis de cicatrice. Sa peau est celle dun coréen, mais plus endurcis pas la vie à léxterieur. Il me fait pensser à un personnage de Miyazaki.
Je lui souris à mon tour et croque à pleines dents dans le fruits, savourant chaque saveur, chaques explosions de gout sur mes papilles. Ça me rappelais lAfrique. Là bas, les fruits que on achetes sonts cueillis dans des verger poussants non loins du lieu de vente, ils sonts fraits et du pays, et ca il ny a pas mieux.

Je termine ma colation assez rapidement, et redonne deux autres Mikado a Minho pour le remercier. J'ai pris pour habitude de les utiliser comme monnaie d'échange. Cest un peu comme les cartes pokémon, sauf que là ça se mange.

- Merci Minho et Hwaiteu! Est ce que…

De peur qu'il ne me comprenne pas, j'essayais tant bien que mal de reprendre la suite en coréen.

- Est ce que moi pourrais rester un peu avec vous? Je connaître personne dans ici, je arriver tout juste. Je se réveiller sur plage sans savoir comment je arriver…

La vérité était surtout que je les aimais bien tout les deux, et que je navais pas vraiment envie de les laisser partir sans moi. J'était sûre que avec eux, je mamuserais beaucoup!