Edelweiss SCHWARTZENBERG (♀)
DATE & LIEU DE NAISSANCE :
né(e) le 10 août 1989 à Awashima
NATIONALITÉ :
Awashimien
ORIENTATION SEXUELLE :
Orientation ignoré pour le moment
OCCUPATION :
Dompteuse de tigre dans un cirque
GROUPE :
Susanoo
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Katarina de League of Legends
Caractère
Persévérante, Patiente, Taciturne • Narcissique, Égocentrique, Impulsive • Atychiphobie • Manie de croiser les bras • Faire du lancer de couteaux, faire les magasins... • Détestes qu'on lui donne des ordres, les enfants en général • Passionnée de son travail • Rêve: Prendre la place de son père
Cher journal,
J'arrive à une période de ma vie où les confidents se font rare, il faut dire que je commence à me faire vieille. En autre, des amies pouvant parler avec moi, j'en ai plein, du moins pour ceux qui me supporte. Je crois même pouvoir dire que je peux compter sur quelques amis, mais aucun avec qui je puisse réellement me confier, je n'ai jamais été très naïve, jamais du genre à faire confiance à qui que ce soit à part à moi-même.
Pourtant j’ai besoin de me confier à quelqu’un. Tu n’es pas très bavard. À ta manière, tu me rappelles que le silence est d’or, n’est ce pas ? Pour cela, je vais brièvement me présenter à toi...
En ce qui me concerne, je suis une femme âgée de 27 ans. Je n'ai pas d'enfant et je ne suis pas mariée, pour dire la vérité, je ne me suis jamais intéresser aux histoires d'amours. Je travaille dans un cirque, malheureusement, je ne suis pas le clown qui est là pour faire rire la galerie mais bien celle au côté de sont père qui dompte les fauves. Parmi mes hobbies, je dirais que je suis un peu comme chacune des femmes vivants ici, j'aime faire les magasins et prendre soins de mon images, je ne le cache pas... Les reproches défilent à mon sujet, je suis bien trop narcissique et en ce qui concerne mon égocentrisme, je suis au dessus du panier... mais, je ne le cache pas, j'aime jongler ou faire du lancer de couteau sur cible amovible à mes heures perdues
Pourquoi ce besoin de se confier à toi, cher journal ? Sans doute parce que la vie se profile avec son lot de remises en question....
Je me suis toujours reproché d'être un peu trop au-dessus des autres, encore mon côté égocentrique qui me roule dessus. Ce n'est pas de ma faute si dans un groupe, je me sens toujours obligée d'être "la chef", je n'aime pas être commandée, c'est comme ça. Après, j'ai un assez mauvais caractère dans le sens où je mets rapidement en colère pour rien. Il y a des jours comme ça ou on retrouve une porte cassé et qu'on se dis " Tiens, elle était énervée aujourd’hui " comme "le petit poucet" laissant des cailloux derrière lui pour retrouver sont chemin, ou qu'on le retrouve qui sait.
En parlant de ceux qui arrivent à me supporter, il faut le dire, j'ai hériter du mauvais traits féminin, ah... la manipulation, qu'elle pétasse je fais parfois... ça me fais bien rire... jouer les filles fragile ou utilisez mes charmes pour avoir ce que je désire...
Je n'ai jamais été très bavarde, en réalité je n'aime pas beaucoup parler... C'est curieux mon cher journal, moi qui ne parle jamais de moi... moi qui est aussi indéchiffrable, qui ne parle jamais de ma vie privé, voila que je m'exprime sur des pages blanches...
Ce n'est pas mon genre d'être solitaire mais à cause de mon caractère bien pendu, j'ai développer ce côté taciturne qui fait de moi une femme difficile à abordée et à attirer l'attention. Il faut dire, que je me fiche un peu des autres, il n'y a que moi et mon travail, qui compte. Regardez-le le côté égocentrique qui refait surface aussi facilement, je rie.
Que dire d'autre a mon sujet... que malgré ce que les épreuves de la vie nous enseignent, je continue de me sentir vivante. Avoir le goût du risque, de cette adrénaline qui vous emplies l'esprit. Il ne ma pas suffit de tenter le diable en m'approchant un peu trop prés d'une cage de tigre en étant enfant, il a fallut que je continue jusqu'au jour d'aujourd'hui...
Bon, et bien voilà... j'aimerais aussi parlez d'une chose embarrassante, d'un fardeaux que je supporte depuis un petit moment maintenant... Et puis non, merde dirais-je. Je vais dire sincèrement ce que j'en pense, l'amour, c'est qu'une question de phéromones. Des belles paroles, des choses à vous embrouiller la tête, rien de plus. Je n'ai jamais été attirer par les belles histoire, je m'en fiche... mon dieu qu'est ce que je m'en moque et puisque je ne suis pas de ces connasses qui couchent en échange de leur fierté, et bien, j'ai toujours " ça ", de toute manière personne n'est assez bien pour moi. Mais en soit, ce n'est pas dérangeant, c'est un point de vue personnel. Il existe bien des gens qui ne sont n'y hommes n'y femme, il existe bien des gens aux penchants plus que tordus. Pourquoi ma catégorie serait t'elle différente des leurs ?
J'écris dès chose qui me concerne sans pourtant dire la vérité sur la véritable personne que je suis. Je ne vais pas dire être un bourreau de travail, j'aime la vie... je suis comme tout le monde, j'aime sortir en boite jusqu’à point d'heure et me bourrer la gueule, j'ai gardé un côté d'adolescente mais je sais m'arrêter quand il le faut, il ne faut pas exagérer non plus, je n'ai plus 15 ans. Et dans la vie justement... je suis une femme persévérante, quand je veux quelque chose je fais tout ce qui es en mon pouvoir pour l'obtenir, surtout au travail, car je veux être la fierté de la famille. Être admirée, jalousée et aimée. Je veux être cette femme inaccessible, et pourtant bien présente. Cette femme tellement grisante que la réalité de votre existence vous paraîtra fade en comparaison de la mienne.
Après, me direz-vous, je ne peux pas connaître chacun de mes traits de caractères. Mais il m'arrive parfois d'entendre certaine chose a mon sujet. Des personnes racontent que je suis très tactile, je m'en rend même pas compte... et de plus, qu'il est facile de lire mes expressions de visage... ça ne m'étonne pas des masses, je suis très expressive, surtout avec certaine mimiques que j'ai développer au fur et à mesure. Un exemple ? Hausser les sourcils quand quelque chose m'agace, taper du poing dans la paume de ma main quand je suis énervée, me mordre la lèvre inférieur quand je suis inquiètes ou perturbée.... voila, je suis comme toi, un livre ouvert.
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... J'ai une famille comme tout le monde, la mienne est grande... Je vis en compagnies de vieillard, d'enfant, de personne de mon âge. Je peux dire avoir ma tranquillité même si je vis dans une caravane... Enfin, arrive parfois que des choses volent à travers ma lucarne. Les enfants qui crient, je peux te l'assurer cher journal... Je déteste ça. Les gamins me comparent souvent à leur méchante et horrible institutrice, il faut dire que je ne suis pas douce et un poil trop autoritaire. Je ne m'imagine pas mère, comme l'amour bien une chose qui m'emporte peu.
Physique
Yeux verts • Rousse d'origine mais teint en rouge • 1m70 • 60 kilos • Grande/Mince • Cicatrice au niveau de l'oeil gauche
Cher Journal
La beauté plaît aux yeux et ce n'est pas de regard indiscret dans la rue qui me feront penser le contraire. À mes yeux, mère nature a rendue toutes les femmes belles, ce n'est que parce qu'elles ne savent pas en tirer part et qu'elles doutent d'elles-mêmes qu'on se retrouve avec des thons. Dans la vie, il faut savoir se mettre en valeur. Regarde-moi. Peu importe le lieu, je brille par ma seule présence.
La beauté extérieure a toujours fait partie de moi. Pourri, dirais-je... Oui, je me vante d'avoir été gâtée d'une t-elle beauté. Quand, je me met face au miroir, je vois une silhouette affiner et pleine de grâce, perdre quelques kilos me rendraient alors parfaite... J'ai toujours été de grandes tailles, en y réfléchissant, je dois être dans la catégorie des femmes faisant dans les 1m70 - et pour ce qui est des kilos, je l'avouerais... Je n'aime pas la balance, mais de souvenir, je dirais environ 60 kilos. Mais ce n'est pas le plus gros... La première que je vois, est ma poitrine extrêmement bien portante, un beau bonnet E.
Au naturel, je suis une femme rousse, mais pour y ajouter une petite touche personnelle, je n'ai pas pu m'empêcher de les teindres en une couleur flamboyante. Cette longue chevelure m'arrive au milieu du dos, une mèche rebelle encadrant mon doux visage de type caucasien mais... il faut le dire grâce à ça, je suis ainsi visible de loin, j'attire les regards fureteurs et quand j'entends un petit mot doux à mon égard, je ne peux m'empêcher de sourire comme pour me féliciter moi-même d'un exploit.
Les yeux reflètent les émotions. On peut lire le caractère et les sentiments d'un individu dans ses yeux... Les yeux seraient donc les portes de l'âme. Suffit-il d'observer ? Pourquoi ne serait-ce pas plus facile de ce fier au vieux proverbe... Yeux verts, yeux de vipère, pour le coup, il n'avait pas tort le bon monsieur... Mes iris sont souvent comparés à deux émeraudes bien entourées de long et séduisant cils noirs ainsi que de sourcils bien dessiné.
Pour moi, je n’ai aucun défaut physique… Je suis parfaite ! Il y a peut-être bien une chose qui pourrait me chagriner, et pourtant, non. Ma cicatrice le long de mon œil gauche. Un sacré coup, qui pourtant fait tout de mon charme de femme inaccessible… Au final, elle fait partie de mes qualités et non de mes défauts. Et bien que les autres essayerons de me faire penser le contraire, ma voix sensuelle et cassante à lancer des pics à tout va se chargeras elle-même des perturbateurs.
Épices, ambre, patchouli, fleurs exotiques : des fragrances qui évoquent les terres lointaines, des sillages inédits qui vous emmènent ailleurs... Mon parfum est de celui qui A le don de faire voyager... Cependant, il est parfois masqué par l'odeur des cigarettes que je fume et en deviennent un peu trop présente... Je garde toujours sur moi, un parfum ou même un petit sachet de pastille à la menthe pour mon haleine.
En ce qui concerne ma façon de m'habiller, je n'ai jamais été une femme très compliquée... Je porte la plupart du temps de jeans moulant mes formes, des chemises ou encore des vestes en cuir, celle-ci faisant ressortir ma chevelure flamboyante. J'ai toujours cette petite pointe de maquillage sur les yeux et les lèvres, mais mes ongles eux, en plus d'être d'une longueur raisonnable, sont toujours vernis et polis. Je porte bien évidemment quelque bijoux, un collier, une bague, un bracelet ou encore des boucles d'oreilles. Pour le moment, je n'ai aucun piercing mais j'ai un tatouage de type tribal le long du côté gauche de mon tronc ( commencant au seins et se terminant au dessus de l'aine )
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Edelweiss à une façon bien à elle d'invoquer la magie. Etant une Susanoo et pouvant faire appele au vent, la pluie, la foudre ou bien même la brume, la jeune femme à comme dans cette esprit du ninja une manière bien à elle de positionner ses mains, chaque positionnement représentant un élément www
• Affinité : Edelweiss est née dans un monde ou la magie n'a jamais été restreinte. Étant née de deux parents, l'un utilisant la foudre et l'autre le vent, elle a toujours aimé la magie ainsi que ses propres pouvoirs
• Familier : Le familier de Edelweiss est une petite créature chimérique. Elle est composée d'un mélange entre le lémurien (pour la queue), du furet (forme du corps), de la gazelle (pour les cornes), du félin (Gueule et couleur du pelage) et d'oiseau (Pour les ailes).
Pour communiqué, le familier poussent des cries ( qui pourrait faire penser à une loutre et un gazouillement d'oiseau) Seule Edelweiss peu en comprendre la signification.
Pour l'instant, celle-ci fait à peine 30 centimètres... mais plus tard, il pourra prendre une forme bien plus grande, il pourra ainsi invoquer ses ailes et voler. Sans oublier, utilisez la magie. Aperçu du familier
• Affinité : Edelweiss est née dans un monde ou la magie n'a jamais été restreinte. Étant née de deux parents, l'un utilisant la foudre et l'autre le vent, elle a toujours aimé la magie ainsi que ses propres pouvoirs
• Familier : Le familier de Edelweiss est une petite créature chimérique. Elle est composée d'un mélange entre le lémurien (pour la queue), du furet (forme du corps), de la gazelle (pour les cornes), du félin (Gueule et couleur du pelage) et d'oiseau (Pour les ailes).
Pour communiqué, le familier poussent des cries ( qui pourrait faire penser à une loutre et un gazouillement d'oiseau) Seule Edelweiss peu en comprendre la signification.
Pour l'instant, celle-ci fait à peine 30 centimètres... mais plus tard, il pourra prendre une forme bien plus grande, il pourra ainsi invoquer ses ailes et voler. Sans oublier, utilisez la magie. Aperçu du familier
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Cher Journal,
La mémoire n'est pas infinie et c'est sans doute pour cela que j'ai décidé de me mettre à écrire. Le passé... Il m'arrive Quelquefois de repenser aux histoires que me racontaient mes parents, à mes souvenirs d'enfance, à mes bêtises d'adolescence... Ainsi qu'à maintenant.
Je suis née ici, en août, sur cette bonne vieille île d'Awashima. Je n'ai jamais connu le monde extérieur dont me parlaient souvent mes parents ainsi que mes amis respectifs. Mon père m'avait souvent raconté son histoire, l'histoire de son célèbre cirque en Autriche et ma mère de sa petite boulangerie de France ou les gamins venaient acheter des sucreries le week-end avec leurs argents de poche.
Tous les deux s'étaient finalement retrouvés ici. Mon père n'avait pas mis longtemps à reconstruire sa vie d'autrefois, implantant en plein centre-ville un cirque fixe qui peu à peu prit de l'ampleur. Et puis, je ne sais comment... Ma mère est arrivée à ses côtés puis l'amour suivi, me donnant alors vie.
Enfant jusqu’à maintenant, j’ai vécu aux mêmes endroits parmi cette bonne vieilles troupes d’artistes. Je n’ai jamais été comme mes amies, à vivre dans une petite maison douillette à rêver de devenir avocate où gérante d’un grand magasin de vêtement, non. J’ai vécu dans une petite caravane avec ma famille, passant mon temps à observer les clowns, les trapézistes ainsi que mon très cher père qui détenait entre ses mains, mon rêve le plus chère.
Les fauves, comment te dire cher journal... Il ne suffit pas de les observer pour en percevoir la beauté, il faut aussi les comprendre. Jeune enfant naïve que j'étais à l'époque, je pensais pouvoir faire comme papa et dompter toute seule un gros chat bien féroce. C'est aussi à cette époque que je compris que les tigres n'étaient peut-être pas aussi gentils que je le pensais.
Un soir, alors que mes parents buvaient un coup dehors en compagnie d'autres artistes, je m'étais approché d'une dès cage à tigre. Mon père ne me voyant pas, s'était sans doute douté de quelque chose, car au moment où la bête féroce passa la patte à travers les barreaux pour m'agripper, mon géniteur me tira en arrière en me traitant « d'inconsciente ». Le tigre aurait très bien pu me tuer, mais il n'eut réussi qu'à me donner un petit coup de patte où une griffe me pris l'œil gauche, par chance, celui-ci ne fut pas crevé, mais perdu 5/10 de ses capacités.
Cependant, je n’avais ressenti aucun regret, car j’avais fais ce que je désirais le plus. Et malgré ce qu'il venait de m’arriver, je le voulais encore plus, réaliser mon rêve… prendre la place de mon père.
Lui, il était le chef du cirque mais il fallait le dire, enfant déjà j’aimais bien donner des directives et au fur et à mesure que je grandissais, mes désires devenait des ordres. Il fut difficile de s’affirmer face aux nombreuses personne voulant prendre la place de mon père, celui-ci ne voulant pas me donner une chance, pour lui, je n’étais encore qu’une « petite fille » prétentieuse qui voulait simplement faire mumuse avec un fouet sur scène...
Je ressens encore cette « rage » en moi. Il fut une époque où je me mis à ignorer ma famille, passant mes journées en ville avec des amies à faire du shopping, me ventant déjà d’être une beauté de la nature. C’est aussi à cette même époque que je me teint les cheveux en rouges pour me donner ce style bien à moi. Puis une envie de jeunesse à me faire tatouer à l’âge de 16 ans sans le réel consentement de mes parents, de toute manière, je me fichais de ce qu’ils pensaient, il n'y en avait pas un pour me faire confiance, à la fin... je n'avais confiance quand moi.
En ce qui concernait l’école, j’étais plutôt une élève sérieuse qui ne demandais qu’a travailler, même si parfois ma réputation de « plus belle fille de l’école » me poussait à jouer les petites salopes. J'étais la leadeuse de mon groupe d'amie et si jamais l'une d'entre elles ne voulait pas faire ce que je voulais et bien... Je l'envoyais chier et faisant en sorte que les autres ce moque d'elle.
Mais je me souviens surtout des pots de colle… De tous les mecs à te demander dix fois dans une même journée « Edelweiss, sors avec moi, je t’aime » ça me donne envie de vomir d’y repenser… Tout c'est gars aussi moches, les uns que les autres, ils croyaient vraiment pouvoir obtenir la perle rare aussi facilement ?
À 16 ans, c'est à cette même époque que le sceau fut levé, lors d'un rituel avec des prêtresses, un moment que je vécus avec éblouissent, comme tous les jeunes de mon âge, me permettant alors de découvrir ce que mes deux parents possédaient eux aussi, la magie... Au début s'était amusant puis peu à peu, elle faisait partie de ma vie de tous les jours, quelque chose qui n'avait rien d' « extraordinaire » au final pour moi. Il y a cependant une chose, que je n'eu jamais regretté... mon petit familier, il était bien le seul que je considérais comme un être ayant la possibilité d'avoir une place dans mon cœur de glace. Il m'arrive parfois d'être "gaga" avec lui, mais ça... j'évite de le montrer en publique.
Puis des mois plus tard, un signe me parvenue ; la naissance de jeunes tigres. Je n'avais laissé le choix à personne, faisant de ses petits « ma propriété » il était à moi et ceux qui par malheur les revendiquaient ou les touchaient avaient le droit à mes célèbres crises de nerfs...
Je m'étais finalement installée seule, dans un coin du cirque encore inoccupé. Comme une exclue de la société, je n'adressais la parole à personne, je ne voulais pas parler, je ne voulais pas perdre de temps... Je voulais simplement accomplir la tâche que je m'étais attribué. Peu à peu, j'avais commencé à dompter mes propres fauves, sans demander l'aide de personne, me souvenant simplement de ce que j'avais vu étant enfants.
Des mois plus tard, mon père reconnu alors ma véritable valeur, surpris par mon travail acharné et mon envie de prendre sa place. J'avais réussi à moi seule à dompter trois magnifiques bêtes qu'il ne put renier. Il commença alors de me donner des directives jusqu'à réaliser mon propre show, devant la foule exalté.
Que dire d'autre... qu'à travers les années j'ai réussi à me forger une réputation d’excellente dompteuse, que j'ai eu mon permis de conduire... que je n'ai toujours pas trouver l'amour, que je n'ai pas d'enfant... mais qui sait, il me reste à écrire l'avenir...
La mémoire n'est pas infinie et c'est sans doute pour cela que j'ai décidé de me mettre à écrire. Le passé... Il m'arrive Quelquefois de repenser aux histoires que me racontaient mes parents, à mes souvenirs d'enfance, à mes bêtises d'adolescence... Ainsi qu'à maintenant.
Je suis née ici, en août, sur cette bonne vieille île d'Awashima. Je n'ai jamais connu le monde extérieur dont me parlaient souvent mes parents ainsi que mes amis respectifs. Mon père m'avait souvent raconté son histoire, l'histoire de son célèbre cirque en Autriche et ma mère de sa petite boulangerie de France ou les gamins venaient acheter des sucreries le week-end avec leurs argents de poche.
Tous les deux s'étaient finalement retrouvés ici. Mon père n'avait pas mis longtemps à reconstruire sa vie d'autrefois, implantant en plein centre-ville un cirque fixe qui peu à peu prit de l'ampleur. Et puis, je ne sais comment... Ma mère est arrivée à ses côtés puis l'amour suivi, me donnant alors vie.
Enfant jusqu’à maintenant, j’ai vécu aux mêmes endroits parmi cette bonne vieilles troupes d’artistes. Je n’ai jamais été comme mes amies, à vivre dans une petite maison douillette à rêver de devenir avocate où gérante d’un grand magasin de vêtement, non. J’ai vécu dans une petite caravane avec ma famille, passant mon temps à observer les clowns, les trapézistes ainsi que mon très cher père qui détenait entre ses mains, mon rêve le plus chère.
Les fauves, comment te dire cher journal... Il ne suffit pas de les observer pour en percevoir la beauté, il faut aussi les comprendre. Jeune enfant naïve que j'étais à l'époque, je pensais pouvoir faire comme papa et dompter toute seule un gros chat bien féroce. C'est aussi à cette époque que je compris que les tigres n'étaient peut-être pas aussi gentils que je le pensais.
Un soir, alors que mes parents buvaient un coup dehors en compagnie d'autres artistes, je m'étais approché d'une dès cage à tigre. Mon père ne me voyant pas, s'était sans doute douté de quelque chose, car au moment où la bête féroce passa la patte à travers les barreaux pour m'agripper, mon géniteur me tira en arrière en me traitant « d'inconsciente ». Le tigre aurait très bien pu me tuer, mais il n'eut réussi qu'à me donner un petit coup de patte où une griffe me pris l'œil gauche, par chance, celui-ci ne fut pas crevé, mais perdu 5/10 de ses capacités.
Cependant, je n’avais ressenti aucun regret, car j’avais fais ce que je désirais le plus. Et malgré ce qu'il venait de m’arriver, je le voulais encore plus, réaliser mon rêve… prendre la place de mon père.
Lui, il était le chef du cirque mais il fallait le dire, enfant déjà j’aimais bien donner des directives et au fur et à mesure que je grandissais, mes désires devenait des ordres. Il fut difficile de s’affirmer face aux nombreuses personne voulant prendre la place de mon père, celui-ci ne voulant pas me donner une chance, pour lui, je n’étais encore qu’une « petite fille » prétentieuse qui voulait simplement faire mumuse avec un fouet sur scène...
Je ressens encore cette « rage » en moi. Il fut une époque où je me mis à ignorer ma famille, passant mes journées en ville avec des amies à faire du shopping, me ventant déjà d’être une beauté de la nature. C’est aussi à cette même époque que je me teint les cheveux en rouges pour me donner ce style bien à moi. Puis une envie de jeunesse à me faire tatouer à l’âge de 16 ans sans le réel consentement de mes parents, de toute manière, je me fichais de ce qu’ils pensaient, il n'y en avait pas un pour me faire confiance, à la fin... je n'avais confiance quand moi.
En ce qui concernait l’école, j’étais plutôt une élève sérieuse qui ne demandais qu’a travailler, même si parfois ma réputation de « plus belle fille de l’école » me poussait à jouer les petites salopes. J'étais la leadeuse de mon groupe d'amie et si jamais l'une d'entre elles ne voulait pas faire ce que je voulais et bien... Je l'envoyais chier et faisant en sorte que les autres ce moque d'elle.
Mais je me souviens surtout des pots de colle… De tous les mecs à te demander dix fois dans une même journée « Edelweiss, sors avec moi, je t’aime » ça me donne envie de vomir d’y repenser… Tout c'est gars aussi moches, les uns que les autres, ils croyaient vraiment pouvoir obtenir la perle rare aussi facilement ?
À 16 ans, c'est à cette même époque que le sceau fut levé, lors d'un rituel avec des prêtresses, un moment que je vécus avec éblouissent, comme tous les jeunes de mon âge, me permettant alors de découvrir ce que mes deux parents possédaient eux aussi, la magie... Au début s'était amusant puis peu à peu, elle faisait partie de ma vie de tous les jours, quelque chose qui n'avait rien d' « extraordinaire » au final pour moi. Il y a cependant une chose, que je n'eu jamais regretté... mon petit familier, il était bien le seul que je considérais comme un être ayant la possibilité d'avoir une place dans mon cœur de glace. Il m'arrive parfois d'être "gaga" avec lui, mais ça... j'évite de le montrer en publique.
Puis des mois plus tard, un signe me parvenue ; la naissance de jeunes tigres. Je n'avais laissé le choix à personne, faisant de ses petits « ma propriété » il était à moi et ceux qui par malheur les revendiquaient ou les touchaient avaient le droit à mes célèbres crises de nerfs...
Je m'étais finalement installée seule, dans un coin du cirque encore inoccupé. Comme une exclue de la société, je n'adressais la parole à personne, je ne voulais pas parler, je ne voulais pas perdre de temps... Je voulais simplement accomplir la tâche que je m'étais attribué. Peu à peu, j'avais commencé à dompter mes propres fauves, sans demander l'aide de personne, me souvenant simplement de ce que j'avais vu étant enfants.
Des mois plus tard, mon père reconnu alors ma véritable valeur, surpris par mon travail acharné et mon envie de prendre sa place. J'avais réussi à moi seule à dompter trois magnifiques bêtes qu'il ne put renier. Il commença alors de me donner des directives jusqu'à réaliser mon propre show, devant la foule exalté.
Que dire d'autre... qu'à travers les années j'ai réussi à me forger une réputation d’excellente dompteuse, que j'ai eu mon permis de conduire... que je n'ai toujours pas trouver l'amour, que je n'ai pas d'enfant... mais qui sait, il me reste à écrire l'avenir...
DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : Law
• J'ai : 18 ans
• J'ai connu le forum grâce à : Vous connaissez déjà la réponse ~
• Je pense que le forum est : Le forum c'est comme mon lit, je ne le quitte jamais~ xD
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci
• J'aimerai ajouter que : Rien à ajouter, chef !
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© Himitsu no Kii