Lucas Petit ♂, connu sous le nom de Jack
DATE & LIEU DE NAISSANCE :
né(e) le 27/10/1997 à Lourdes
NATIONALITÉ :
Française
ORIENTATION SEXUELLE :
bisexuel
OCCUPATION :
Voleur à la tire, cambrioleur, dealer... que des jobs parfaitement honnête !
GROUPE :
Rajin
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Nathaniel de NTDEVON (artiste, pas manga ^^')
Caractère
Gentil, Déterminé • Sang chaud, Bagarreur, Susceptible • Déteste l'écriture et la lecture
Il est stupide, idiot, dénué d'intelligence, incapable d'apprendre quoique ce soit. C'est tout du moins ce que les autres pensaient de lui et ce dont il s'est convaincu lui même. Incapable d'apprendre simplement à lire, et encore plus à écrire. Il a pourtant appris de nombreuses choses, de nombreuses choses non légales comme crocheter des portes, désactiver des alarmes en perturbant l'électricité qui les alimente, frapper, fort et vite, D'autres moins illégales, l'anglais qu'il a appris en écoutant longuement les touristes qu'il détroussait, ou arnaquait, ou à qui il servait même de guide parfois, quand l'envie lui prenait. Evidemment, sa maitrise est loin d'en être parfaite. Il sait jouer à de nombreux jeux de cartes, aux échecs. Etrangement, il connait même certaine chose en arts et même en poésie. S'il est incapable de lire les chiffres, il sait pourtant parfaitement compter. Stupide ? A vrai dire... pas vraiment. S'il avait grandi dans des conditions idéales, si quelqu'un avait cherché plus loin que la stupidité, si... avec des si, probablement aurait-on décelé la dyslexie qui l'empêchait de lire avant qu'il ne se braque et, peut-être, saurait-il lire aujourd'hui ! Mais avec des si, on mettrait l'île d'Awashima en bouteille !
Lucas est quelqu'un de brutal. Communiquer avec ses poings lui est aussi naturel, peut-être plus, que de discuter tranquillement. Pourtant, conscient de l'électricité incontrôlable qui les accompagne lorsqu'il est en colère, il ne les dégainera pas aussi facilement qu'on pourrait le penser, restant brutal dans son attitude et ses paroles tant que cela est suffisant. Il n'a jamais appris à faire confiance et ne la donnera pas facilement. Méfiant à l'excès, il cherchera toujours dans les actes des autres leur but final et intérêt.
Pourtant, aussi brutal et brut puisse-t-il être, Lucas n'est pas un être mauvais. Paradoxalement profondément bon et gentil, il apportera toujours son aide à plus faible. Cependant, rancunier à l'excès, il n'oubliera aucune malveillance à son égard ou trahison. Sa confiance est difficile à perdre, facile à perdre et quasiment impossible à retrouver.
Oh ! N'ayant pris la peine de décrypter le message secret qui lui a été laissé, il n'a, pour le moment, aucune idée de l'endroit où il se trouve !
Physique
Des yeux bleus • Des cheveux noirs • 1m77• pour 77kg • Corpulence normal • De nombreuses cicatrices
Un corps musclé, couvert des cicatrices du passé, lointain et moins lointain. Toujours en mouvement, souvent forcé de courir, la graisse n'a jamais eu réellement le temps de s'installer sur son corps. Graisse dont il n'a de toute façon pas eu l'occasion d'abuser une bonne partie de sa vie. Les cicatrices se dessinent sur son corps, ancienne, moins ancienne, profonde, moins profonde, mémoires de son enfance et de sa façon de vivre. Ses poings, ornés de bagues, n'en sont pas exemptés, témoignant des coups qu'il a donné.
Ses cheveux noirs et courts souvent en bataille, ne cachant nullement la boucle d'oreille en forme de croix qu'il porte, ne font que refléter le peu de soin qu'il prend de lui. Ses tenues décontractées n'y font pas exception. Généralement vêtu de survêtement troué, exceptionnellement rapiécé, sa garde robe est plus que limitée et tout aussi élimée.
Si ces yeux bleus ne cachent rien de sa méfiance, il dissimule généralement ses émotions sous une expression froide et dure. Malgré son attitude brutal et son assurance affichée, il reste souvent sur la défensive, montrant parfois des gestes réflexes destinés à se protéger de coups qui pourraient arrivés. Avare en sourire, il ne sera pas simple de le dérider et de le voir se mettre à l'aise. Son attitude trahi l'absence totale de confiance qu'il porte à autrui.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Nul besoin d'objet pour utiliser la magie. Cependant, lorsqu'il l'utilise consciemment et surtout volontairement, c'est par le toucher, posant la main sur sa cible. Moins volontairement et incontrôlable, elle a tendance à accompagner ses poings lorsqu'il se bat. Lors d'émotions fortes, elle peut se montrer totalement incontrôlable et imprévisible et semble agir indépendamment de lui, comme si elle avait une volonté propre. Nul nécessité qu'il ne touche quoique ce soit et impossible pour lui d'arrêter quoique ce soit.
Son pouvoir, il le cache. Plus par habitude et par nature que pour une quelconque autre raison à vrai dire.
• Affinité : Vous vous êtes déjà demandé si vous aimiez vos mains ? Lui ne s'est jamais posé la question pour sa magie. Elle fait partie de lui, comme n'importe quelle autre partie de son corps. Il en apprécie l'utilité, comme il en maudit parfois les défauts.
Son pouvoir, il le cache. Plus par habitude et par nature que pour une quelconque autre raison à vrai dire.
• Affinité : Vous vous êtes déjà demandé si vous aimiez vos mains ? Lui ne s'est jamais posé la question pour sa magie. Elle fait partie de lui, comme n'importe quelle autre partie de son corps. Il en apprécie l'utilité, comme il en maudit parfois les défauts.
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
"Une nouvelle vie ? C't'une blague ? Qui t'as dit que j'avais envie d'une nouvelle vie, connard !?'
J'aurais pourtant eu toutes les raisons de rêver d'une nouvelle vie, d'une nouvelle chance.
Mon histoire débute dans un petit village près de Lourdes, dans une soirée avec une jeune fille qui découvre le paradis avec un garçon d'un soir qui disparaitra aussitôt après et un préservatif mal utilisé. Le paradis... ses parents pourtant très croyants et pieux lui avaient pourtant dit qu'elle n'y accèderait pas si elle n'attendait pas le mariage. Alors, quand ils ont réalisé quelques temps plus tard que leur fille de même pas 15 ans dont le ventre s'arrondissait jour après jour avait commis le péché de chair... la nouvelle ne fut pas vraiment bien accueillie comme vous pouvez l'imaginer. Mais comme une vie, et une vie et que la vie ça se respecte, on ne met pas fin à celle ci et l'avortement ne fut même pas envisagé, quand bien même l'enfant n'était nullement désiré et portait la honte sur la famille. L'enfant non désiré qui arriva, vous le devinez, c'était moi.
L'histoire aurait pu s'arrêter là. L'enfant aurait pu être élevé par ses grands parents et grandir normalement, comme tout enfant. Evidemment, ce ne fut pas aussi simple. Ma mère fut obligé de quitter l'école privé religieuse dans laquelle elle avait tous ses amis, de subir les regards accusateurs de tous, les reproches à peine voilés de l'ensemble de sa famille et de toutes leurs connaissances, toutes aussi portées sur la religion que l'était leurs parents et d'accoucher dans la douleur d'un truc non désiré qui lui pourrissait déjà l'existence avant même de pousser son premier cri. Puis il fallut s'en occuper. Les pleurs la nuit, les biberons, les couches dégueulasses... Parce que c'était son péché et que c'était là son chemin de croix pour racheter son âme auprès du tout puissant, comme le disait ses parents. De manière tout à fait imprévisible, lorsque la majorité arriva, ma mère quitta le foyer familiale et puritain, s'enfuyant en cachette vers Paris. Pourquoi ne m'avait-elle pas laissé là ? Dieu seul le sait... Probablement inconsciemment pensait-elle qu'elle devait porter ce poids en pénitence...
Elle aurait sûrement pu trouver un petit travail et commençait sa vie, loin de critiques et reproches de ses proches. C'était sûrement ce à quoi elle aspirait, mais, comme elle le dirait parfois elle-même : que pouvait-elle faire avec ce mioche dans les pattes ? Et puis sa jeunesse volée alors ? Il lui fut bien plus simple d'expérimenter la drogue et la dépravation. On sort un peu, le mioche dort de toute façon. On goûte une drogue, un peu, timidement, puis un peu plus. On couche avec un ami qu'on aime beaucoup... ou dont on aime la drogue, allez savoir. Puis avec l'ami de l'ami, ça fait plaisir et y a pas de mal à se faire plaisir. On emménage avec lui, on l'aime, enfin peut-être, et c'est moins cher, et plus pratique. On peut se défoncer jusqu'au bout de la nuit sans laisser l'autre mioche tout seul et risquer les problèmes. Le logement est insalubre, un peu... beaucoup en réalité, mais on s'en fout. Le mioche gueule toujours, mais l'ami sait bien y faire avec les enfants. Après quelques tartes dans la gueule, il apprend à se la fermer et à rester discret. La mère aussi d'ailleurs. On cède encore au péché de la luxure, mais c'est pas grave, Dieu comprendra, c'est pour vivre hein. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Jusqu'au jour où le sale mioche de 7 ans s'interpose entre sa mère et l'ami et qu'une tarte de trop fait surcharger l'installation quelque peu vétuste du logement et provoque un incendie... rapidement maitrisé heureusement. Et qu'une pimbêche d'assistante sociale vient mettre son nez dans le parfait équilibre de la parfaite petite famille. Etrangement, elle, puis le juge qui intervint ensuite, pensèrent que l'environnement n'était pas adapté et sain pour un enfant. D'autant plus qu'il n'allait pas à l'école, ce qui était parfaitement inacceptable ! La mère fut soulagé de son fardeau qui fut refourgué à un établissement dans lequel il pourrait grandir, dans un environnement épanouissant, comme n'importe quel enfant de son âge !
Foutaise... Balancer un mioche qui a toujours vécu isolé, totalement asocial, dans un dortoir d'une vingtaine de gamins... n'était pas ce qu'on pouvait appeler une idée lumineuse. Une idée bienveillante peut-être, mais pas lumineuse. Les gamins sont cruels entre eux. Et le fait que la plupart n'avait pas eu une vie facile et heureuse, sans quoi ils ne fussent pas là, n'aidait étrangement pas les choses. Alors quand les cheveux d'un autre gosse se retrouve soudainement dressé sur son crâne par de l'électricité statique venue dont ne sait où, juste parce qu'il est anxieux et mal à l'aise, il se retrouve bizarrement la cible des quolibets. Quand s'ajoute à cela son absence totale d'éducation et son incapacité à ne connaitre que la première lettre de son prénom... Evidemment, le mioche avait parfaitement appris comment faire taire les imbéciles. Une tarte dans la gueule, ça fait taire n'importe qui non ? Ce ne fut étrangement pas bien accueilli par les adultes. Et malheureusement, il n'était pas le seul à avoir appris à faire taire les autres et n'était, ni le plus grand, ni le plus fort. L'infirmerie, comme le bureau du directeur, furent deux pièces qui lui devinrent rapidement familières !
Il aurait pu évoluer, apprendre, grandir et devenir quelqu'un de bien. C'était sans compter l'incapacité de ce mioche à apprendre quoique ce soit ! Ce n'était pas faute d'avoir usé de remontrances, de punitions et d'humiliations, que ce parfait professeur n'était pas parvenu à apprendre correctement à lire à ce jeune imbécile dissipé et provocateur ! L'intelligence semblait lui faire défaut à ce mioche, et il ne voulait pas apprendre et au bout de deux ans, c'était à peine s'il parvenait à écrire correctement son nom et à lire sans buter un texte simple. Irrécupérable ! Aucun effort ! Cela n'arrangea ni les relations de ce gosse avec les adultes, ni les relations qu'il entretenait avec les autres gamins qui n'en trouvaient là que de nouvelles raisons de se moquer. N'avais-je pas dit que les enfants étaient cruels ? Evidemment, cela n'améliora guère sa compétence à gérer ce genre de problèmes. Ou peut-être que si. En tapant plus fort, les railleries se raréfiaient, ne restant l'aubaine que d'une poignée de courageux téméraires... plus fort que lui.
Le jour arriva où il décida de suivre les pas de sa mère. Avec un peu d'avance toute fois. Et avec moins d'efficacité. Une fugue. Deux fugues. Trois fugues. Je ne serais pas capable de vous dire combien il lui en fallut pour parvenir à quitter cet environnement idéal pour l'épanouissement d'un enfant. Sa dernière fugue fut la bonne ! Alors qu'il tentait de voler le portefeuille d'une vieille dame, il frappa sans aucune retenue le policier qui l'avait, littéralement, pris la main dans le sac. Le juge ne fut étonnamment pas ravi de le revoir et on décida de l'envoyer dans un nouvel établissement pour le remettre dans le droit chemin.
Mais les adultes sont des gens stupides. Placer une petite frappe au milieu d'autres petites frappes, certaines plus expérimentées... d'autant plus quand cette petite frappe a bien enregistré que pour ne pas se faire écraser il fallait frapper et que, de toute façon, il était trop stupide pour apprendre quoique ce soit d'utile... n'était, à nouveau, pas une idée lumineuse. Une fois encore, l'infirmerie comme le bureau du responsable devinrent des endroits familiers. Il apprit cependant beaucoup de choses utiles dans cet endroit. Pas à lire et à écrire, évidemment, il était trop stupide pour cela, mais à crocheter des serrures, à frapper plus fort et mieux, à voler sans être vu. L'environnement idéal ! Peut être pas pour retrouver le droit chemin cependant. Les années qu'il y passe furent très instructives et il se fit plusieurs amis. Pas des plus recommandables, je vous l'accorde.
Arriva le jour de ses seize ans, où les adultes bien pensant considérèrent qu'il était temps qu'il trouve sa voie dans la vie et quitte l'établissement pour mieux s'épanouir ailleurs. Ou pour cesser de vivre sur les deniers des contribuables peut-être. On lui trouva un petit travail d'apprenti, ce qui ne fut pas chose aisé, et on le laissa là. Evidemment, on l'invita poliment à se rendre chez une gentille dame qui l'aiderait à trouver des aides pour apprendre le nécessaire à la vie de tout adulte. Lire quoi. Néanmoins, se sachant trop stupide pour cela, il ne pensa pas nécessaire d'ennuyer toutes ces gentilles personnes et de leur faire perdre leur temps inutilement. Gentil garçon, non ? Pour ne pas faire perdre de temps à son employeur, il quitta d'ailleurs rapidement son job d'apprentis pour rejoindre les si sympathiques connaissances qu'il s'était fait durant son séjour et disparaitre dans la nature.
Du vol à la tir au cambriolage, du deal au chantage. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Etrangement, il avait retrouvé le cocon familiale. Sa mère droguée qui se prostituait et ne lui accorda pas la moindre attention. Et celui qui se rapprochait le plus d'un père, du moins celui auprès de qui il avait passé le plus d'années, qui, attentionné, lui fournissait toutes sortes de mission rémunérées et qui lui offrait un toit sur la tête. Le nom de Jack lui fut donné par l'un de ses amis lors d'une arrestation et fut donné ensuite à tout adulte jusqu'à sa majorité... Puis après, par habitude.
A sa majorité, il gagna le respect de par ses coups de poings foudroyants, littéralement, même si tous l'ignoraient, et par son étonnante capacité à désactiver efficacement les alarmes et autres protections électroniques dès qu'il pouvait accéder à leur système de contrôle.
Aurais-je rêver d'une seconde chance ou d'une nouvelle vie à ce moment là ? Peut-être. Même si je doutais d'une quelconque réussite, étant de toute façon incapable de lire ou d'écrire, je n'avais rien à perdre, aucune attache qui m'aurait retenue. Juste qu'à ce jour là.
J'étais rentré d'une de mes missions, quelque peu amoché, il faut l'avouer, et je m'étais retrouvé face à elle. Elle était lumineuse, l'innocence incarnée. Avec son sourire doux et enfantin, elle m'avait pris le doigt dans sa main douce et déterminée et elle m'avait fait amené dans sa chambre et fait assoir sur son lit avant de disparaitre pour réapparaitre avec plus de pansements, de compresses, de bouteilles de désinfectant qu'elle ne pouvait en porter. J'étais resté silencieux, incapable d'émettre le moindre de son de peur de briser sa pureté, alors qu'elle me parlait d'Hector, de Suzy, de Pelochon, de Matthieu, de Lapinou, tout en appliquant aussi consciencieusement qu'elle le pouvait le désinfectant sur mes plaies, repoussant parfois l'une de ses mèches blondes et bouclées derrière son oreille.
"Voilà, c'est fini !" Avait-elle annoncé avec son sourire radieux. "Comment tu t'appelles ?" m'avait-elle demandé alors. "Lucas." C'était la première fois depuis longtemps que je prononçais mon véritable nom. Je m'étais relevé pour quitter son refuge. Elle m'avait alors demandé si je reviendrais et j'avais hoché la tête avec le sourire le plus sincère que je n'avais jamais eu.
- Elle est mignonne cette enfant, hein ! Je suis certain que Mélodie nous rapportera beaucoup d'argent et de plaisir quand elle sera prête !
Perdu dans mes pensées, je n'avais même pas eu conscience de la présence de mon père dans le couloir. Je me souviens parfaitement de la colère violente qui m'avait envahi et de l'irrépressible envie de lui faire griller cette idée saugrenue à coup de poings électrifiés. Et c'était là le dernier souvenir que j'en avais. L'avais-je frappé ? M'avait-il maitrisé comme on le fait d'un gosse capricieux ? Je n'en avais aucun souvenir. Aucune bride de mémoire entre ce moment où la fureur m'avait gagné jusqu'à faire vaciller la faible lumière du couloir, et le moment où j'avais retrouvé mes esprits sur la plage. Je m'étais extirpé avec rage de ce sac de toile qui restait insensible aux décharges électriques qui s'échappaient de mes mains. Avaient-ils voulu me noyer sans avoir le courage d'aller jusqu'au bout ? Pourquoi m'aurait-il revêtu de ma veste que je ne portais pas alors et aurait-il pris soin d'empaqueter mes rares affaires dans un sac poubelle.
J'étais à milles lieux d'imaginer qu'au lieu de faire ravaler ses paroles à mon père, j'avais finalement traversé le couloir sans lui répondre, enfilé ma veste et bazardé mes quelques affaires dans le seul sac à disposition, avant de m'en aller tranquillement, toujours sans un mot.
Je trouvais deux papiers, l'un semblait être la carte d'un lieu qui ne m'était pas familier, l'autre, un mot. Crétins. Je ne savais toujours pas lire. Je ne cherchais même pas à le déchiffrer et l'enfourner sans délicatesse dans la poche de ma veste. Je ne savais pas où j'étais, mais j'étais bien décidé à retourner auprès de la petite Mélodie et de la sortir de leurs griffes, quelques en soit les conséquences.
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"Me protéger ? Préserver l'équilibre du monde ? Et elle... qui la protégera et la préservera ?
DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : Heu.. Jack ?
• J'ai : Voyons ! Ca ne se demande pas ! Mais bien plus que l'âge requis ;)
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• Je pense que le forum est : Intéressant !
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" :
• J'aimerai ajouter que :J'ai une disponibilité... variable. Je peux répondre plusieurs fois par jour comme avoir des périodes creuses inexplicables... mais je fais mon possible pour répondre à minima, et poste une absence dans le cas contraire !
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© Himitsu no Kii