Miki Narvemstrom ♀
Née le 18 avril 2001 a Paris • Francaise • ne s’est jamais posé la question, mais sûrement bisexuelle • chat perché • Saruta-Hiko • Sakura Kyouko de Mahou Shoujo Madoka☆Magica
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
On me dit ignorante.
On me dit futile.
On me dit naïve.
Je suis une enfant qui ne veut pas grandir. C’est ce que le psychologue m’a dit un jours. C’est peut être vrai. Après tout, je déteste ce qui est compliqué, et être adulte, c’est compliqué. Je passe mon temps a jouer, je suis pourris gâté et privilégié, mais je m’en fiche. Dans mon monde, on as pas besoin de réfléchir. Dans mon monde, il faut tout prendre a la légère. Parce que quand je réfléchis trop, j'ai la tête qui tourne et je n'ai plus envie de m’amuser. Certain disent que je me suis créée une bulle de protection pour échapper au monde extérieur. Pour me protéger. D’autres disent que c’est a cause de ma famille, qu’elle ne m’accepte pas a ma juste valeur et que ça m’a bloqués. D’autres encore pensent que je suis juste un peu handicapé. Mais pourquoi quand les gens disent ça, ils me regardent avec pitié? Je ne suis pas a plaindre. Je suis heureuse, car je peu tout les jours m'amuser. Je sais que au fond, je suis fragile, mais je ne veut pas l’accepter. On me confisque un jouer? je fond en larme. On me prive de mikado ? Je fond en larme. J'ai sûrement besoin de me raccrocher a ces petites choses pour ne pas être perdue. Peut être est ce pour échapper a la pression qu'est d'être une Narvemstrom? Je n’en sais rien, et je ne veut pas y réfléchir. Je veut juste jouer a chat perché.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Je ne sais pas vraiment ce qu’est la magie. Tout ce que je fais, c’est faire bouger les plantes. Moi je penses que je peu vraiment communiquer avec elles. Mon pouvoir s’utilise tout seul, je n’ai même pas besoin de l’activer.
• Affinité : Oui, je l’aime énormément. Elle m’a permis de partager beaucoup de choses avec Samiko, c’est vraiment un don du ciel.
DESCRIPTION PHYSIQUE
Mon physique? Je n’y ai jamais vraiment porté de l’attention. Essayons de me regarder dans ce grand miroir… La première chose que je remarque sur mon reflet, c’est ma chevelure flamboyante. J’ai des long, treeeees long cheveux roux, qui tournent presque au rouge. Ils sont épais et volumineux, mais pourtant raide. Je les portes souvent en couette, attaché par un gros noeud, mais au premier abord, ça ne se remarque pas. On crois juste qu’ils sont un peu relevés. J’ai aussi une frange mal coiffé qui entoure mon visage et souligne mon regard orangé, qui ne ressemble pas a celui si sérieux de mes parents. Mon regard a moi, il est plus perdu, plus enfantin. Mes yeux oranges sont un peu en amande, et on me dit souvent que c’est très joli. Je suis assez petite, pas plus d’un mètre 55 a mon avis, mais ça me vas plutôt bien. Ma peau est très blanche, comme maman. Mais elle, elle est blond vénitien aux yeux bleu gris. Je porte souvent des salopettes, j’aime bien ça. Je porte aussi des vestes trop grandes pour moi, souvent décorés de motif qui font penser a noel. Parce que j’aime bien noel.
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
“Je me nome Miki, j'ai 14 ans, et je vis dans la demeure de la famille Narvemstrom, a Paris.”
Ça, c’est ce qu’on m’a appris dire depuis mes 3 ans. mais si on m’avais laissé le choix, j’aurais plutôt dit quelque chose comme ça.
“ On m’a attribué le nom de mon ancêtre sans me demander mon avis, juste parce que je suis une Narvemstrom, héritière de la grande entreprise de sopalin reconnu dans le monde entier. Oui, j'ai bien dit sopalin. Et a part du PQ, je ne voit pas comment on pourrais faire pire. De toute façon, ça ne me concerne pas. Pourquoi? C’est tout simple. Je ne fait pas parti de leurs mon. Je déteste ces réception plein de gens bien habillés. Je déteste les cours particuliers aux quel je suis obligé d’assister. Et par dessus tout, je déteste l’hypocrisie des gens riche. Moi, je préfère jouer a chat perché en mangeant des mikado.
Je ne comprend pas les autres. Je ne comprend pas leurs réflexions. Ils se compliquent tout le temps la vie, et moi, je n’aime pas ce qui est compliqué.
Tu as des problèmes d’agents? Viens jouer a chat perché.
Ta femme t’a quitté? Je te donnerais un mikado.
Quelqu’un est mort? Dessinons une marelle.
Mais quand je dit ça, les gens pleurent encore plus. Est ce a cause de moi? On me dit que je ne comprend rien. Et c’est vrai. Mais je n'ai pas envie d’y réfléchir. Ça embrouille la tête, et après, je n'arrive plus à jouer.
Depuis toute petite, on me regarde différemment. Je ne sais pas si c’est de la pitié ou de la compassion. Mais j'ai compris une chose. Je ne suis pas celle qu’ils attendaient. Pourquoi? Je ne sais pas. mais ça m’est égale, du moment ou je peu continuer a m’amuser. Un monde sans jeux, ça ne serait pas drôle. Je suis sure qu’on s'ennuieraient. Je suis allé a l’école, comme une petite fille normal. Mais sans que je le sache, rien était normal. J'étais privilégié. Même si je n’avais pas réussi un contrôle, j’avais au moins 18. Quand je me mettais a jouer au petites voitures en cour, les professeurs me faisaient un grand sourire et continuaient comme si de rien était. Mais pour moi, c’était normale. et je ne comprenais pas pourquoi les autres se faisaient gronder. ce n’est que plus tard que j'ai réalisé que c’était juste l’effet du porte monnaie magique de ma maman. Il lui suffisait de l’agiter et j’avais tout les droits. Au début, j’ai trouvé ça chouette de pouvoir faire ce que je voulais, moi qui déteste les règles. Mais après, ça a changé. Les autres, ils ne voulaient plus jouer avec moi. Ils disaient que j’étais la chouchoute. Ça me rendait triste. Je n’aime pas jouer toute seule. Parce qu’il faut être plusieurs pour chat perché. Puis, j’ai eu une idée. J’ai volé le porte monnaie magique, et je l’ais apporté a l’école. Je devait avoir 8 ans. J’ai dit que je le donnerais si on jouait avec moi. Évidemment, ils on tout de suite accepté. J’étais heureuse de pouvoir partager mes mikado et dessiner une grande marelle dans la cour.
Mais la maîtresse a trouvé ça bizarre de voir tous ces gens autour de moi, et elle est venue voir ce qui ce passe. En voyant le porte monnaie, elle a dispersé tout le monde et m’a emmené dans le bureau du directeur. C’était un gros bonhomme avec trois poils sur le crane. Il ressemblais vachement au dessin que j’avais fait pour mon papa lors de la fête des père. Ce dessin, je ne l’ai jamais revu. Papa a sûrement du le jeter. Il n’aime pas les choses inutiles et encombrantes. C’est dommage, je l’avais pourtant bien réussi.
Le monsieur qui ressemblais a mon dessin a appelé mes parents, et ma mère est venue me chercher. Quand elle a récupéré son porte monnaie, il n’y avais que la moitié de l’argent. Pourtant, j’étais sure de ne pas en avoir donné. C’était sûrement la maîtresse. Mais de toute façon, maman ne l’avais sans doute pas remarqué. Elle a tellement de sous qu’elle ne compte même plus.
Après ça, j’ai arrêté d’aller a d'école pour prendre des cours particuliers. J’ai détesté. Là, je ne pouvait plus faire ce que je voulais. Sinon, je me faisait gronder très fort. Mais j’ai découvert un nouveau jeu que je pouvais faire sans être repérée. Le morpion. Tout seul, c’est pas vraiment drôle, mais au moins, ça passe le temps.
A dix ans, mes professeurs on changés. Au lieux d’en avoir qu’un seul, j’en avais trois. Madame Plinsverg, qui me donnait des cours de littérature et de français, Monsieur Labert, qui m'apprenait l’histoire, et enfin Monsieur Dinapo, pour les mathématiques.
Mais plus de cours demandait plus d’attention, et plus de réflexions. Tout ce que je détestait.
Forcément, mes résultats furent catastrophiques et mes parents eurent la débilitée de me rajouter des heures de travails. Et logiquement, se fut de pire en pire.
Mais un jours, ma salle de classe personnelle fut redécorée en vert, et on y installa une petite plante (un jeune arbuste pour être précis) qui faisait a peine plus de 20 cm et n’avais que quatre petites feuille comme habillement. Elle était original par apport au immenses palmier qui recouvraient l’entrée de ma cour. Je l’ai tout de suite aimé. Je lui chuchotais des histoires drôles et des moqueries sur les professeurs. Elle était ma meilleur amie. J'ai décidé de lui donner un nom. Samiko
Six mois on passé et ma petite protégée ne grandissait pas. C’était sûrement un bonsaï. Moi, ça m’allais très bien. Sa petite taille la rendait plus adorable et elle gardait ainsi son originalité. Je jouais tout les jours avec elle. Samiko était aussi ma camarade de classe, et elle me donnait le courage de continuer a rester assise. Parfois, mes jambes bourdonnaient tellement d’envie de courir jouer que je serrait la petite plante si fort, que j’aurais presque pu briser le pot. Mais elle n’était pas parfaite. Elle avait même un ÉNORME problème: Elle ne participait jamais a mes jeux. Elle restait là, immobile, a me regarder m’amuser seule.
Un jours, ça m’a trop énervé. Peu être que j’étais fatigué, a ce moment là. Peut être étais-je juste nerveuse. Mais en tout cas, une chose est sure. J’ai perdue le contrôle.
Dans un élan de folie, je lui avais sautée dessus en criant “ C’EST TOI LE CHAAAAT!” et était partie en courant me réfugier dans un arbre, hilare. Plusieurs minutes on passé, sans que Samiko ne daigne bouger ne serait-ce qu’un feuille. Alors les larmes sont montées et m'ont embués les yeux. J’en avais mare. J’ai sauté de ma branche et j’ai courus vers elle tout en criant toutes sorte de choses. J'étais seule et elle ne m’apportais pas son soutien. Je ne voulais plus être seule. je me suis énervée, je l’ai secoué dans tout les sens a la recherche d’une réponses et j’ai finis par m’éffondrer, brisant le silence par mes gros sanglots. Beaucoup de temps est passés. Je ne sais pas exactement combien, mais en tout cas ce moment m’avais parut infini. C’est alors que l'inattendu c’est produit. Samiko a bougée. Elle est venue effleurer ma peau de ses feuilles fébriles, comme pour me prouver sa présence. je suis resté choqué, a la regarder. Après ça, elle est vraiment devenue vivante. Elle se tournait vers moi quand je lui parlait, elle agitait ses feuilles pour approuver… j’avais enfin quelqu’un de réel auprès de moi. Désormais, j'emmenai ma plante partout, que ce soit au réception ou au cinéma. Puis un jours, j’ai décidé de présenter Samiko a ma maman. alors je suis arrivé dans sa pièce personnel N°12, celle qu’elle consacre a la manucure, et j’ai posé mon amie sur sa table. Au début elle a grogné en disant que je mettait de la terre partout. Mais des qu’elle l’a vue bouger, son expression a changé et elle n’as pas arrêté de dire “ Oh mon dieux, oh mon dieux, oh mon dieux…”.
Je n’ai pas trop compris pourquoi elle disait ça, et j'ai encore moins compris ce qui s’est passé ensuite. Tout est arrivé très vite. Après la rencontre entre ma famille et ma plante, papa est revenu a la maison, chose qui est très rare. Moi, j’étais contente de le voir. Mais lui et maman avaient l’air stresser et en colère. Ils répétaient sans cesse les mots “Pouvoirs” et “Danger”. Le lendemain, on avait déménager. Je l’aimait bien, notre maison. Mais j’étais heureuse de voir de nouveaux horizons. Je ne me suis même pas demandé pourquoi. J’ai juste profité.
Notre nouvelle demeure était plus petite que l’ancienne, mais seulement a quelques chambres près. Maman s’en est plains, mais papa lui à dit qu’elle s'habituerait. Papa est très amoureux de maman, même si elle fait souvent des caprices. Maman est une enfant gâtée. Elle est pire que moi.
Mais notre stabilité ordinaire n’a pas repris son court. Nous déménagions pratiquement tout les deux mois, chaque fois dans un pays différent. J’aimais beaucoup ça, le fait de voyager. Je voyait plein de choses, plein de couleurs, plein d’odeurs.. Je m’amusait vraiment, je crois même que c’est la période de ma vie que j’ai le plus aimé.
Vers mes 11 ans, nous nous sommes installés a Madagascar. J’aimais beaucoup cet endroit. Les gens ne connaissaient pas chat perché, et je leur ai appris. On y jouais tout les jours dans la ville, même si maman ne voulait pas que je sorte de la résidence.
On se retrouvait a quatre heure de l'après midi, et on partagait un goûter ensemble.
Je m’étais fait des amis de jeux, ce dont je rêvais depuis si longtemps.
Un jours, Nous avons fait une partie dans la forêt. Les arbres étaient dur a escalader, mais c’était un défi de plus qui rendait les choses bien plus drôles.
Je suis donc monté dans grand baobab a l’écorce rugueuse. Le chat était repartis pour courir après les autres, et je m'apprêtais a descendre quand une petite tache volumineuse à attiré mon attention. Elle paraissait faire partie de l’arbre, pourtant, j’étais sure que ce n’étais pas le cas. Je me suis alors approché lentement sur la branche… Soudain, des gros yeux globuleux se sont tournés vers moi, me faisant manquer de tomber de mon perchoir. La petite tache bougeât et c’est alors que je compris. C’était un caméléon! J’en avais déjà vu un dans un reportage et j’avais supplié maman de m’en offrir un. mais elle n’avais pas accepté, me répétant sans cesse que ce n’était pas un compagnon digne de notre classe sociale. Après ça, elle m'avais offert un caniche stupide qui avais sois dis en gagné un concours canin… Mais il était nul, ce chien. Il passait son temps a se pavaner d’une allure gracieuse, et ne voulait jamais jouer. Maman aurait du le garder pour elle, il lui ressemblait vraiment. Au final, je l’ai échanger contre une collection complète de carte Pokémon.
Bon, revenons en a nos moutons.
Le caméléon été toujours devant moi, et n’osait visiblement pas bouger. je e fixait, dans la même position que lui. Nous ressemblions a des statues. Au bout d’un moment, j’ai fourré ma main dans ma poche pour en sortir un mikado. Je lui ais tendu, et de sa langue, il l’a attraper a une vitesse incroyable! Un grand sourire fendit mon visage. Il fallait a tout pris que je le ramène a la maison!! J’ai pris quelques autres bâtonnets de chocolat et je les ais dispersé sur la large branche pour en faire un chemin. L’animal a commencé a avancer doucement vers moi.
Je suis descendu de l’arbre et ais continuer de semer les sucreries sur le sol, jusqu'à chez moi. Il m’a suivis d’un pas hésitant, et une fois dans ma chambre, j’ai versé le reste de mikado sur une petite assiette, près de Samiko. Je me suis empressé de fermer ma porte a clés. Il ne fallait surtout pas que quelqu’un le voit ici! Quand je me suis retourné, je l’ais vu, perché sur mon bonsaï, en train de déguster son repas. Si même Samiko l’adore, je ne peu que le garder!
Plusieurs mois ont passé, pendant tout ce temps j’ai vécu avec Patrick (c’est le nom que je lui ai donné) dans le plus grand secret, partant tout les jours a la chasse au insecte, sachant très bien que les bâtonnet de chocolat n’étaient pas l’idéal a son alimentation. Plusieurs mois ont passé, pendant tout ce temps j’ai vécu avec Patrick (c’est le nom que je lui ai donné) dans le plus grand secret, partant tout les jours a la chasse au insecte, sachant très bien que les bâtonnet de chocolat n’étaient pas l’idéal a son alimentation.
Je m’amusait énormément, et je crois même que Patrick commençait a m'apprécier. Il se blottissait souvent dans mes draps, me tenant compagnie dans les nuits chaudes du pays.
cst le noir total. A mon réveil, j'étais échoué sur une plage de sable fin, avec un gros mal de crane. Il n’y avais plus aucune traces de la foret. J’étais seule dans cet endroit inconnu, armé seulement d’une plante, d’un caméléon, et d’une boite de mikado.
DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : Yoyo, en général xp
• J'ai : 13 ans
• J'ai connu le forum grâce à : top site!!!!
• Je pense que le forum est : super méga giga extra trooop génial!^^
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci
• J'aimerai ajouter que : Je serais moins présente les semaines ou je suis chez mon père, mais ne vous en faites pas!! une fois chez ma maman, je me rattraperait! ^^