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SERINE SHEPHERD ♀
DATE & LIEU DE NAISSANCE :
Née le 23/04/1993 à Atlanta, Géorgie, États-Unis
NATIONALITÉ :
Américaine
ORIENTATION SEXUELLE :
Bisexuelle
OCCUPATION :
Videuse
GROUPE :
Rajin
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
M16A1 de GIRLS FRONTLINE
Caractère
Directe, Sincère, Loyale, Pas stressée de la vie • Téméraire, Trop directe, Soupe au lait sur les bords, Moulin à grossièreté • Montrer son œil droit • Toucher sa cicatrice dès qu’elle stresse •Boire du Jack Daniel’s en fumant un cigare • Sa famille • Les armes à feu • Mettre la main sur la collection d’armes à feu de son père, et accessoirement lui coller une balle entre les deux yeux
Serine, c’est un peu cette vétéran qui a du mal à s’habituer à la vie civile. Téméraire, directe au possible et n’ayant pas peur des mots, elle se démarque de par son héritage et éducation militaire, faisant d’elle une antithèse à à peu près toutes les qualifications qu’on attribue généralement au genre féminin. Brut de décoffrage, c’est bien le terme pour la qualifier : sa franchise et sa façon de vivre la vie telle qu’elle vient permettent assez efficacement de la cerner dès la première rencontre. On aime ou on aime pas, et très franchement, elle n’en a rien à faire, ne venez juste pas la faire chier avec ça. Sinon, ça barde. Sa réaction peut aller des grands éclats de voix (ne cherchez pas, elle crie plus fort que vous, et a certainement un vocabulaire plus… fleuri), jusqu’à en venir aux mains et aux pieds (à quoi elle est aussi très douée). Elle n’aime pas se battre pour autant, c’est simplement qu’elle a une détente un peu (beaucoup) trop sensible.
Au contraire, tant qu’on ne la cherche pas elle ou ses amis, Serine est facilement comparable à une sorte de grande soeur cool, à qui on peut faire confiance pour un peu tout et n’importe quoi. Joueuse et toujours partante pour se divertir d’une quelque façon, c’est une partenaire de conneries en chef. Et si l’idée vient d’elle, il y a des chances que ça concerne l’alcool. Et vu sa descente et à quel point elle encaisse, il vaut mieux éviter de jouer trop sérieusement. Sans être une alcoolique compulsive, elle est tout de même très portée sur la boisson. Il s’agit pour elle à la fois d’un réconfort, lui rappelant son temps à l’armée, et d’un passe temps, surtout s’il s’agit de Jack Daniel’s, et avec un cigare s’il vous plaît. C’est pas ce qu’il y a de plus sain, certe, mais si c’est le prix pour se faire plaisir~
Evidemment, avec une enfance aussi agitée que la sienne, et après une guerre qui lui a quand même coûté un oeil, il serait étrange que Serine n’en ressorte pas avec quelques séquelles. Atteinte d’un léger syndrome de stress post traumatique, certains sons semblables à ceux des explosions ont tendance à la mettre sur les nerfs, mais ce n’est pas grand chose comparé à la haine de son propre corps qu’elle a développé à la suite de ses blessures. Serine se trouve tout simplement hideuse, et à du mal à encaisser les questions sur son oeil et ses cicatrices, préférant détourner le sujet autant que possible. Il s’agira sûrement de la seule chose sur lequel sa franchise sera ébranlée. Mais au fond, notre gaillarde est un peu fleur bleue sur les bords : elle espère que quelqu’un verra outre les cicatrices du soldat… ~<3
Physique
Gris-Marrons • Châtain foncé avec des mèches jaunes • 1m82 • 70 kilos • Fine, avec des formes et bien musclée de partout • Borgne, des cicatrices profondes sur la partie droite du visage et un tatouage de l’emblème du 75e régiment de ranger de l’armée américaine couvrant tout le haut de son dos
Au niveau du physique, Serine n’a pas à se plaindre, loin de là. Élancée, avec de bonnes formes là où il faut (peut-être trop d’après elle), et surtout un corps bien musclé, celui-ci reflète à la fois une robustesse durement acquise pendant son entraînement militaire, et un charme féminin non négligeable. Les mauvaises langues diront que c’est là où est passé le charme féminin qu’il manque à sa personnalité. Non vraiment, là seule chose dont elle se plaint réellement est de sa taille. 1m82 ça commence à faire haut. Ah, et de son visage balafré aussi.
Fin et pointu, ponctué par un grain de beauté sous un oeil gauche oscillant entre le marron et le gris suivant la luminosité, son visage porte les marques de son passé guerroyant. 3 grandes cicatrices en parcours la partie droite, en passant sur son oeil droit, ou plutôt là où il devrait être. Fortement complexée par cette défiguration, elle essaye de la cacher le plus possible sous un cache-oeil un peu stylisé, histoire de porter l’attention sur autre chose, et d’avoir l’air un peu classe par la même occasion. En parlant des marques de son service au sein du 75e régiment de ranger de l’armée américaine, il est inévitable de mentionner son tatouage de leur emblème qu’elle porte fièrement sur tout le haut de son dos.
Enfin, sa chevelure est le dernier élément qui démarque physiquement Serine des autres. Châtain foncé, un peu en désordre et avec une frange quelque peu irrégulière, ses cheveux sont relativement long, car même tressés (ce qu’elle fait habituellement pour se faciliter la vie), ils lui arrivent tout de même jusqu’aux fesses. De plus, pour agrémenter tout cela, certaines de ses mèches sont teintes en jaune, notamment de chaque côté du visage, et dans sa tresse. Parce que pourquoi pas.
Côté vestimentaire, l’Américaine ne fait pas vraiment dans l’extravagance. Préférant la praticité à la classe, et tout en gardant un côté négligé, ses habits quotidiens se composent généralement d’un débardeur kaki (ou dans les tons sombres en tout cas) laissant apparaître son tatouage de dos, d’un mini-short pour la mobilité (parfois une jupe quand ça lui chante, et plus rarement un pantalon), et de bonnes chaussures rangers, parce qu’on arrête jamais totalement ses habitudes militaires. Il lui arrivera sans doute de porter une chemise par dessus le débardeur et un sweat-shirt, mais cela reste quand même assez réservé à l’hiver.
En accessoire, Serine reste relativement sobre aussi. En plus de son cache-oeil, vous ne la verrez jamais ou rarement sans son casque audio, similaire à un casque de comm militaire, et parfois avec ses plaques d’identifications autour du cou. Elle ne les met pas tout le temps, mais les a toujours sur elle.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Serine n’a pas besoin d’un objet particulier pour utiliser ses pouvoirs : Elle se contente de ses mains et de son corps. Toutefois, elle aime l’utiliser de façon créative, notamment en créant des champs électromagnétiques assez puissants pour accélérer des objets métalliques extrêmement rapidement, et ainsi imiter un canon électrique (railgun). (En toute évidence, la quantité d’électricité nécessaire étant phénoménale, elle ne pourra réaliser cette technique qu’après être suffisant montée en puissance)
• Affinité : Responsable de la mort de toute son unité, elle l'antagonise un peu (beaucoup). Elle a toutefois conscience que comme une arme à feu, c'est la façon de s'en servir qui le rend dangereux, et fait donc tout pour le maîtriser au mieux.
• Affinité : Responsable de la mort de toute son unité, elle l'antagonise un peu (beaucoup). Elle a toutefois conscience que comme une arme à feu, c'est la façon de s'en servir qui le rend dangereux, et fait donc tout pour le maîtriser au mieux.
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Serine est née, et a vécu toute sa vie à Atlanta, aux Etats-Unis. Mais avant de parler de son enfance, commençons par sa famille de merde : implantée en Géorgie depuis quelques siècles maintenant, la famille Shepherd fait partis de ces anciennes familles Américaines pas très riches, encore attachées à des traditions et des états d’esprits qui n’ont plus leur place dans le monde moderne. Vous voyez de quoi je parle, le mythe de l’hyper-masculinité, la femme au foyer soumise, le suprémacisme blanc... Très vite, la petite dernière des Shepherd se détacha complètement de cet état d’esprit. Plus instruite peut-être, certainement plus curieuse, elle comprit très vite que ce que son père faisait subir à sa mère et elle même n’était pas normal. Ne parlons même pas du reste de sa famille, oncles et cousins, tout le monde allait dans le même sens, de façon plus ou moins extrême. Toutefois, dans ces cas là, il ne suffit pas de s’en rendre compte pour briser cette continuité. Entourée de professeurs incapables et de gens ne souhaitant pas à se frotter au bras long de son père, elle fut obligée de forcer ses abus et sa violence pendant 18 ans. 18 longues années à voir sa mère chaque jour un peu plus faible et plus détruite autant moralement que physiquement, 18 longues années à le voir petit à petit se tourner vers elle avec ses yeux lubriques. Cherchant avec vigueur une porte de sortie, dès sa sortie du lycée, Serine prit la première qui se présenta à elle.
Dans un sens, l’armée faisait aussi partie d’une longue tradition familiale. Les Shepherd c’étaient battu dans le camp des Confédérés pendant la guerre civile, et depuis les hommes de la famille passaient tous par cette case. Les hommes uniquement. Ainsi, en provoquant son père et sa famille entière une dernière fois, notre rebelle s’engagea. Elle savait qu’en procédant ainsi, elle laissait tomber sa mère, et c’était quelque chose qu’elle regrette amèrement, même aujourd’hui. Mais celle-ci ne pouvait plus être sauvée. Elle était dans le système depuis bien trop longtemps. C’est donc sans surprise, et (presque) sans larme qu’elle apprit sa mort, à peine un an après son départ. Un accident paraissait-il, et son père la priait de revenir. Fatiguée d’être prise pour une conne, ce fut la dernière fois qu’elle adressa la parole à cet homme, et à un quelconque membre de sa famille. Comme ça, c’était vite réglé.
Malgré la rigidité et la rigueur de l’armée, ces années furent certainement les meilleures de sa vie. même si les valeurs de sa famille étaient toujours présente parmis les rangs, à l’armée, des bons résultats permettent de fermer le clapet à ceux qui parlent trop. Un excellent score aux épreuves de tirs, de combats rapprochés, ou encore aux épreuves physiques, et tout le monde vous prend au sérieux. En tenant tête à son père, Serine avait appris quelques tours pour remettre les hommes trop aventureux à leur place. Elle obtenue relativement vite une certaine réputation au camp d'entraînement.
C’est vers ses 20 ans que sa carrière militaire décolla réellement : après avoir durement consolidé ses aptitudes, autant physique que mentale et de maniement des armes et équipements, elle décida de se porter volontaire pour intégrer le 75e régiment de Ranger de l’armée américaine. De renommée établie à l’internationale, intégrer un tel régiment représentait un honneur considérable. Honneur qui lui revient, après deux tentatives se soldant par des échecs.
À désormais 21 ans, Serine était désormais en plein dedans. Intégrée au 3ème Bataillon de Rangers, elle évolua, vécut, souffrit et combattit en leur compagnie. Elle forgea des liens d’amitiés solides et un corps robuste pour se préparer à toutes éventualités. Ou presque.
Ce fut en Afghanistan, où elle était déployée avec un certain nombre de soldat de son unité, que les ennuis commencèrent. Ou recommencèrent, mais c’était pas les même ennuis. ‘Fin vous avez compris. Elle a désormais 24 ans.
Au bout de plusieurs fois, notre guerrière comprit que ce n’était pas une coïncidence. Le matériel électronique avait tendance à défaillir entre ses mains, parfois simplement en sa présence, et de plus en plus souvent. Bien que officiellement c’était dû au climat et à la fatigue du matériel, il y avait beaucoup trop d’indices pointant vers elle comme source du problème. Et en temps de guerre, ce genre de choses peuvent être dangereuses.
Vous connaissez la loi de Murphy ? : “Tout ce qui est susceptible de mal tourner, tournera mal.” -Edward A. Murphy Jr. Serine put apprécier dans toute sa splendeur un cas d’école d’application de cette loi. Tout ce passait bien pourtant : l’unité était en déplacement vers un village suspecté d’être sous occupation ennemie. Sur le chemin, un village normalement pacifié, sans problème. Normalement.
Comme toujours en ces moments là, difficile de savoir ce qu’il se passe. Même avec du recul, elle n’arrive qu’à rassembler quelques fragments de l'assaut. Des cris, des explosions, la tourelle automatique montée sur le blindé refusant de s’actionner, beaucoup de coups de feu, un homme masqué qui lui fonce dessus, un couteau dans l’oeil, du sang, beaucoup de sang…
Malgré les entraînements, une telle blessure provoque une douleur et un choc bien trop intense pour que les soldats puissent s’administrer eux même les premiers soins. Aidée par un camarade, mise à couvert, Serine fut écartée de l’échange de feu. Après ça ? Le néant.
Impossible de savoir combien de temps s'était écoulé pendant qu’elle était inconsciente. Mais elle n’était pas en Afghanistan, c’était sûr. Il y a du sable là bas, mais pas comme ça. Une plage. Une plage comme elle n’en avait pas vu pendant des années. Une douleure lancinante dans la joue droite et l’oeil droit lui rappela les événements précédents son évanouissement, et entre autre que l’oeil en question n’était plus là. Reprenant petit à petit ses repères, réalisant qu’elle était dans un pays en paix, inconnu certes, mais en paix, elle se rendit enfin compte de la lettre qu’elle tenait depuis son réveil. L’ouvrant délicatement, comme si elle contenait une bombe à retardement, elle finit finalement par la lire :
Certaines choses se mettaient en place dans sa tête. Toutefois, la perspective d’une nouvelle vie ne l’enchantait pas tant que ça. Oui, c’était ce qu’elle avait voulu toute sa vie avant de partir à l’armée. Non, l’armée n’était pas exactement fun. Mais elle y avait sa place. Mais à en croire cette lettre, c’était désormais du passé, et le simple fait qu’elle se tenait sur cette plage, sur cette île, et encore vivante étaient des preuves suffisantes pour la croire. Mais avant de pouvoir refaire sa vie, Serine devait faire le deuil de ses camarades. Quoi de mieux que de se noyer dans l’alcool pour ça? Mais une question très, très importante la taraudait.
Est-ce-qu’ils ont du Jack Daniel’s ici?
Dans un sens, l’armée faisait aussi partie d’une longue tradition familiale. Les Shepherd c’étaient battu dans le camp des Confédérés pendant la guerre civile, et depuis les hommes de la famille passaient tous par cette case. Les hommes uniquement. Ainsi, en provoquant son père et sa famille entière une dernière fois, notre rebelle s’engagea. Elle savait qu’en procédant ainsi, elle laissait tomber sa mère, et c’était quelque chose qu’elle regrette amèrement, même aujourd’hui. Mais celle-ci ne pouvait plus être sauvée. Elle était dans le système depuis bien trop longtemps. C’est donc sans surprise, et (presque) sans larme qu’elle apprit sa mort, à peine un an après son départ. Un accident paraissait-il, et son père la priait de revenir. Fatiguée d’être prise pour une conne, ce fut la dernière fois qu’elle adressa la parole à cet homme, et à un quelconque membre de sa famille. Comme ça, c’était vite réglé.
Malgré la rigidité et la rigueur de l’armée, ces années furent certainement les meilleures de sa vie. même si les valeurs de sa famille étaient toujours présente parmis les rangs, à l’armée, des bons résultats permettent de fermer le clapet à ceux qui parlent trop. Un excellent score aux épreuves de tirs, de combats rapprochés, ou encore aux épreuves physiques, et tout le monde vous prend au sérieux. En tenant tête à son père, Serine avait appris quelques tours pour remettre les hommes trop aventureux à leur place. Elle obtenue relativement vite une certaine réputation au camp d'entraînement.
C’est vers ses 20 ans que sa carrière militaire décolla réellement : après avoir durement consolidé ses aptitudes, autant physique que mentale et de maniement des armes et équipements, elle décida de se porter volontaire pour intégrer le 75e régiment de Ranger de l’armée américaine. De renommée établie à l’internationale, intégrer un tel régiment représentait un honneur considérable. Honneur qui lui revient, après deux tentatives se soldant par des échecs.
À désormais 21 ans, Serine était désormais en plein dedans. Intégrée au 3ème Bataillon de Rangers, elle évolua, vécut, souffrit et combattit en leur compagnie. Elle forgea des liens d’amitiés solides et un corps robuste pour se préparer à toutes éventualités. Ou presque.
Ce fut en Afghanistan, où elle était déployée avec un certain nombre de soldat de son unité, que les ennuis commencèrent. Ou recommencèrent, mais c’était pas les même ennuis. ‘Fin vous avez compris. Elle a désormais 24 ans.
Au bout de plusieurs fois, notre guerrière comprit que ce n’était pas une coïncidence. Le matériel électronique avait tendance à défaillir entre ses mains, parfois simplement en sa présence, et de plus en plus souvent. Bien que officiellement c’était dû au climat et à la fatigue du matériel, il y avait beaucoup trop d’indices pointant vers elle comme source du problème. Et en temps de guerre, ce genre de choses peuvent être dangereuses.
Vous connaissez la loi de Murphy ? : “Tout ce qui est susceptible de mal tourner, tournera mal.” -Edward A. Murphy Jr. Serine put apprécier dans toute sa splendeur un cas d’école d’application de cette loi. Tout ce passait bien pourtant : l’unité était en déplacement vers un village suspecté d’être sous occupation ennemie. Sur le chemin, un village normalement pacifié, sans problème. Normalement.
Comme toujours en ces moments là, difficile de savoir ce qu’il se passe. Même avec du recul, elle n’arrive qu’à rassembler quelques fragments de l'assaut. Des cris, des explosions, la tourelle automatique montée sur le blindé refusant de s’actionner, beaucoup de coups de feu, un homme masqué qui lui fonce dessus, un couteau dans l’oeil, du sang, beaucoup de sang…
Malgré les entraînements, une telle blessure provoque une douleur et un choc bien trop intense pour que les soldats puissent s’administrer eux même les premiers soins. Aidée par un camarade, mise à couvert, Serine fut écartée de l’échange de feu. Après ça ? Le néant.
Impossible de savoir combien de temps s'était écoulé pendant qu’elle était inconsciente. Mais elle n’était pas en Afghanistan, c’était sûr. Il y a du sable là bas, mais pas comme ça. Une plage. Une plage comme elle n’en avait pas vu pendant des années. Une douleure lancinante dans la joue droite et l’oeil droit lui rappela les événements précédents son évanouissement, et entre autre que l’oeil en question n’était plus là. Reprenant petit à petit ses repères, réalisant qu’elle était dans un pays en paix, inconnu certes, mais en paix, elle se rendit enfin compte de la lettre qu’elle tenait depuis son réveil. L’ouvrant délicatement, comme si elle contenait une bombe à retardement, elle finit finalement par la lire :
- La lettre a écrit:
- Cher descendant,
Tu as été amené ici en raison de tes pouvoirs surnaturels. Tu ne pourras pas quitter ce lieu, ne devra pas essayer de le quitter. Nous avons essayé de recopier autant que possible le monde extérieur d’où tu viens. Nous espérons que tu ne seras pas trop dépaysé. Intègre-toi aussi bien que possible dans ce monde où seuls les habitants te seront étrangers. Nous cherchons juste à te protéger et à préserver l’équilibre du monde.
A.
Certaines choses se mettaient en place dans sa tête. Toutefois, la perspective d’une nouvelle vie ne l’enchantait pas tant que ça. Oui, c’était ce qu’elle avait voulu toute sa vie avant de partir à l’armée. Non, l’armée n’était pas exactement fun. Mais elle y avait sa place. Mais à en croire cette lettre, c’était désormais du passé, et le simple fait qu’elle se tenait sur cette plage, sur cette île, et encore vivante étaient des preuves suffisantes pour la croire. Mais avant de pouvoir refaire sa vie, Serine devait faire le deuil de ses camarades. Quoi de mieux que de se noyer dans l’alcool pour ça? Mais une question très, très importante la taraudait.
Est-ce-qu’ils ont du Jack Daniel’s ici?
DERRIÈRE L'ÉCRAN
• On m'appelle : Alk, Nora, Octopussies lover, maintenant Serine oxo
• J'ai : 21 ans
• J'ai connu le forum grâce à : TOTOOOOOOOOP SITO
• Je pense que le forum est : Toujours pète sa mama ~
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci (je vous jure, je le connais par coeur à force)
• J'aimerais ajouter que : Encore moi :< Je suis salé d’avoir perdu mes projets avec Alk, alors je repars du bon pied~ Encore désolé aux admins et modos de leur rajouter une dose de boulot supplémentaire.
• J'ai : 21 ans
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Himitsu no Kii
