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Shiroka KICHIGAI ♀
DATE & LIEU DE NAISSANCE :
né(e) le 15/09/1998 à la campagne française
NATIONALITÉ :
Française (son vrais nom n'étant non pas Shiroka Kichigai qui purement inventé mais Laeva Minceul)
ORIENTATION SEXUELLE :
Bisexuelle
OCCUPATION :
Ironie du sors, son métier est le plus gros stéréotype de sa véritable nationalité. Elle travaille dans une petite boulangerie / pâtisserie. / Possède en BAC littéraire.
GROUPE :
Kagutsuchi
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Fujiwara no Mokou de Touhou Project
né(e) le 15/09/1998 à la campagne française
NATIONALITÉ :
Française (son vrais nom n'étant non pas Shiroka Kichigai qui purement inventé mais Laeva Minceul)
ORIENTATION SEXUELLE :
Bisexuelle
OCCUPATION :
Ironie du sors, son métier est le plus gros stéréotype de sa véritable nationalité. Elle travaille dans une petite boulangerie / pâtisserie. / Possède en BAC littéraire.
GROUPE :
Kagutsuchi
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Fujiwara no Mokou de Touhou Project
Caractère
Qualité 1 : Fidèle, Qualité 2 : Protectrice, Qualité 3 : Attentive • Défaut 1 : Solitaire, Défaut 2 : hypersensible (se met vite en colère tout elle panique rapidement), Défaut 3 : Manque d'empathie • Peur/Phobie : L'eau (ne sait pas nager)/Trop s'attachée à quelqu'un• Manie/Tic : Regarde de temps à autre dans le vide • Hobbie/Truc préféré : Jouer, quand bien même ce n'est plus réellement de son âge • Truc détesté : La trahison/Sa famille • Passion : Ecrire • Rêve : Avoir un ami sincère à ses côtés.
Shiroka Kichigai est similaire à une braise flottante et volant au gré de la brise. Une rbaise qui s'éloigne du feu qui est son origine. La jeune demoiselle à définitivement couper les ponts avec son passé et sa famille. A ses yeux, sa famille l'a trahie, et elle c'était ainsi juré de ne plus jamais revenir eux après ce qu'ils lui ont fait. La trahison est quelque chose de douloureux, cela à fait de Shiroka une personne méfiante et solitaire. En effet la demoiselle accorde très difficilement sa confiance d'autant plus qu'elle souffre d'un énorme manque d'empathie. Il est difficile pour elle de se mettre à la place des autres, en particuliers dans la peau de ceux ayant perdu leurs proches. Ce manque d'empathie peut lui donner un air cruel, puisque ne comprenant pas les sentiments de ses interlocuteurs, elle ne cherchera en aucun cas de les réconforter. Les rares fois ou elle parviens à ressentir de la pitié pour un autre, c'est lorsqu'elle parvient à se reconnaître dans une situation qu'elle aurais déjà traverser. Et encore... cela dépend de comment le vis son interlocuteur, Shiroka n'hésite pas à montrer les crocs et porter un discours haineux lorsqu'une personne en fait trop pour quelque chose qui lui semble insignifiant.
Ce défaut, n'est pourtant pas une façon pour elle de se montrer gratuitement méchante. Bien au contraire il s'agit d'un des aspects de son handicap. Atteinte d'un trouble envahisant du développement non spécifier. De nombreux codes sociaux ont échapper à Shiroka durant toute sa vie. Cela ne l'a guère aider et lui à value le fait d’avoir très peu voir aucun ami avec qui jouer. Ainsi est-ce surement pour cela que la demoiselle malgré tout âgée de 19ans se laisse bien tenter par quelques jeux et gamineries, comme si elle souhaitais rattraper le temps perdus qu'elle à passer à souffrir du rejet des autres, son handicap étant que très peu compris. On pourrait alors la considéré comme une grande enfant. Mais si son handicap impact sur ses interactions sociales, il impact également sur ses ressenties et émotion. Le simple fait d’effleurer son ventre peut la faire exploser de rire et la faire se tortiller dans tous les sens. La moindre musique trop forte lui donne la migraine, les odeurs alléchante l'attire tendis que celle du tabac lui brûle la gorge tendis que les rayons même du soleil lui font mal aux yeux et la force à garder presque constamment la tête baisser. Les cinq sens sont un calvaire et les émotions également. Nombreux sont ceux ayant jouer cruellement avec ses sentiments, et nombreuses sont les fois ou Shiroka à hurler à gorge déployer une rage si forte et si intense qu'on en pourrait la décrire. La moindre provocation, ou geste déplacer la perturbe facilement, elle est rapidement submergé par ses émotions, et rapidement, elle perd le contrôle. En quelque sorte à l'image d'un feu de camp devenant soudainement un feu de foret. En effet, elle est hypersensible et pas qu'un peu !
Noué des amitiés à toujours été compliquer pour elle, les garder encore plus. Mais elle est du genre fidèle, à ne jamais trahir ou rompre une promesse, pas même dévoiler un secret. Elle se montre même protectrice, nom pas des sentiments avec lesquelles elle est maladroite mais des coups. Prête à encaisser pour ceux qu'elle apprécie. Ses persécuteurs vous la décrirais comme "Une voie que vous ami avec elle, elle devient littéralement votre chien, elle est tellement facile à manipuler une fois qu'on l'a dans la poche c’est pitoyable". Hélas... nombreux sont ceux ayant abuser de sa confiance après l'avoir dupé et s’être fait passer pour des amis. Ses faiblesses, toutes, une à une, exploiter, exposer au grand jour pour la détruire petit à petit. Solitude... solitude... finalement la solitude n'était là que son amie la plus douce.
Ayant sa confiance abuser plus d'une fois, Shiroka est déterminé à faire que sa nouvelle vie sois bien différente de celle qu'elle à menée jusque là. Et par conséquent, la demoiselle se méfie de tout le monde, sans exception, à tel point qu'on pourrait croire qu'elle méprise tout ceux dont elle croise le regard.
Cette pression et se mal-être constant font que, avec les années, la demoiselle à trouver refuge dans l’imaginaire. Les jeux vidéos et les récits fantastique forment une bulle plutôt confortable dans laquelle elle peut se permettre d'oublier durant quelques instant ses soucis. Ses études littéraire, au lycée était par ailleurs essentiellement due à ce confort qu'elle avait plutôt qu'une idée précise de ce qu'elle aurait voulue faire plus tard. Ecrire et jouer sont donc ses principales occupations pour déstresser et s'évader. Il est d'ailleurs fort probable que son imagination florissante l'a aider à changer l'image qu'elle veux renvoyer d'elle.
Néanmoins, vous remarquerez surement que ses occupations préférée son surtout des occupations d'intérieur et privé. Shiroka ne sors pas, par conséquent, dehors sans réel raison. De plus la jeune fille n'a jamais été attiré par les espaces qui en général attire, foule. Notamment la plage qui est un endroit qu'elle déteste. L'idée de s'afficher en maillot de bain, le soleil qui brille trop fort et vous brule la peau, avoir l'air d'un dindon à bronzer et cramer au soleil, recouvert de crème solaire qui de loin donne plus l'impression qu'on est couvert de graisse (vous savez un peu comme le cochon rôti qui commence à suinter et à être couvert d'une couche luisante quand il est en train d'être chauffer au four ! )plutôt que protéger et surtout... plus que tout... la mer, l'eau ou l'on à pas pied, l'eau ou elle ne sait pas comment nager. Tout cela est très peu pour la campagnarde qui préfère rester très terre à terre et évite d'afficher publiquement son corps. D'autant plus que la jeune femme ne sait absolument pas nager et que les peux de foids ou elle à essayer, c'était l'ors de cours de sport au lycée et que cela finissais toujours par une crise de panique ou elle se mettait à hurler de peur... Nul doute que l'eau est une véritable phobie pour elle. Il est donc évident qu'elle est timide ou sois qu'elle manque cruellement de confiance en sois ou envers les autres.
Physique
Couleur des yeux : Automne • Couleurs des cheveux : Blanc • Taille : 1m68 • Poids : 49k • Corpulence : un peu grande • Signe particulier : Ongles rongés / Cuir chevelu griffer
A son arrivée, c'était toujours Laeva Minceul. Ses cheveux longs et emmêler étaient châtains foncés, son visage blafard au point d'avoir l'air maladif, ses mains aux ongles rongés tremblaient, et ses yeux étaient sombrent comme si plus aucune étincelle n'était apparue dans son regard depuis un moment. Comment était-elle habiller quand elle était arriver ? Qu'avait-elle sur elle ? Et bien pas grand chose. Un pantalon, un haut chaut... le tout dans un ensemble qui faisait très pyjama ou hôpital. On voyait clairement qu'elle était française en raison de la couleur des pigments de sa peau et de ses yeux. Marron foncé, comme du bois mort, tellement foncés que certains disaient que ses yeux et ses cheveux étaient n'ont pas marron mais noir. Et pourtant, cette fille là, dont le cuir chevelu étaient tout aussi en sang que ses ongles, vous ne le reverrez pas.
Laeva est devenue un brasier, un brasier immense et cruelle qui à dévoré son passé, dévoré ce qu'elle était, dévoré tout ce qu'elle détestais. Les flammes, les braises, les cendres... Cette fille n'était que cendre à son arrivé, et une fois sur l'île, la vie semble avoir reprit pour elle, tel un phœnix elle à "réssucité", démarrant et se créant une nouvelle vie. En découvrant son pouvoir, se chevelure sombre est devenue lumineuse et flamboyante, d'un blanc éclatant qui se laisse facilement porter à vent. Une chevelure que l'on pourrait presque comparé à l'image d'un feu indomptable qui dévore tout ce qu'il y a à l'endroit ou le vent l’emporte. Et surtout son regard... son regard si sombre avait retrouver de son éclat d'antan, marron... marron clair... noisette et puis automne, comme si le rouge de sa colère si longtemps accumulé avait envahit ses yeux même pour que d'un simple regard de sa part, vous comprenez immédiatement qu'il n'est plus question d'aller lui chercher des noisettes. Son regard couleur automne observant le paysage n'a pas vraiment l'intention de vous renvoyer une quelconque sympathie.
Mais à t-elle réellement changer dans le fond ? Laeva Minceul était devenue Shiroka Kichigai. Une jeune fille qui s'habillait de manière très peu élégante, une salopette, une chemise, quand bien même elle est pour homme, et la voilà habiller. Etre féminine et élégante ? Très peux pour elle, elle veut être seule et son accoutrement dit la même chose. Rien dans sa façon de s’habiller ne devrais vous donner envie de la draguer. Une robe ? Jamais... une jupe ? Non plus... Plus son corps à caché par du tissu, plus elle se sens à son aise. La jeune fille frêle était devenue en apparence une demoiselle au air de garçon manquer qui pouvait laisser croire qu'elle venait avoir un caractère bien tremper. Ses vêtements, voilà le message qu'ils renvoient : Je ne suis pas la mode, je n'ai que faire de cela, je me fiche de savoir ce que vous penser, votre avis ne m'intéresse guère. Si vous avez pas envie de me parler tant mieux, car je ne désire plus qu'être seule."
Ainsi, autant la comparé à un volcan, Shiroka est plutôt grande lorsqu'on la compare à d'autre fille du haut de ses 1m68, et sa chevelure tombant dorénavant jusqu’à ses chevilles et pas conséquent envahissante accompagnée de ses chaussures épaisse et de son pantalon large ne donne point à sa silhouette cette air fin et mince qu'elle devrait avoir normalement. Si on devait la comparé à quelque chose, ça serait peut-être un volcan. Un volcan qui à l'air près à rentré en éruption mais qui pourtant ne fait que rejeter de la fumée sans rien faire de plus. Laeva avait beaucoup d'ennemis, ses derniers la dupait tel le grand méchant loup qui se déguise en agneau. Shiroka ne souhaitait pas avoir d'amis... celle-ci à l'image de ceux qu'elle détestait était un agneau se déguisant en grand méchant loup. Blessée à cause de son passé, sa nouvelle façon de vivre était là : Autant inspiré un semblant de crainte plutôt que de la pitié.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Cache t-elles es pouvoirs ? Pas vraiment ? Ses flammes n'obéit à aucun objet. Le seul réceptacle de sa magie n'est autre qu'elle même et ses sentiments. Quand la colère devient si intense que vous avez l'impression que votre corps tout entier prend feu. Dans la couleur à l'effet d'un fer chauffer à blanc contre la peau. Sa magie étant directement garder à l'intérieur même de son corps, son apaprence s'en est retrouvé impacté lorsqu'elle à découvert son don et commencer à l'utiliser. Shiroka à profiter de cette occasion pour complétement changement de vie, comme si ses flammes étaient nuls autre que celle d'un Phoenix.
• Affinité : Elle n'a jamais découvert son don avant d'être arrivéE sur l'île. Peut-être y avait-il quelques indices, mais ces derniers n'ont jamais eu suffisamment d'impact pour que Shiroka ne découvre ses pouvoirs avant son arrivé. Aujourd’hui, quand bien même la jeune femme ne maîtrise pas vraiment ses pouvoirs, ont peu clairement dire qu'elle se sens très proche et attaché à son pouvoir qu'elle commence à découvrir. Les flammes sont sources de destructions et c'est se dont elle à besoin... avoir un passé qui n'est plus cendre derrière elle pour pouvoir aller de nouveau vers l'avant.
• Affinité : Elle n'a jamais découvert son don avant d'être arrivéE sur l'île. Peut-être y avait-il quelques indices, mais ces derniers n'ont jamais eu suffisamment d'impact pour que Shiroka ne découvre ses pouvoirs avant son arrivé. Aujourd’hui, quand bien même la jeune femme ne maîtrise pas vraiment ses pouvoirs, ont peu clairement dire qu'elle se sens très proche et attaché à son pouvoir qu'elle commence à découvrir. Les flammes sont sources de destructions et c'est se dont elle à besoin... avoir un passé qui n'est plus cendre derrière elle pour pouvoir aller de nouveau vers l'avant.
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Pour parler de l'histoire de Shiroka Kichigai, il faut avant tout commencer par celle de Laeva Minceul. Né en 1998, Laeva était une enfant parmi tant d'autres. Pourtant il y avait déjà certains signent trahissant sa maladie, mais ses signes ont toujours passer inaperçu aux yeux de ses parents. La jeune fille, comparer à tout enfant normal, eu un retard de langage de 2 ans, mais cela n'a jamais inquiéter ses parents. Après tout, n'importe quel parent se montre extrêmement indulgent avec son propre enfant.
Quand cette enfant sue enfin parler, on l'entendis de temps en temps, pas vraiment souvent. Ca aussi c'était un signe, mais cela n’intriguât pas les aprents qui se disait juste chanceux d'avoir un enfant aussi sage et calme. Dans le milieu familiale, tout n'était que sérénité après tout. C'était un bébé aimé qui en grandissant allait devoir affronter les premières étapes de sa vie qui... nul personne ne le savait encore, mais allait être horrible dans le milieu scolaire.
La première fois que la mère de Laeva déposât sa fille à l'école, des hurlements, des crics, des pleurs, de la peur... une enfant terrorisée face à l'inconnue quand bien même d'autre enfants étaient présent, la jeune enfant ne parlait toujours pas assez souvent. Rapidement, on pouvait distinguer qu'elle était le maillon faible dans une cours remplie de jeune élève. Un e enfant qui ne parle pas, ne joue pas avec les autres et est trop effrayais pour s'approcher des jouets mis à disposition sur la cours en raison de la présence des autres. Et pourtant, son handicap ne fut pas détecter.
Rusée, futée... ou bonne comédienne, qu'importe, de nombreux psychologue affirme qu'il est plus difficle de détecter la maladie mentale dont était atteinte la petite Laeva chez les jeunes filles que chez les petits garçon. On parlait d'un principe de "caméléon". Et c'était ce qu'elle faisait. Laeva se construirait, elle se construirait à partir d'une bride de chaque personne autour d'elle. Si elle aimait quelque chose chez quelqu'un, elle faisait de cette chose sienne. Quand à la maison, l'enfant à toujours rapporter de bon résultat, et n'a jamais laisser transparaître ses problèmes. J.a.m.a.i.s...
Cela fut sa plus grande erreur, la petite, la moyenne, la grande section... puis rapidement le lycée, le schéma était toujours le même. Et chaque année passé, plus les moqueries des autres devenaient violentes. C'est un système très proche de la sélection naturelle... celui ou celle qui n'est pas comme les autres est rapidement mis à l'écart et détester. Laeva à supporter cette situation durant un long moment. Mais elle supportais... elle était persuader d'avoir un amis à ses côtés. Elle était heureuse avec cette ami. Dans cette foule cruelle, un petit garçon était malgré tout devenu son ami... par pitié surement. Mais la simple présence de se jeune garçon permettais à Laeva de surmonter à quel point le système scolaire était cruel, quant à ses notes qui ne chutaient jamais... une personne atteinte d'harcèlement peut réagir de deux façons différente. Souvent, les notes chutes, la personne ne veux plus poser un pied à l'école... dans le cas contraire, les notes restent bonnes voir excellente, car redoublé ou décevoir la famille est quelque chose qui n'est pas envisageable et Laeva fonctionnais ainsi. Si elle ne redoublais jamais... alors elle pourra quitter au plus vite le système scolaire. Tel était son but, terminer au plus vite le collège et le lycée.
Mais dans cette histoire, il y a des zones plus sombres. Le harcèlement n'est pas moindre. Les coups, les moqueries, la peur... La jeune fille se cachait souvent dans la bibliothèque ou le CDI, espérant échapper à ses bourreaux les plus cruels. Et puis chaque année une nouvelle classe... et souvent ce n'était pas celle dans laquelle son ami d'enfance se trouvait. Plus les années passait, moins les horaires permettaient aux deux rejeter de se retrouver. Laeva était de plus en plus seule, et des fois elle éclatait... elle offrait ce que tout le monde voulait voir : sa rage, sa colère, si forte si intense qu'on pouvait clairement voir ses veines se dessiner sur son coups, ses mains se crisper. Elle hurlait sur la cours, effrayait tout le monde et quand la colère était trop forte, ses yeux semblaient juste être ceux d'un chien fou. L'établissement scolaire ou se trouvait Laeva n'a jamais prévenu ses parents de son harcèlement de peur de ternir l'image de leur établissement, ainsi il y a cet événement... cet événement que personne connais, que seule elle, son bourreau et un surveillant connaisse.
L'étranglement. Laeva n'était pas une grande sportive... elle n'aimais pas le sport, elle était la plus lente. Se faire attraper par celle-ci, même lorsqu'elle était en colère et sous l’adrénaline semblait difficilement imaginable. Et puis elle n'abandonnait jamais son sac de peur qu'on le lui vol, alors elle était souvent ralenti. Jusqu'au jour ou finalement... elle laissât son sac derrière elle. Un moment ou elle ne songeait même plus au conséquence, ou bien au risque. Un moment ou elle se donnait plus qu'un seul objectif, "faire bouffer ses dents à une personne parmi tant d'autre la provoquant actuellement". Et se jour là... elle réussît enfin à en rattraper un. Un petit gros... plutôt grassouillet, qui pour se faire bien voir et ne pas être harceler pour sa corpulence s'en prenait à Laeva qui n'arrivait pas à s'exprimer ou à se faire d'ami. Un stupide mouton parmi tant d'autres qui cherche à se faire bien voir. Elle avait attraper ce garçon... se garçon qui... ne pouvait être surpris par la force de sa victime qui se rebellais contre lui. Ses mains c'étaient poser autour de son coup. Durant ses instants, son corps frémissait à l'idée de enfin pouvoir se défouler sur quelqu'un. Son regard était cruel, son souffle était chaud... elle était essoufflé mais elle l'avait attrapé. La terreur était enfin dans les yeux d'un de ses bourreaux, ses instants qui ne durât que quelques secondes restat graver dans la mémoire de Laeva et de son bourreau devenu victime. Mais allat-elle serrer ? Elle hésiter... maintenant qu'elle en avait saisie un... que faire... alors elle fut tenter d'essayer, elle serrât légèrement le coup de celui qui se trouvait entre ses griffes, sa terreur se faisait plus intense... c'était absolument merveilleux, le sourire de Laeva se jour là n'était qu'emplit de vengeance et de malveillance. Elle dévoilait là un côté bien sombre de sa personne... si les autres ne faisait qu'être cruels avec elle... alors elle aussi elle en serrait.
Finalement, elle lâchat prise, le jeune garçon s’enfuyait en tenant sa gorge, ses compère le suivirent effrayer par les traces rouges qu'il avait autour du coup. Les jeunes garçons se plaignirent à la surveillante qui depuis déjà plusieurs années en comptant les années préceente voyait bien que la jeune Laeva était harceler mais que l'établissement ne prévenait jamais ses parents. Elle n'eu droit qu'a un avertissement oral, et pas chance, ses bourreaux ne parlèrent point de l'accident à leurs parents, surement n'assumaient-ils pas le fait qu'ils l'avaient provoquer avant. Mais la surveillante, prise en pitié avait estimer qu'il était tant que les parents de cet enfant qui ne contrôlait plus ses émotions devaient être informer. Laeva changeât alors d'établissement, perdant son seul ami, et se retrouvât dans un autre établissement à ses 14ans. Mais cela ne changeât rien à son mutisme... mais au moins, on la laissait un peu plus tranquille. Quand elle entrât enfin au lycée, les professeurs suggérèrent dans son dos, à ses parents de lui faire consulter un psychologue, c'est ce qui arrivât, et finalement un verdict tombât à ses 17ans. "Trouble envahissant du développement". Cela aurait put être découvert plus tard... mais également plus tôt.
En terminant le lycée, décrochant ainsi son BAC Littéraire... Laeva ne savait plus quoi faire... elle ne voulait pas faire d'étude, retourner dnas un système scolarisé l'effrayait. Et elle n'avais pas de projet... ses parents la laissèrent pour cette année. Ils ne pouvaient pas demander plus à leur fille qu'ils savaient, dorénavant, avait passer toute sa scolarité à cacher ses problèmes et à ne rien laisser transparaitre à la maison. Mais cette tranquilité semblait avoir été rompu depuis que ses parents apprirent son handicap. Des rendez-vous dans son dos... des regards tristes. L'antre de paix qu'était la maison n'était plus aussi paisible, et la spychollogue que devait se coltiner Laeva était, à ses yeux, rien de plus qu'un parasite cherchant à profiter de son cas pour estorquer de l'argent. Laeva ne raconaitais aps tout d'ailleurs à cette dernière, l'accident de l'étrangelement était rester dans l'ombre... la jeuen fille choisissais ses mots avec précautions, ou sois ne donnait pas de réponse. Mais pouvez-vous vraiment gagner une guère contr eun psychologue lorsque même vos proches vous vois comme déranger ?
Finalement le pire des sénario arrivat... à ses 18ans... les parents de Laeva envoyaire celle dans un centre de soin médical pour enfant et cela, contre son consentement par le biais de certaisn papier estiment qu'elle n'étais même aps en état de savoir ce qui était bon pour elle. C'était la trahison de trop... d'abord son ami... puis ensuite sa famille.
Son ami oui... Laeva avait chercher à le recontacter mais... la seule réponse qu'elle eu de sa part en fut rien d eplus que des propos blessant. "Monstre", voilà comment l'avait traiter son ami d'enfance. Maintenant à qui pouvait-elle faire confiance ? Interné au centre... Laeva ne pouvait que attiser sa haine pour les autres, pour ses faux amis d'avant, pour sa famille qui l'avait pousser dans cet enfer blanc. Elle les détestait, et ne pensait qu'a une seule chose... si elle sortait d'ici... elle rejetterais ses parents à son tour. La vie au centre était dur pour Laeva. Il n'y avais pas vraiment de quoi s'amuser. Mais quand est-ce qu'elle serait libre de cette horrible machination ? Laeva voyait déjà sa prochaine destination... d'abord un centre pour jeune ado en difficulté.. et ensuite... qu’elle décision prendront-ils pour elle ? Un hopital psychatrique ? Cette idée effrayait la jeune fille... elle était dans une angoisse constante, elle n'avait plus de repère, elle avait le sentiment qu'on ne cherchait non pas à l'aider mais à la détruire. Une fugue... une fuite... elle devait manigancer un plan au plus vite... fuir un centre est surement plus simple que de s'échapper d'un hôpital psychiatrique. Après tous, les murs sont simplement fait en placo... et puis il n'y a pas vraiment de mur à escalader. Oui... il fallait juste trouver.... le meilleur moment...
Et puis plus de souvenir...
En rouvrant les yeux, Laeva réalisât qu'elle était bien loin de sa ridicule petit chambre au centre. Elle se sentais également épuiser, comme si elle avait courue comme un diable à une destination inconnue... mais... elle n'avait aucun souvenir de tout cela. En regardant autour d'elle, elle vit de la verdure, sentie le vent sur la peau et l'ai frais envahissait ses poumons. Une sensation de libération indescriptible l'envahissait. Un enlève à toujours l'air effrayée mais là... elle avait seulement l'impression qu'un ange était venu la sauver et l'emmener loin de l'enfant qu'était en train de devenir sa vie. Sur elle, elle découvrit bien évidement la lettre, et puis une clef.. et également un vieux jeux de cartes qui était sa seule source de distraction dans la chambre qu'elle occupait au centre. Elle faisait des châteaux de cartes... pour dire à quel point l'ennuyait était à en crever le plafond. En ouvrant la lettre et en la dépliant, elle réalisât que maintenant à quels point ses mains étaient douloureuses et égratiner, comme si elle avait frapper très fort contre quelque chose. Elle réalisât seulement maintenant qu'elle était toute couverte de poussière de mur en plâtre... et Laeva se faisait déjà une idée du quel il pouvait bien s'agir... mais non de dieu que ça faisait mal au mains ! Mais elle n'avait surement pas la choix, le mobilité de sa chambre était cloué au sol au centre donc bon. Se secouant les mains tout en serrant les dents, elle s'asseyant sagement en tailleur, lisant la lettre lui annonçant qu'elle ne devras jamais quitter l'île sur laquelle elle se trouvait. Qu'elle ne reverrais par conséquent jamais ses proches.
Elle la relisait une seconde fois, puis encore une autre..; voir dix fois au moins avant d'avoir un immense sourire sur le visage. Des proches ? Des proches ? Comme si ses parents qui avait voulus se débarrasser d'elle était encore des proches à ses yeux. Alors elle éclatat de rire, s'étalant finalement dans l'herbe en serrant la lettre contre elle. Qu'elle soulagement, qu'elle plaisir, qu'elle merveilleux sentiment de liberté.
Laeva n'avait pas tout compris de ce qu'il lui arrivait, elle en comprenait toujours pas cette histoire de don, mais elle ne pouvait que remercier la personne qui était derrière ce "A." inconnu. Des larmes de joie coulèrent sur son visage, le passé semblait enfin derrière, et cela semblait tellement beau... était-ce réellement, ou seulement un rêve ? A ce moment là, mais Laeva n'a autant aimer avoir mal... ses mains étaient trop douloureuse pour que ce sois un rêve. Alors elle était heureuse et sentiment comme un grand feu de joie s'allumer en elle. Ce qui avait, jusqu'alors, seulement l'air de poussière de plâtre coincer dans les cheveux devenus finalement la véritable couleur de ses derniers. Elle se sentais renaître et dorénavant, plus personne n'aurais le droit de décidé de son destin à sa place et sans son consentement. Plus jamais.
Aujourd'hui... Laeva n'était plus... cette fille détruite avait laisser place à Shiroka Kichigai. Tel un phœnix, des cendres d'une enfance traumatisé surgissait une jeune fille déterminé à ne pas se laisser marcher sur les pieds. Une nouvelle venue sur l'île à l'apparence sans histoire qui avait décidé de travailler dans une petite boulangerie et de gagner sa vie en pétrissant et malaxant la pâte de ses mains. La chaleur entre les doigts, la force qu'il faut y mettre... cela suffisait pour elle. Après tout... il valait mieux que ses mains pétrisse de la pâte plutôt qu'elle pétrisse... le coup des personnes appartenant au passé. Et tant pis si à son âge l'université semble un meilleur choix... de toute façon... il n'est plus question de devoir faire les choses pour que cela fasse plaisir au parent. Maintenant il était seulement et simplement question d'elle et rien de plus.
Quand cette enfant sue enfin parler, on l'entendis de temps en temps, pas vraiment souvent. Ca aussi c'était un signe, mais cela n’intriguât pas les aprents qui se disait juste chanceux d'avoir un enfant aussi sage et calme. Dans le milieu familiale, tout n'était que sérénité après tout. C'était un bébé aimé qui en grandissant allait devoir affronter les premières étapes de sa vie qui... nul personne ne le savait encore, mais allait être horrible dans le milieu scolaire.
La première fois que la mère de Laeva déposât sa fille à l'école, des hurlements, des crics, des pleurs, de la peur... une enfant terrorisée face à l'inconnue quand bien même d'autre enfants étaient présent, la jeune enfant ne parlait toujours pas assez souvent. Rapidement, on pouvait distinguer qu'elle était le maillon faible dans une cours remplie de jeune élève. Un e enfant qui ne parle pas, ne joue pas avec les autres et est trop effrayais pour s'approcher des jouets mis à disposition sur la cours en raison de la présence des autres. Et pourtant, son handicap ne fut pas détecter.
Rusée, futée... ou bonne comédienne, qu'importe, de nombreux psychologue affirme qu'il est plus difficle de détecter la maladie mentale dont était atteinte la petite Laeva chez les jeunes filles que chez les petits garçon. On parlait d'un principe de "caméléon". Et c'était ce qu'elle faisait. Laeva se construirait, elle se construirait à partir d'une bride de chaque personne autour d'elle. Si elle aimait quelque chose chez quelqu'un, elle faisait de cette chose sienne. Quand à la maison, l'enfant à toujours rapporter de bon résultat, et n'a jamais laisser transparaître ses problèmes. J.a.m.a.i.s...
Cela fut sa plus grande erreur, la petite, la moyenne, la grande section... puis rapidement le lycée, le schéma était toujours le même. Et chaque année passé, plus les moqueries des autres devenaient violentes. C'est un système très proche de la sélection naturelle... celui ou celle qui n'est pas comme les autres est rapidement mis à l'écart et détester. Laeva à supporter cette situation durant un long moment. Mais elle supportais... elle était persuader d'avoir un amis à ses côtés. Elle était heureuse avec cette ami. Dans cette foule cruelle, un petit garçon était malgré tout devenu son ami... par pitié surement. Mais la simple présence de se jeune garçon permettais à Laeva de surmonter à quel point le système scolaire était cruel, quant à ses notes qui ne chutaient jamais... une personne atteinte d'harcèlement peut réagir de deux façons différente. Souvent, les notes chutes, la personne ne veux plus poser un pied à l'école... dans le cas contraire, les notes restent bonnes voir excellente, car redoublé ou décevoir la famille est quelque chose qui n'est pas envisageable et Laeva fonctionnais ainsi. Si elle ne redoublais jamais... alors elle pourra quitter au plus vite le système scolaire. Tel était son but, terminer au plus vite le collège et le lycée.
Mais dans cette histoire, il y a des zones plus sombres. Le harcèlement n'est pas moindre. Les coups, les moqueries, la peur... La jeune fille se cachait souvent dans la bibliothèque ou le CDI, espérant échapper à ses bourreaux les plus cruels. Et puis chaque année une nouvelle classe... et souvent ce n'était pas celle dans laquelle son ami d'enfance se trouvait. Plus les années passait, moins les horaires permettaient aux deux rejeter de se retrouver. Laeva était de plus en plus seule, et des fois elle éclatait... elle offrait ce que tout le monde voulait voir : sa rage, sa colère, si forte si intense qu'on pouvait clairement voir ses veines se dessiner sur son coups, ses mains se crisper. Elle hurlait sur la cours, effrayait tout le monde et quand la colère était trop forte, ses yeux semblaient juste être ceux d'un chien fou. L'établissement scolaire ou se trouvait Laeva n'a jamais prévenu ses parents de son harcèlement de peur de ternir l'image de leur établissement, ainsi il y a cet événement... cet événement que personne connais, que seule elle, son bourreau et un surveillant connaisse.
L'étranglement. Laeva n'était pas une grande sportive... elle n'aimais pas le sport, elle était la plus lente. Se faire attraper par celle-ci, même lorsqu'elle était en colère et sous l’adrénaline semblait difficilement imaginable. Et puis elle n'abandonnait jamais son sac de peur qu'on le lui vol, alors elle était souvent ralenti. Jusqu'au jour ou finalement... elle laissât son sac derrière elle. Un moment ou elle ne songeait même plus au conséquence, ou bien au risque. Un moment ou elle se donnait plus qu'un seul objectif, "faire bouffer ses dents à une personne parmi tant d'autre la provoquant actuellement". Et se jour là... elle réussît enfin à en rattraper un. Un petit gros... plutôt grassouillet, qui pour se faire bien voir et ne pas être harceler pour sa corpulence s'en prenait à Laeva qui n'arrivait pas à s'exprimer ou à se faire d'ami. Un stupide mouton parmi tant d'autres qui cherche à se faire bien voir. Elle avait attraper ce garçon... se garçon qui... ne pouvait être surpris par la force de sa victime qui se rebellais contre lui. Ses mains c'étaient poser autour de son coup. Durant ses instants, son corps frémissait à l'idée de enfin pouvoir se défouler sur quelqu'un. Son regard était cruel, son souffle était chaud... elle était essoufflé mais elle l'avait attrapé. La terreur était enfin dans les yeux d'un de ses bourreaux, ses instants qui ne durât que quelques secondes restat graver dans la mémoire de Laeva et de son bourreau devenu victime. Mais allat-elle serrer ? Elle hésiter... maintenant qu'elle en avait saisie un... que faire... alors elle fut tenter d'essayer, elle serrât légèrement le coup de celui qui se trouvait entre ses griffes, sa terreur se faisait plus intense... c'était absolument merveilleux, le sourire de Laeva se jour là n'était qu'emplit de vengeance et de malveillance. Elle dévoilait là un côté bien sombre de sa personne... si les autres ne faisait qu'être cruels avec elle... alors elle aussi elle en serrait.
Finalement, elle lâchat prise, le jeune garçon s’enfuyait en tenant sa gorge, ses compère le suivirent effrayer par les traces rouges qu'il avait autour du coup. Les jeunes garçons se plaignirent à la surveillante qui depuis déjà plusieurs années en comptant les années préceente voyait bien que la jeune Laeva était harceler mais que l'établissement ne prévenait jamais ses parents. Elle n'eu droit qu'a un avertissement oral, et pas chance, ses bourreaux ne parlèrent point de l'accident à leurs parents, surement n'assumaient-ils pas le fait qu'ils l'avaient provoquer avant. Mais la surveillante, prise en pitié avait estimer qu'il était tant que les parents de cet enfant qui ne contrôlait plus ses émotions devaient être informer. Laeva changeât alors d'établissement, perdant son seul ami, et se retrouvât dans un autre établissement à ses 14ans. Mais cela ne changeât rien à son mutisme... mais au moins, on la laissait un peu plus tranquille. Quand elle entrât enfin au lycée, les professeurs suggérèrent dans son dos, à ses parents de lui faire consulter un psychologue, c'est ce qui arrivât, et finalement un verdict tombât à ses 17ans. "Trouble envahissant du développement". Cela aurait put être découvert plus tard... mais également plus tôt.
En terminant le lycée, décrochant ainsi son BAC Littéraire... Laeva ne savait plus quoi faire... elle ne voulait pas faire d'étude, retourner dnas un système scolarisé l'effrayait. Et elle n'avais pas de projet... ses parents la laissèrent pour cette année. Ils ne pouvaient pas demander plus à leur fille qu'ils savaient, dorénavant, avait passer toute sa scolarité à cacher ses problèmes et à ne rien laisser transparaitre à la maison. Mais cette tranquilité semblait avoir été rompu depuis que ses parents apprirent son handicap. Des rendez-vous dans son dos... des regards tristes. L'antre de paix qu'était la maison n'était plus aussi paisible, et la spychollogue que devait se coltiner Laeva était, à ses yeux, rien de plus qu'un parasite cherchant à profiter de son cas pour estorquer de l'argent. Laeva ne raconaitais aps tout d'ailleurs à cette dernière, l'accident de l'étrangelement était rester dans l'ombre... la jeuen fille choisissais ses mots avec précautions, ou sois ne donnait pas de réponse. Mais pouvez-vous vraiment gagner une guère contr eun psychologue lorsque même vos proches vous vois comme déranger ?
Finalement le pire des sénario arrivat... à ses 18ans... les parents de Laeva envoyaire celle dans un centre de soin médical pour enfant et cela, contre son consentement par le biais de certaisn papier estiment qu'elle n'étais même aps en état de savoir ce qui était bon pour elle. C'était la trahison de trop... d'abord son ami... puis ensuite sa famille.
Son ami oui... Laeva avait chercher à le recontacter mais... la seule réponse qu'elle eu de sa part en fut rien d eplus que des propos blessant. "Monstre", voilà comment l'avait traiter son ami d'enfance. Maintenant à qui pouvait-elle faire confiance ? Interné au centre... Laeva ne pouvait que attiser sa haine pour les autres, pour ses faux amis d'avant, pour sa famille qui l'avait pousser dans cet enfer blanc. Elle les détestait, et ne pensait qu'a une seule chose... si elle sortait d'ici... elle rejetterais ses parents à son tour. La vie au centre était dur pour Laeva. Il n'y avais pas vraiment de quoi s'amuser. Mais quand est-ce qu'elle serait libre de cette horrible machination ? Laeva voyait déjà sa prochaine destination... d'abord un centre pour jeune ado en difficulté.. et ensuite... qu’elle décision prendront-ils pour elle ? Un hopital psychatrique ? Cette idée effrayait la jeune fille... elle était dans une angoisse constante, elle n'avait plus de repère, elle avait le sentiment qu'on ne cherchait non pas à l'aider mais à la détruire. Une fugue... une fuite... elle devait manigancer un plan au plus vite... fuir un centre est surement plus simple que de s'échapper d'un hôpital psychiatrique. Après tous, les murs sont simplement fait en placo... et puis il n'y a pas vraiment de mur à escalader. Oui... il fallait juste trouver.... le meilleur moment...
Et puis plus de souvenir...
En rouvrant les yeux, Laeva réalisât qu'elle était bien loin de sa ridicule petit chambre au centre. Elle se sentais également épuiser, comme si elle avait courue comme un diable à une destination inconnue... mais... elle n'avait aucun souvenir de tout cela. En regardant autour d'elle, elle vit de la verdure, sentie le vent sur la peau et l'ai frais envahissait ses poumons. Une sensation de libération indescriptible l'envahissait. Un enlève à toujours l'air effrayée mais là... elle avait seulement l'impression qu'un ange était venu la sauver et l'emmener loin de l'enfant qu'était en train de devenir sa vie. Sur elle, elle découvrit bien évidement la lettre, et puis une clef.. et également un vieux jeux de cartes qui était sa seule source de distraction dans la chambre qu'elle occupait au centre. Elle faisait des châteaux de cartes... pour dire à quel point l'ennuyait était à en crever le plafond. En ouvrant la lettre et en la dépliant, elle réalisât que maintenant à quels point ses mains étaient douloureuses et égratiner, comme si elle avait frapper très fort contre quelque chose. Elle réalisât seulement maintenant qu'elle était toute couverte de poussière de mur en plâtre... et Laeva se faisait déjà une idée du quel il pouvait bien s'agir... mais non de dieu que ça faisait mal au mains ! Mais elle n'avait surement pas la choix, le mobilité de sa chambre était cloué au sol au centre donc bon. Se secouant les mains tout en serrant les dents, elle s'asseyant sagement en tailleur, lisant la lettre lui annonçant qu'elle ne devras jamais quitter l'île sur laquelle elle se trouvait. Qu'elle ne reverrais par conséquent jamais ses proches.
Elle la relisait une seconde fois, puis encore une autre..; voir dix fois au moins avant d'avoir un immense sourire sur le visage. Des proches ? Des proches ? Comme si ses parents qui avait voulus se débarrasser d'elle était encore des proches à ses yeux. Alors elle éclatat de rire, s'étalant finalement dans l'herbe en serrant la lettre contre elle. Qu'elle soulagement, qu'elle plaisir, qu'elle merveilleux sentiment de liberté.
Laeva n'avait pas tout compris de ce qu'il lui arrivait, elle en comprenait toujours pas cette histoire de don, mais elle ne pouvait que remercier la personne qui était derrière ce "A." inconnu. Des larmes de joie coulèrent sur son visage, le passé semblait enfin derrière, et cela semblait tellement beau... était-ce réellement, ou seulement un rêve ? A ce moment là, mais Laeva n'a autant aimer avoir mal... ses mains étaient trop douloureuse pour que ce sois un rêve. Alors elle était heureuse et sentiment comme un grand feu de joie s'allumer en elle. Ce qui avait, jusqu'alors, seulement l'air de poussière de plâtre coincer dans les cheveux devenus finalement la véritable couleur de ses derniers. Elle se sentais renaître et dorénavant, plus personne n'aurais le droit de décidé de son destin à sa place et sans son consentement. Plus jamais.
Aujourd'hui... Laeva n'était plus... cette fille détruite avait laisser place à Shiroka Kichigai. Tel un phœnix, des cendres d'une enfance traumatisé surgissait une jeune fille déterminé à ne pas se laisser marcher sur les pieds. Une nouvelle venue sur l'île à l'apparence sans histoire qui avait décidé de travailler dans une petite boulangerie et de gagner sa vie en pétrissant et malaxant la pâte de ses mains. La chaleur entre les doigts, la force qu'il faut y mettre... cela suffisait pour elle. Après tout... il valait mieux que ses mains pétrisse de la pâte plutôt qu'elle pétrisse... le coup des personnes appartenant au passé. Et tant pis si à son âge l'université semble un meilleur choix... de toute façon... il n'est plus question de devoir faire les choses pour que cela fasse plaisir au parent. Maintenant il était seulement et simplement question d'elle et rien de plus.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
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• J'ai : 18 ans
• J'ai connu le forum grâce à : En me paumant sur internet en cliquant sur les partenaires, de partenaires, appartenant à des partenaires, de partenaires de forum trouver par hasard quand je m'ennuyais...
• Je pense que le forum est : petit adjectif ? :3 fou ?
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : https://youtu.be/O7d3N7w349M?t=8
• J'aimerais ajouter que : j'écris comme un caca
facultatif ! n'hésitez pas à préciser si vous avez des horaires contraignants, des problèmes de dyslexie, une connexion pourrie, etc...
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️ Himitsu no Kii
