Himitsu no Kii
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 Eliasta Urami [terminée]

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MessageSujet: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptySam 14 Mai 2016 - 21:44

Eliasta Urami (♀)

née le 24 novembre 1994 à  Lidrossa  • Espagnol • orientation masculine• occupation: avant esclave, maintenant aucune particulière • Tsukuyomi •Eris, de "sinbad et la légende des 7 mers"


DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
Eliastas est une personne très froide et solitaire au premier abord. Quand on ne la connaît pas, elle peut faire très peur. Elle a une opinion catastrophique des humains car à cause d'eux, elle a vécu de douloureux moments. Elle pense désormais que personne ne l'aimerais pas à cause de son apparence un peu particulière. Elle a perdu toute confiance en elle concernant des relations d'amitié. Qu'à cela ne tienne, désormais elle s'en fout et fera payer quiconque lui manquera de respect. Cependant, elle ne s'attaquera à personne spontanément dès le premier regard. Si vous la laisser tranquille, elle vous laissera tranquille, elle n'aura aucune raison de déclencher un conflit, elle se contentera juste de vous ignorer ou de vous répondre brièvement. Si par contre, vous commencez à lui chercher des emmerdes, elle peut alors vous prendre pour cible, et cela peut aller jusqu'à la mort si vous n'êtes pas attentifs.

Son language est brutal et un peu provocateur, mais il y aura néanmoins de la subtilité dans ses paroles. Je m'explique : elle ne dira pas "vas-y casse-toi gros boloss, tu me gave", mais elle s'orientera plus vers quelques chose du genre "je te conseille de déguerpir si tu tiens à la vie" ou "les emmerdeurs comme toi, je les plante, alors réfléchis bien à tes prochaines actions".

Elle peut paraître violente et sans cœur, mais au fond, elle cherche des repères et des affinités. Elle n'a jamais été aimé de toute sa vie, excepté peut-être par Linda, et encore, c'est pas sûr. Si vous parvenez à lui montrer que vous ne lui voulez aucun mal, si vous êtes patients et savez trouvé les bons mots, elle peut alors peut-être s'ouvrir à vous. Et vous découvrirez une femme bien plus aimal qu'il n'y paraissait il y a encore 5 minutes. Mais un cœur brisé pendant 25 ans peut-il encore être consolé ?

Finalement, malgré ce qu'on pourrait croire, Eliasta a un bon fond, et elle sauve même une humaine agressée, afin de faire payer ceux qui font souffrir si le cas se présente. Mais le problème, c'est qu'elle a de la peine à contrôler ses émotions, et si elle perd les pédales,  alors ça devient un monstre. Mais tant qu'elle est calme, elle peut paraître bien sympathique quoique très froide et distante avec autrui. Il faut ajouter que quand elle perd les pédales et que par la suite, elle reprend ses esprits, elle ne regrette rien de ce qu'elle a fait.  


INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Eliasta ne cache pas ses pouvoirs, elle s'en vante même car pour elle, c'est un cadeau tombé du ciel. Elle les active en claquant des doigts et en jouant avec ses mains.
• Affinité : Elle adore ses pouvoirs, ça lui permet d'assouvir ses envies sadiques lorsqu'elle perd les pédales


DESCRIPTION PHYSIQUE
Eliatstas porte de longs cheveux noirs qui tombent jusqu'au milieu du dos. Ils sont plats et mal peignés. La jeune femme ne les attache jamais. Le contour de son visage est harmonieux mais son teint est plus pâle que la moyenne des gens. Elle a des yeux orange tirant sur le roux, qui deviennent totalement rouge et brillant dans ses moments de folie. Elle possède un nez discret et arrondi et une bouche au contraire plutôt grande sans être imposante, de couleur violet pastel.

Elle porte une longue robe violette sans manche, formant un V retourné au dessus de la poitrine. Celle-ci cache ses jambes et ses pieds. Sa silhouette est élancée et gracieuse. Elle n'a pas une carrure musclée et sa poitrine n'est guère développée.   


RACONTE NOUS SON HISTOIRE


Ne traîne pas, la mutante, il y a encore 3 salles à nettoyer !

Une nouvelle seille me tombe dessus et me cogne la tête. Je pousse un cri de douleur, frotte l'endroit touchée, mais mon maître n'en tient pas compte, il continue de m'insulter et de m'inciter à continuer. Sans rien dire, je prends la seille et va la remplir avec de l'eau. Extérieurement, je suis soumise, j'exécute docilement les énormes corvées qu'il m'impose. Et il ne se gène pas pour me donner les pires besognes. Je n'ai que la nuit pour me reposer, quand encore il ne me demande pas d'encore travailler très tard. Je me suis résignée à obéir, je n'ai plus résisté. Mais intérieurement ça bout. La frustration devient grande. Je ne supporte plus cette situation.   Je vais bientôt tout relâcher cette rancœur que je porte en moi, et là, je ne ferai pas de quartier. Je regarde l'eau coulée, maudissant cette vie de merde que je traverse depuis toujours. J'en ai marre d'être traitée comme un chiffon sale qu'on jette sans ménagement, juste parce qu'il ne nous plaît pas. Je n'ai pas choisi d'avoir un physique si particulier. Comme si j'avais choisi de naître avec un teint si pâle et des yeux aussi repoussant.

Hey, elle est là !

Feu !  

À peine ai-je le temps de tourner la tête que déjà une pierre me frappe le bras, puis une autre la jambe. J'esquisse une grimace, mais ne réplique pas. Après tout, les petites blessures que les cailloux pointus me font ne viennent que s'ajouter aux nombreuses autres.

Bande d'enfoiré... pensé-je en fermant le robinet et m'éloignant des enfants que j'entends rigoler en courant. Je ne réagis pas à leur provocation. Ce sont les fils du maître qui m'avait pris comme bonne à tout faire il y maintenant plus de 10 ans. J'avais essayé à mes débuts ici de les calmer, de leur montrer que je n'était pas faible face à eux et qu'ils ne me faisaient pas peur, mais à chaque fois, ça avait empiré les choses et je m'étais retrouvé dans un piètre état, humiliée par le maître des lieux, qui me faisait bien comprendre qu'ici, je n'étais d'autres qu'une ouvrière sans valeur.

Avant cette vie d'esclave, j'étais à la rue. Mes parents m'avaient abandonnée à l'âge de 5 ans car mon physique effrayait tout le monde. Ils avaient de moins en moins d'amis à cause de moi, et ils ne voulaient plus d'un monstre à la maison. Je m'en souviens avoir pleuré des jours et des jours, assise contre un arbre, ne sachant quoi faire, et avoir errés des semaines entières dans une forêt éloignées des villes, à me nourrir de fruit que je trouvais. J'avais peur, j'étais petite et impuissante et il y avait beaucoup d'animaux à cet endroit. À chaque fois que je mangeais, je devais faire attention à ce que l'un d'eux ne me saute pas dessus pour voler ma nourriture. Si c'était le cas, je préférais la donner plutôt que me battre et fuiyais. Je me mettais alors lamentablement en quête d'une autre source de nourriture, espérant avoir plus de chance.

Après un mois entier à souffrir et à survivre par miracle, je fus recueillie par une charmante dame qui n'eut pas peur de ma laideur et me prit chez elle. Elle m'apprit pendant  5 ans les rudiments de connaissance que je devais posséder. Lecture, écriture, les nombres, etc... Ce fut 5 ans de ma vie paisible et bien agréable. Elle ne m'adorait pas, je le sentais. Elle m'avait juste pris sous son aile par pitié, et j'avais surpris plusieurs conversation avec son mari, contenant le fait que lui ne m'aimait pas du tout et menaçait de divorcer si elle ne trouvait pas une solution. Mais malgré tout, j'avais un toit sous lequel m'abriter et des repas chaud, et ça me suffisait, je ne demandais pas plus.

Prenant une chiffon que je mets dans le sceau avant de le remuer, l'essorer et frotter le sol de la première salle, je me souvins de la nuit de mes 15 ans, quand une bande de voleurs firent irruption dans la maison. Le mari était chez un ami, et moi, j'étais en train de dormir à l'étage en dessus, lorsqu'un cri me réveilla. Il venait du salon, et s'ensuivit beaucoup de raffût. Reconnaissant la voix de mon hôte, je sortis du lit et descendit 4 à 4 les escaliers de la maison. Poussant la porte du salon avec fracas, je vis alors deux hommes tenir la vieille dame pendant qu'un troisième  fouillait la maison. Je criai la première chose qui me vint en tête.

Hey, qu'est-ce que vous faites là ?

Eliasta, file de là ! m'ordonna-t-elle, inquiète

Mais... ne pus-je que répliquer avant l'homme qui fouillait la maison ne se plante devant moi.

Tient, mais qu'est-ce qu'on a là. Tu ne m'avais pas dit que tu étais toute seule la vieille ? sourit-il d'un air narquois  

Touche pas à Linda trou de balle ! lui criai-je au visage.

Depuis mon abandon à Lidrossa, je m'étais endurci, au point de ne plus avoir peur de grand chose. J'étais devenu franche, et la seule personne pour qui j'avais de l'affinité était Linda. La voir alors en danger réveillait alors mon côté spontané. Malheureusement, je  manquais sérieusement de moyen de me défendre. Je n'avais jamais appris à me battre, et une fois de plus, je dus subir les évenements.

Le voleur me prit par le cou et me plaqua contre la paroi du salon, serrant fort son étreinte.

Ecoute bien petite garce, personne ne manque de respect au maître Fedrojo, et surtout pas une petite gamine dans ton genre, pigé ?

Je vous en pris, lâchez-là, pitié !

Lui tenant la main, je soutins son regard, souffrant du manque de souffle. Je ne me démontai pas et réussi à articuler.

J'en a rien à foutre de ton nom, lâche Linda tout de suite.

Un poing dans ma joue me fit valser à terre. Retrouvant un peu mon souffle, je me redressai péniblement, entendant encore le voleur me parler.

Sale peste, tu as du cran pour ainsi me défier. En plus regarde-toi, tu es laide comme jamais. Comment oses-tu ainsi me tenir tête. Les gens comme toi ne sont bons qu'à être soumis à...

Encore à genou, je le regardai s'interrompre avant d'affiche un sourire qui faisait froid dans le dos. Il se tourna vers Linda.

En voilà une bonne idée, il se trouve qu'il me manque justement une personne à mon service.

Il marcha vers elle.

Voilà ce que je te propose, tu me donnes cette fille, et je laisse ta maison en état, qu'en penses-tu ?

Me relevant, je la vis se mordiller les lèvres. Je fus alors surprise. Pourquoi hésitait-elle autant ?

Linda, ne fais pas ça, je peux...

C'est d'accord, allez-vous-en et prenez là... me coupa-t-elle

Restant bouche-bée, je ne réalisai pas tout de suite ce que cela voulait dire. Je vis le sourire de Fedrojo grandir davantage lorsqu'il se plaça face à moi. Ses deux acolytes lâchèrent la vieille dame et s'approchèrent de moi.

Ne me touchez pas immonde tête de nœud ! fis-je quand ils me prirent par les bras.

Je me débattis, administrai des coups de poings, des coups de jambes, mais j'étais faible, et bien vite, je reçus un coup dans l'estomac qui me mit à terre. Tentant tant bien que mal de supporter la douleur, je sentis quelque chose soulever mon menton. Mes yeux se plantèrent alors dans ceux du maître.

Tu vas te calmer direct, tu m'appartient maintenant, et je ne suis pas tendre, pigé ?

Je voulus répliquer, mais aucun mot ne sortis de ma bouche.

Je serre davantage mon torchon à ce souvenir. Je n'avais toujours pas pardonner à cette enfoirée de Linda. Elle qui avait fait passer son propre bonheur avec son mari après le mien. Elle qui avait préféré préserver son couple plutôt que garder une adolescente heureuse. Je lui en veux toujours. C'était immonde, ils étaient tous immondes. Je trempe le torchon dans la seille et mes yeux tombent sur mon avant-bras droit. Il était marqué du sceau de Fedrojo, symbolisant que je lui appartenais. Douloureux souvenirs que cette marque, comme toute ma vie dans le fond...

Il me l'avait gravé au fer blanc juste en arrivant dans sa demeure. Je m'étais débattue depuis le moment où ses deux acolytes m'avaient entraînée hors de la maison, hurlant à Linda mon ressentis, jusqu'à l'apposition de ce sceau. Le maître m'avait pas mal frappée en chemin, me sommant de me calmer, mais je résistais malgré tout. Mon hurlement de douleur sortait du fond du cœur, mais personne ne vint me consoler. Je n'eus juste que de la rancœur qui se plaça profondément dans mon cœur.

Je sentis une douleur intense sur l'avant-bras pendant une semaine, mais qu'importait, le maître me fit travailler dès le lendemain, sans ménagement. Tout mon entourage commença à me haïr.  Personne n'acceptais mon apparence, et tous me prirent pour un monstre. Je m'était plusieurs fois insurgée face à ce mépris, mais à chaque je m'en était mordu les doigts.

J'ai alors décidé de frapper plus fort.

Je termine les trois salles et me dirige alors vers les cuisines, pour préparer le repas du soir. J'empoigne le couteau et le regarde un peu passivement, imaginant ce que je pouvais faire avec. Pas très longtemps, car bientôt, j'entends l'affreusement voix d'un des enfants me remettre à l'ordre.

Hey la mutante, révasse pas, la viande va pas se couper toute seule hahahaha !!


Je le vois courir vers moi. Il tente de me frapper sur le flanc, et je retiens sa main. En temps normal, je l'aurais laissé faire, de peur de subir la punition qui m'est réservé. Mais désormais c'est différent. D'ailleurs, l'enfant est surpris d'un tel geste, et commence déjà à râler, menaçant d'aller tout rapporter à son papa. Il m'ordonne de le lâcher, mais n'a pas le temps de finir sa phrase que déjà mon couteau s'est planté dans son cœur. Mes yeux virent au rouge brillant. Mon expression se ferme dans les ambiances glaciales et démoniaque. ça y est, mes années de souffrance vont prendre fin.

Je retire le couteau de l'enfant et abandonne mon travail pour avancer vers la sortis. J'entends quelqu'un monter. En arrivant devant moi, il est horrifié et me crit dessus, m'attaquant avec sa lance. C'est l'un des gardes du maître. Le regardant telle une démone assoiffée de sang, je dévie sa lance d'un revers de main, la faisant saigner, mais n'éprouvant aucune douleur, et plante mon couteau dans l'un de ses yeux. Je le vois hurlé à la mort, mais je ne manifeste aucun sentiment, plantant un deuxième couteau dans son cou. Le fixant en train d'agoniser, j'affiche un sourire et regarde mes mains tachées de sang. Je ressentis alors une grande joie. La folie me gagne, mais je m'en moque. À présent, ils vont tous payer. Ces années de rancœur depuis longtemps installées en moi, vont enfin sortir, et je ne vais pas les retenir. Le rire qui sortis de mes poumons résonna comme une libération pour moi, mais vibrait de façon satanique autour de moi.

Depuis 10 ans d'esclavage, j'avais  passé les 5 dernières années à m'entraîner, à me renforcer, dans l'espoir qu'un jour je puisse enfin devenir maître de mes actes, et ce jour arrive enfin. Je tue tous les résistants qui croisent ma route. Mon visage comparable à un diable dénoué de sentiment, je n'ai aucune pitié, rendant le chemin entre la cuisine et l'extérieur comparable à une vraie boucherie. Tous y passent, femmes, enfants, y compris le grand maître, à qui je réserve une mort lente et douloureuse. Je le rencontre près de l'endroit où j'ai été marquée, et, évitant ses coups, je finis par chopper le fer chauffé à blanc que je plaquai contre sa joue. Je touchai également son ventre avant de viser sa jambe. Puis je l'égorgeai avec un couteau que j'avais pris avant de descendre de la cuisine et le laissai pour mort.

Avec les salutations de la mutante...

Je suis devenue une vraie démone, n'éprouvant plus la moindre compassion. Toute ma vie j'ai dû subir l'oppression et l'humiliation. Même ceux en qui j'avais confiance se sont révélé être de sombres traîtres. Plus jamais je ne vais accorder ma confiance à qui que ce soit. Tous des tocards, tous des faux-culs.

Je sors de la propriété de mon geôlier le regard noir et glacial. Puis, le trou de mémoire. Je ne me souviens plus comment, mais bientôt, je me retrouve couchée dans l'herbe, avec l'océan juste à côté.

J'ouvre les yeux et découvre un paysage totalement différent de tout à l'heure. Je me redresse e regarde autour de moi, l'esprit un peu perdu. Mes yeux ont reprit leur couleur normale et ma folie est redescendu. Mon cœur est légèrement apaisé. Je tente alors de me souvenir de ce qui s'est passé pour que j'atterrisse ici, mais seule ma fuite de chez Fedrojo me revient. Rien de ce qui s'est passé ensuite ne se frayent un chemin dans ma mémoire. Je me mets debout.

Ou Est-ce que je me suis encore fourrée moi...

Je décide d'avancer pour en savoir plus et entre alors dans une forêt. 15 ans après, je retrouve ce qui m'a servi de maison un mois entier. Mais je ne m'attarde pas en nostalgie. Je poursuis mon chemin et tombe sur un groupe d'ouvriers s'occupant de coupe de bois. Encore de ces saletés d'humain, je ne suis donc pas aux paradis. Mon avant-bras d'ailleurs est toujours décoré du sceau de l'ex-maître. Non, tout ceci est bien réel. Je les observe un instant, répugnée à l'idée de devoir leur demandé quelque chose, mais bientôt ce furent eux qui me forcèrent la main.

Eh toi, fais gaffe, 't'es au chemin.

Je me fis légèrement bousculée par un duo portant un lourd tronc. Je me retiens de les insulter, posant une simple question.

Dites-moi, je suis un peu perdue, on est où ?


Pas le temps, on bosse nous, tu te démerde

Mon regard se durcit. Il cherche vraiment à me faire sortir de mes gonds. Agacée, je claque des doigts par réflexe, et alors, quelque chose d'inattendu se passe. Je vois tous les travailleurs subir une soudaine grosse fatigue. Tous abandonnent leur poste pour s'asseoir, essoufflés, râlant que leur besogne est fatiguante. Pourtant, il y a encore quelques secondes, ils étaient tous en forme. Je pris un air surpris avant de regarder ma main. C'est moi qui ai fait ça ?

Je tentes une nouvelle fois de claquer des doigts, et je les vois alors tous à moitié endormi sur le tronc d'arbre. De plus, une petite sphère noir et ténébreuse se forme pour vite disparaître. Cela semble se confirmer, j'ai une emprise surnaturelle sur ce qui se passe.

Un sourire se dessine sur mon visage. Pour la première fois depuis longtemps, quelque chose d'intéressant m'arrive. Je domine. Enfin je suis de l'autre côté de la balance. Je m'approche d'un des bûcherons et je le plaque contre l'arbre vers lequel il s'était assis.

Très bien, maintenant, tu vas pouvoir me répondre. On est où ?

Il me regarde avec des yeux très fatigués avant de bredouiller.

Je..ai...p...as

Mes yeux commencent à rougir, sans toutefois être brillant. Je claque une nouvelle des doigts et l'homme s'écroule. Je prends alors une serpe, et je lui creve les yeux.

Tu l'as cherché

Je me releve et voit tous ces collègues endormis par terre. Je les fixe un moment avant de lâcher la serpe et de continuer mon chemin. Je finirai bien par trouver où je suis. Et maintenant, avec cette soudaine capacité, je vais enfin pouvoir vivre ma vie comme je l'entends. Mon sourire s'agrandit  et mes yeux redeviennent orange.Une nouvelle vie commence.  

 


DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : eh oh bande de feignasse, c'est à vous de trouvez des surnoms (vous avez déjà bien commencé d0ailleurs  Eliasta Urami [terminée] 1066306465  
• J'ai : 21 ans
• J'ai connu le forum grâce à : Top-site
• Je pense que le forum est : intéressant
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : #Jessy valide ! ♪
• J'aimerai ajouter que : la fondue, c'est vachement bon. Nan sinon sérieusement, j'aurai une présence très fluctuente, mais rassurez-vous chacun de mes longues absences sera annoncées.



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Dernière édition par Eliasta Urami le Mar 17 Mai 2016 - 20:16, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptySam 14 Mai 2016 - 21:55

Une autre hispanophone ! Super ! ^^

Bienvenue à toi.
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Kurai S. Ikazuchi
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptyDim 15 Mai 2016 - 0:28

Déjà dit sur la CB, mais bienvenue à toi, miss Amenon x)
Si tu as des questions, tu sais où venir x)

Par contre, je t'annonce déjà que le code du règlement n'est pas le bon, courage pour le trouver ;)
Bon courage pour ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptyLun 16 Mai 2016 - 11:00

Terminée chers modo, à vous la parole :D
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Jess L. Nyström
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptyLun 16 Mai 2016 - 17:52

Hello !
Trois choses :
• Ton personnage n'a donc aucune qualité ? C'est étonnant ! Même le dernier des monstres à des qualités.
• Le physique est bien trop court, il va falloir l'étoffer.
Chemin des débutants a écrit:
Avant de commencer à écrire le physique du personnage, il est fortement recommandé de chercher un avatar. Il vous sera plus facile de décrire le personnage sur l’avatar, plutôt que de trouver un avatar qui correspond à votre idée.

Si vous manquez d’idées : pensez à décrire votre personnage de haut en bas. Commencez par la tête : décrivez les cheveux, sa coiffure, leur couleur, leur texture, leur forme ; continuez avec les yeux en donnant leur couleur et leur expression par exemple ; puis donnez la forme du nez, s’il est pointu, petit ; n’oubliez pas la bouche du personnage, ses lèvres, leur couleur. Enfin, vous pouvez aussi préciser si le personnage a des piercings, s’il est maquillé. N’oubliez pas que les yeux violets par exemple ne sont pas naturels : vous devrez justifier leur couleur.

Par la suite, décrivez le corps du personnage : son buste, sa poitrine (si c’est une femme), son ventre, ses bras, s’il est musclé, son poids, sa taille, la couleur de sa peau, la texture de sa peau.

Vous aurez compris comment procéder. Vous pouvez aussi décrire son style vestimentaire, s’il porte des tatouages, des accessoires. Bref, on veut tout savoir sur lui !
• Ton avatar est trop petit ! Il doit faire la taille suivante : 200x400px. Merci de corriger ça ;)
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptyMar 17 Mai 2016 - 20:17

J'ai modifier selon tes dires les 2 premiers points, mais le 3e je vais t'étonner mais... je sais pas faire ça :D

Pourrais-tu m'aider ?
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Jess L. Nyström
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] EmptyJeu 19 Mai 2016 - 21:58

J'ai résolu ton souci ;)
Je te valide ! :D
N'oublie pas, dès à présent, de demander un logement et de recenser ton personnage ! :)
Si tu as des questions, n'hésites pas !
#J.
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MessageSujet: Re: Eliasta Urami [terminée]   Eliasta Urami [terminée] Empty

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