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Leiv Allagi (♂)
DATE & LIEU DE NAISSANCE : Awashima
né(e) le 07/07/2000 à Awashima
NATIONALITÉ :
Awashinienne (Faut bien trouver un truc 030)
ORIENTATION SEXUELLE :
Bisexuel
OCCUPATION :
Étudiant
GROUPE :
Amaterasu
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Shu Sakamaki de Diabolik lovers
Caractère
Calme, Attentionné, Chaleureux • Lunatique, À (trop) la tête dans les nuages, Impulsif • Le silence • Taquiner les gens qu'il aime bien/faire craquer ses jointures • Les bonbons à la canelle• Le café • L'Aïkido et la musique • Reprendre le dojo familial
Leiv est un jeune homme attentionné qui tiens à ceux qu’il aime et ne refuseras jamais de rencontrer de nouvelles personnes. Il n’est pas rare qu’il s’amuse à tourner les gens en bourrique pour son bon amusement, mais il faut rarement le prendre au sérieux dans ces moments-là. À cela peut s’ajouter une aura de calme qu’il utilise pour essayer de mettre les gens à l’aise et apaiser les tensions ambiantes. Rarement, ce calme peut se transformer en violence en un quart de tour s’il sent que lui ou l’un de ses proches court un danger quelconque et ce trait de caractère l’a souvent amené dans des bagarres qu’elles soient dans la cours de récré ou la rue de la ville. Il redoute rarement un affrontement à cause de son mètre 80 et de ses connaissances en aïkido qu’il a acquise de sa mère. Généralement, il est capable d’éviter ce type d’affrontement en mettant ses écouteurs et en montant le volume de sa musique à fond, mais il y a des gens qui ne savent pas quand s’arrêter et il y a des limites qui marquent le point de non-retour. Dans la vie de tous les jours, il est plutôt du genre à se retrouver la tête dans les nuages et à écouter sa musique en classe, mais finit toujours avec de bonnes notes (au grand dam de ses profs d’ailleurs). N’allez pas croire qu’il fait son voyou, mais c’est que Leiv est atteint d’un trouble déficit de l’attention (TDA) qui fait en sorte que si un sujet ne l’intéresse pas il passera rapidement son chemin et la seule façon pour lui d’étudier est de répéter ses cours en faisant ses katas. Vous l’avez peut-être compris, mais sa vie tourne autour de trois choses : ses proches, la musique et l’aïkido. Le priver de l’un de ces éléments peut conduire d'un léger stress à la crise de panique dans les cas les plus extrêmes c’est pourquoi il a toujours ses écouteurs à portée de la main : pour contrer le silence qu’il redoute tant et peut lui donner la nausée. Par contre, si vous voulez rester en bons termes avec lui, ne lui servez pas de café. Non seulement le goût lui est insupportable, mais son corps supporte mal la caféine et peut vite être pris de tremblements et d’une énergie que peu de choses arrête. Pour éviter tout cela, offrez-lui des sucreries en tout genres spécialement les bonbons à la cannelle. Son rêve le plus précieux est de reprendre le dojo familial pour perpétuer l’art de l’Aïkido.
Physique
Bleus • Blonds • 1m80 • 65 kg • Svelte et athlétique • Des écouteurs vissés sur les oreilles pratiquement 24h/24
Physiquement, il a hérité de fins cheveux blonds de son père et des yeux bleus perçants de sa mère. Certains utilisent du gel coiffant pour avoir un look décoiffé, mais ce n’est pas le cas de Leiv qui a seulement besoin d’une bonne nuit de sommeil et voilà que ses mèches bouclées se retrouvent dans tous les sens et il a renoncé à régler le problème. Sweats en laine, t-shirts, jeans, souliers de courses sont pratiquement tout ce que Leiv porte au quotidien hormis son uniforme d’Aïkido et ses choix de couleurs sont principalement le beige, le bleu et le noir.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : C'est plus un réflexe qu'une obligation, mais il se craquera les jointures avant d'activer sa magie
• Affinité : Elle lui permet de protéger ses proches d'éventuels danger et de s'amuser donc il l'aime bien
• Affinité : Elle lui permet de protéger ses proches d'éventuels danger et de s'amuser donc il l'aime bien
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Je me sentais apaisé. J’étais allongé sur le sol du dojo avec mes écouteurs vissés à mes oreilles et baignant dans la lumière du soleil qui pénétrait doucement à l’intérieur en réchauffant mon corps somnolent. Cet endroit était mon havre de paix dans lequel je viens toujours me réfugier quand j’ai besoin de m’éloigner du vacarme quotidien. Aujourd’hui marquait le début de ma dix-septième année de naissance et mes parent, Faeann et les parents Lindòrie m’avaient chassé de la maison pour ne pas gâcher la surprise. Les mains derrière la tête, je me laissais aller à la mélodie quand je sentis quelque chose s’installer sur mon ventre. Sans même ouvrir les yeux, je savais qu’il s’agissait de Kaldr, mon familier qui était un petit louveteau blanc et au lignes rouges, qui avait dû s’épuiser à me chercher dans la maison. Une fois qu’il se fut écroulé sur mon estomac, je me mis à le caresser d’une main en souriant légèrement. Si seulement tous les jours pouvait être comme aujourd’hui. Lentement, mes yeux se fermaient alors que mes souvenirs surgissaient du fond de ma mémoire.
Je devais avoir à peu près six ans quand mon tempérament impulsif se montra dans toute sa splendeur pour la première fois. Je n’avais jamais été un enfant très patient, mais ce jour-là fut le début d’une longue série de bagarres. Il ne fallut pas longtemps avant que je devienne le garçon qui envoyait des coups de poings à tout va. À cause de cela, je n’ai jamais eu beaucoup d’amis en grandissant parce que les autres enfants avaient peur de moi et m’avaient construit une réputation qui ne me montrait pas sous mon meilleur jour. Les rumeurs avaient parfois aucun fondement, mais j’avoue qu’à l’époque, j’étais en effet du genre à donner un coup sur le nez pour un oui ou un non.
C’est à peu près à la même époque où j’ai commencé à pratique l’Aïkido sous la tutelle de ma mère et la compagnie des autres élèves du dojo. Au fil de mes leçons, j’ai appris la discipline et le contrôle de mes émotions, mais ce n'est pas toujours facile de se contrôler quand on voit ses proches ou d'autres personnes victimes d'injustice. Certains me considéreraient comme un génie, mais ils ne savent pas toutes les heures sacrifiées, les blessures accumulées et la fatigue accumulée pour arriver à ces résultats et je ne désire ni pitié ni reconnaissance. Malheureusement, on ne peut changer qui on est et les bagarres, bien que moins fréquentes, étaient toujours d’actualité au grand malheur de mon père.
Avec l’adolescence vint un période de changements qui sonnaient la fin de l’enfance et le début de l’adolescence. Faeann était la seule amie qui me restait après tout ce temps et je ne la remercierais jamais assez d’être restée quand tous les autres sont partis. De ce que j’ai entendu, elle était toujours la première à me défendre quand une nouvelle rumeur faisait son apparition et cela lui avait attiré des ennuis plusieurs fois et je m’en suis souvent voulu de ne pas pouvoir attraper ceux qui osaient lui dire des imbécilité…faut dire qu’ils connaissaient sûrement notre relation et ils m’évitaient pour être sûrs de ne pas être punis. Je sais bien qu’elle n’est pas sans défenses, mais j’ai cette envie incontrôlable de vouloir être là pour elle tout le temps. L’exemple le plus frappant (ah ah jeu de mot) est la fois où j’ai enfin pris les imbéciles la main dans le sac. Ils étaient trois en train de rigoler autour d’un bureau dans une salle de classe vide après une journée de cours bien rempli. Je les voyais gribouiller quelque chose et je me rendis compte que c’était le bureau de Faeann et c’est là que j’ai vu rouge. Je me fichais du surnombre et fonça directement sur eux pour leur montrer ce qu’il en coûtait de s’en prendre à elle. Le premier était trop surpris pour réagir et fut rapidement mis au tapis, le deuxième m’envoya un coup de poing qui me fendit la lèvre pendant que j’étais occupé à éviter l’autre. Des coups furent échangés et ce deux contre un et transforma en duel. Malheureusement, j’ai seulement eu le temps de le projeter sur le sol avant qu’un professeur ne viennent s’interposer. Je devais avoir l’air d’un fou avec mes yeux écarquillés et la lèvre en sang et j’ai fait de mon mieux pour me calmer avant d’avoir plus d’ennui que j’avais déjà récolté en attaquant trois de mes camarades et les avoir mis à terre.
C’est après cet incident que je crois avoir compris en grande partie ce que je ressentais pour Faeann, car il y a un moment j’aurais dit qu’elle était comme une sœur puisqu’on a vécu ensemble depuis qu’on est nés, mais depuis cet incident…quelque chose a changé en moi même si je ne pourrais dire quoi. Parfois, quand je la vois, j’ai envie de la serrer dans mes bras sans aucune raison et ça me mélange complètement au point où j’en viens à rougir légèrement. Si seulement le cœur venait avec un manuel d’instructions parce que je suis perdu dans des sentiments qui brûlent mon cœur.
Au moment d’entrer, la nervosité m’a gagnée en pensant que tout allait être différent après aujourd’hui. Les prêtres m’amenèrent devant l’autel consacré à Amaterasu qui était composé d’un simple miroir qui brillait sous une lucarne faisant entrer les rayons du soleil. On m’avait donné comme instruction de m’agenouiller et de me concentrer. J’ai fait le vide dans mon esprit et je sentis mon dos brûler comme milles enfers, mais je fis de mon mieux pour garder ma concentration. Dans mon esprit, à mesure que mon dos brûlait, une lumière apparut autour de moi tellement forte que je la voyais même avec mes yeux fermés et je sentais la chaleur ambiante augmenter. À l’intérieur de mon corps, je sentais comme si on avait libéré quelque chose qui était enfermée à l’intérieur de moi qui ne demandait qu’à sortir. Je me sentais comme si on m’avait libéré d’un poids d’on je n’avas pas eu connaissance jusqu’à maintenant. Progressivement, tout revenait à la normale et je me sentais comme vidé de mon énergie. En titubant, je me suis relevé pour trouver devant moi un petit louveteau blanc qui se trémoussait et je sus immédiatement ce qu’il était : mon familier. Depuis que Kaldr est entré dans ma vie, j’ai l’impression qu’il me comprend mieux que mes parents ou même Faeann.
Bizarrement, j'entends une musique au loin...
J’ai ouvert les yeux en grimaçant avec le son soudain de la musique dans mes oreilles. J’ai dû m’endormir sans le vouloir et j’ai vu que Kaldr en avait fait de même et semblait ronfler comme un bienheureux alors que ma main était toujours posée sur son dos. J’ai entendu Faeann m’appeler depuis la cour…les préparatifs devaient être terminés et il était temps de fêter. J’ai réveillé mon petit et je me suis dirigé vers la maison. Voyons ce que cette dix-septième année d’existence a en réserve pour moi...
Je devais avoir à peu près six ans quand mon tempérament impulsif se montra dans toute sa splendeur pour la première fois. Je n’avais jamais été un enfant très patient, mais ce jour-là fut le début d’une longue série de bagarres. Il ne fallut pas longtemps avant que je devienne le garçon qui envoyait des coups de poings à tout va. À cause de cela, je n’ai jamais eu beaucoup d’amis en grandissant parce que les autres enfants avaient peur de moi et m’avaient construit une réputation qui ne me montrait pas sous mon meilleur jour. Les rumeurs avaient parfois aucun fondement, mais j’avoue qu’à l’époque, j’étais en effet du genre à donner un coup sur le nez pour un oui ou un non.
C’est à peu près à la même époque où j’ai commencé à pratique l’Aïkido sous la tutelle de ma mère et la compagnie des autres élèves du dojo. Au fil de mes leçons, j’ai appris la discipline et le contrôle de mes émotions, mais ce n'est pas toujours facile de se contrôler quand on voit ses proches ou d'autres personnes victimes d'injustice. Certains me considéreraient comme un génie, mais ils ne savent pas toutes les heures sacrifiées, les blessures accumulées et la fatigue accumulée pour arriver à ces résultats et je ne désire ni pitié ni reconnaissance. Malheureusement, on ne peut changer qui on est et les bagarres, bien que moins fréquentes, étaient toujours d’actualité au grand malheur de mon père.
Avec l’adolescence vint un période de changements qui sonnaient la fin de l’enfance et le début de l’adolescence. Faeann était la seule amie qui me restait après tout ce temps et je ne la remercierais jamais assez d’être restée quand tous les autres sont partis. De ce que j’ai entendu, elle était toujours la première à me défendre quand une nouvelle rumeur faisait son apparition et cela lui avait attiré des ennuis plusieurs fois et je m’en suis souvent voulu de ne pas pouvoir attraper ceux qui osaient lui dire des imbécilité…faut dire qu’ils connaissaient sûrement notre relation et ils m’évitaient pour être sûrs de ne pas être punis. Je sais bien qu’elle n’est pas sans défenses, mais j’ai cette envie incontrôlable de vouloir être là pour elle tout le temps. L’exemple le plus frappant (ah ah jeu de mot) est la fois où j’ai enfin pris les imbéciles la main dans le sac. Ils étaient trois en train de rigoler autour d’un bureau dans une salle de classe vide après une journée de cours bien rempli. Je les voyais gribouiller quelque chose et je me rendis compte que c’était le bureau de Faeann et c’est là que j’ai vu rouge. Je me fichais du surnombre et fonça directement sur eux pour leur montrer ce qu’il en coûtait de s’en prendre à elle. Le premier était trop surpris pour réagir et fut rapidement mis au tapis, le deuxième m’envoya un coup de poing qui me fendit la lèvre pendant que j’étais occupé à éviter l’autre. Des coups furent échangés et ce deux contre un et transforma en duel. Malheureusement, j’ai seulement eu le temps de le projeter sur le sol avant qu’un professeur ne viennent s’interposer. Je devais avoir l’air d’un fou avec mes yeux écarquillés et la lèvre en sang et j’ai fait de mon mieux pour me calmer avant d’avoir plus d’ennui que j’avais déjà récolté en attaquant trois de mes camarades et les avoir mis à terre.
C’est après cet incident que je crois avoir compris en grande partie ce que je ressentais pour Faeann, car il y a un moment j’aurais dit qu’elle était comme une sœur puisqu’on a vécu ensemble depuis qu’on est nés, mais depuis cet incident…quelque chose a changé en moi même si je ne pourrais dire quoi. Parfois, quand je la vois, j’ai envie de la serrer dans mes bras sans aucune raison et ça me mélange complètement au point où j’en viens à rougir légèrement. Si seulement le cœur venait avec un manuel d’instructions parce que je suis perdu dans des sentiments qui brûlent mon cœur.
Au moment d’entrer, la nervosité m’a gagnée en pensant que tout allait être différent après aujourd’hui. Les prêtres m’amenèrent devant l’autel consacré à Amaterasu qui était composé d’un simple miroir qui brillait sous une lucarne faisant entrer les rayons du soleil. On m’avait donné comme instruction de m’agenouiller et de me concentrer. J’ai fait le vide dans mon esprit et je sentis mon dos brûler comme milles enfers, mais je fis de mon mieux pour garder ma concentration. Dans mon esprit, à mesure que mon dos brûlait, une lumière apparut autour de moi tellement forte que je la voyais même avec mes yeux fermés et je sentais la chaleur ambiante augmenter. À l’intérieur de mon corps, je sentais comme si on avait libéré quelque chose qui était enfermée à l’intérieur de moi qui ne demandait qu’à sortir. Je me sentais comme si on m’avait libéré d’un poids d’on je n’avas pas eu connaissance jusqu’à maintenant. Progressivement, tout revenait à la normale et je me sentais comme vidé de mon énergie. En titubant, je me suis relevé pour trouver devant moi un petit louveteau blanc qui se trémoussait et je sus immédiatement ce qu’il était : mon familier. Depuis que Kaldr est entré dans ma vie, j’ai l’impression qu’il me comprend mieux que mes parents ou même Faeann.
Bizarrement, j'entends une musique au loin...
J’ai ouvert les yeux en grimaçant avec le son soudain de la musique dans mes oreilles. J’ai dû m’endormir sans le vouloir et j’ai vu que Kaldr en avait fait de même et semblait ronfler comme un bienheureux alors que ma main était toujours posée sur son dos. J’ai entendu Faeann m’appeler depuis la cour…les préparatifs devaient être terminés et il était temps de fêter. J’ai réveillé mon petit et je me suis dirigé vers la maison. Voyons ce que cette dix-septième année d’existence a en réserve pour moi...
- Kaldr sous sa forme scellée:
DERRIÈRE L'ÉCRAN
• On m'appelle : Leiv suffit
• J'ai : 19 ans
• J'ai connu le forum grâce à : Le bouche à oreille :V
• Je pense que le forum est : supercalifragilisticexpialidocious ?
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci
• J'aimerai ajouter que : Je peux avoir des temps de réponses irrégulier à cause des cours et/ou d'un manque d'inspiration.
• J'ai : 19 ans
• J'ai connu le forum grâce à : Le bouche à oreille :V
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Himitsu no Kii
