Himitsu no Kii
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Vient incarner un descendant des dieux de la mythologie japonaise et vivre des aventures avec nous !
 
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 Aira Watanabe

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MessageSujet: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyJeu 6 Juil 2017 - 23:32



AIRA WATANABE (♀)
             


DATE & LIEU DE NAISSANCE :
né(e) le 08/04/1996 dans la préfecture de Niigata, dans la région du Kōshinetsu

NATIONALITÉ :
Japonaise

ORIENTATION SEXUELLE :
Bisexuelle ♥

OCCUPATION :
Études en littérature classique et étrangère

GROUPE :
Susanoo

PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Heroine de Amnesia

Caractère
Généreuse, Douce, Souriante • Bornée, Rancunière, Imprévisible • Être enfermée dans une pièce/endroit, seule et/ou dans le noir est sa plus grande peur • Manie de se mordre la lèvre inférieure lorsqu’elle réfléchit • Adore la lecture et la photographie •  Déteste les marionnettes • Passionnée d’oiseaux et de linguistique • Rêve de devenir traductrice

Aira est une personne que l’on peut qualifiée de… Souriante. Elle n’aime pas cette tristesse qui règne en automne, puis qui se fait lente et stagne en hiver pour enfin disparaître au printemps, balayée par le chant des oiseaux pour enfin revenir à la fin de l’été, lorsque les criquets se remettent à chanter, atteigne les gens. Je peux aussi vous dire qu’elle est très bornée ! Une fois qu’elle a une idée en tête, elle fera tout pour mener cette dernière à bien. Elle a un avis bien arrêté sur les choses, et même si elle sait qu’elle a tort, elle essayera de trouver le petit détail qui lui donnerait raison : vous la verrez ainsi souvent se mordre la lèvre inférieure, signe qu'elle réfléchit à une manière de se sortir d'affaire et de "gagner". Bizarre, non ? Elle n’y peut rien, c’est dans sa nature. Tout comme être généreuse. Donner, ne rien attendre en retour, telle est sa philosophie de vie. Aira aime à penser que ceci causera sa perte : à trop donner, on perd un peu de soi-même. Cependant, elle a toujours su garder une part de sérénité, étant douce de nature. Le monde que renferme son cœur est un monde complexe mais calme. Mais, dans ce monde calme et doux, même ce vent si paisible peut passer d’une gentille brise à une bourrasque violente accompagnée de pluies déchaînées, reflétant son côté imprévisible. Ce côté de sa personnalité, elle ne l’aime pas. Ce côté de sa personnalité l’énerve : pouvoir, à tout moment, changer d’état d’esprit et passer de la joie au désespoir infini, passant par une colère noire ainsi qu’un moment de calme presque suspect… Tout comme le temps. Mais vous verrez, vous vous y ferrez.
Adepte de photographie, elle sera toujours vue avec un appareil photo. Sa chambre est remplie d'albums diverses et variés, et ses clichés sont méthodiquement rangés dans ces derniers : vous trouverez donc une photographie d'oiseau (car elle adore les oiseaux) dans un album nommé "nature", dans la section "animaux". Aira aura toujours, ou dès que possible, un livre ou deux sur la linguistique ou une œuvre écrite dans une langue étrangère car elle rêve de devenir traductrice.

L'on pourrait donc penser qu'elle est une personne vivant joyeusement et calmement sa petite vie. Cependant, elle cache bel et bien un lourd passé qui l'a fait haïr la solitude ou être seule dans une pièce fermée... ainsi que les marionnettes. Un soir, lorsqu'elle était petite, un diseur de bonne fortune est venu prédire son futur. Elle était bien trop jeune pour s'en souvenir, mais depuis, elle voit en cauchemar cet homme qui avait avec lui des masques, des éventails ainsi que des marionnettes. D'effrayantes marionnettes.

Physique
Yeux verts jade • Châtain clair• 1m59 • 56kg • Svelte • Possède un tatouage de son clan (assez bien caché)

Ce reflet dans le miroir. Elle a beau le voir tous les jours, elle ne s’y fait pas. Elle se questionne trop, pourtant, ce reflet lui appartient. Elle se questionne trop, oui : pourquoi est-elle faite ainsi ? Gâtée par ses parents ou damnée sur terre par les cieux ? Bien trop de questions, trop peu de réponses. Pourtant, je ne vois point en quoi ce reflet lui déplait. C’est la même personne qu’elle voit tous les jours depuis que le temps a ralenti drastiquement les changements qu’il lui faisait subir…

Devant son miroir, elle observe. Elle s’observe, serait plus approprié je vous l’accorde cher lecteur. Elle observe tout d’abord son visage, ovale, pâle. Ce petit nez retroussé, cette bouche fine et ces lèvres roses… Tout ça aussi, elle le voit. Mais ce qui capte le plus son attention, alors qu’elle observait son visage, étaient ses yeux, couleur de jade, profonds. Reflet de son âme, grâce à eux l’on peut aisément déchiffrer ses tourments et ses joies. Des mèches rebelles de sa frange viennent chatouiller son front, la faisant porter son attention sur ses cheveux : coupés au niveau des épaules, sa chevelure châtain claire est souvent coiffée et ornée. Elle n'aime pas la frivolité, le maquillage. Elle aime rester sobre.
Elle observe toujours, oui. Sa svelte silhouette et sa taille marquée sont sa plus grande fierté. Du haut de son mètre cinquante-huit, elle pèse cinquante-six kilogrammes. La puberté lui a apporté un beau cadeau, enfin plutôt, de beaux cadeaux, qu’elle a toujours du dissimuler sous un kimono qu’elle échangeait rarement contre des vêtements que l’on qualifieraient de « normaux ». Ce kimono dissimulait ses atouts féminins, et en dévoilait plus que ces derniers une fois enlevé.  
Sa peau, nacrée, ne possède aucune cicatrice, seulement un tatouage. Une marque d’appartenance à son clan. Se situant entre ses seins et descendant quelques peu vers son abdomen. Cette marque lui rappelle d’où elle vient, ce qu’elle à vécu et ce qu'elle a encore à vivre, lorsque dénudée elle se scrute.
Son corps se rappelle de ces mouvements compliqués, ses mains se souviennent comment tenir un éventail, ses jambes se remémorent le tempo ainsi que les mouvements. Son port de tête est droit, délicat. Elle garde le menton légèrement relevé, sa posture est exemplaire. Son pas et ses gestes semblent léger.

Voilà, ceci est le reflet qu’elle observe tous les jours. Il lui semble étranger, comme si quelque chose avait changé, comme si il ne lui appartenait pas.
Longtemps plongée dans le noir, elle apprend lentement à se connaître depuis que la lumière du soleil a percé ses ténèbres.



INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : La jeune femme possède un don qui lui viendrait de Susanoo : son clan la surnommerait même "la tempétueuse". Il est dit que, grâce aux arts du combat, elle apprendrait en même temps à découvrir ce don, enfin, c'est que l'on raconte.
• Affinité : Aira n'aime pas sa magie, mais elle ne la déteste pas. C'est une partie d'elle-même qu'elle se doit d'exploiter si besoin.

RACONTE NOUS SON HISTOIRE


| CHAPITRE 1 |
"Je pourrais commencer mon récit de la même manière que tout autre récit pourrait commencer. Cette histoire deviendrait alors semblable à toute autre histoire, avec le même fond, la même héroïne ennuyeuse et banale. Je pense, cher lecteur, que cette histoire ne mérite donc pas d’être racontée comme tous les autres histoires : en effet, je ne pense  pas être une jeune femme parmi tant d’autres, non. Mo  histoire n’est pas comme toutes les autres histoires, non.
Un beau matin d’avril, il y a vingt-et-un an, naquit dans une maison sobre mais imposante une petite fille à la peau pâle comme la neige de décembre, des joues roses comme les pétales d’une fleur de cerisier et de grands yeux verts, comme le jade, et profonds, comme l’océan. Dans une pièce, austère, une femme est allongée, blême. Il fait froid, mais pourtant le soleil brille dehors. Il fait sombre, mais pourtant le soleil brille dehors. Elle est seule et fixe le plafond de ses grands yeux, eux aussi verts. On entre par la lourde porte coulissante : sa fille est en pleine santé, elle pleure à pleins poumons. On lui demande un nom. Elle n’y avait pas réfléchit. Elle espérait un garçon, pour être honnête. Ils espéraient un garçon, eux aussi, alors un nom pour une petite fille ? Elle se remit à fixer le plafond, et on continuait à l’appeler, à lui demander. Une femme, plus vieille, entra à son tour, sans se faire annoncer, sans un sourire. Il faudrait l’appeler comme sa mère, qu’elle disait. Pour un garçon, on aurait pu prendre le temps de choisir un nom qui lui porterait chance et bonheur, mais pour une fille, à quoi bon se prendre la tête, qu’elle disait. La mère se nommait Aiko, alors sa fille sera Aira. La vieille femme traverse alors la pièce, ouvre la porte coulissante de l’autre côté, illuminant la pièce. Aiko ferme ses yeux, par reflexe. On se presse derrière la vieille femme pour refermer cette porte, la jeune mère doit se reposer. Le père fait son apparition, tout le monde sort. Il s’approche de la jeune mère, la félicite : il est heureux. Il semble être le seul à l’être. Aiko rêvait d’un fils, pour plaire son beau-père. Elle rêvait d’un fils pour qu’il porte le nom de son mari et le transmette. Elle rêvait d’un fils qui puisse défendre ce nom et son clan. Et pourtant, elle avait donné naissance à une fille. Elle le savait, la nouvelle se répandrait vite. C’est ainsi que ça fonctionne chez eux : les bonnes nouvelles ne passent pas les murs de la demeure, mais les mauvaises, elles, se répandent comme une trainée de poudre dans chaque quartier.
La famille fut réunie. Un repas pour féliciter de la naissance d’un garçon avait été fait. Il fut mangé, mais a laissé derrière lui un arrière goût amer dans la bouche du premier fils d’un premier fils, Kazuhito, et de sa femme, Nodame. Kazuhito était le père de Noboru, fils aîné et marié à Aiko, ainsi que de Hiro, second fils marié à Seiko, et de Kagome, mariée elle à Kazuya. Noboru était donc le premier fils d’un premier fils à son tour, la tradition voudrait donc qu’il ait à son tour un fils en premier enfant. Dame fortune ne l’entendait pas de cette oreille, me faisant donc naître, moi, Aira, comme première des petits enfants de Kazuhito et de Nodame. Le seul à sourire était encore une fois Noboru, fier de sa première née, de sa précieuse Aira. Kazuhito ne mit donc pas longtemps à regretter cette naissance, car très vite, cette petite fille amena son lot de joies et de peines à la demeure familiale. Comme le veut la coutume, on fit venir le diseur de bonne fortune pour qu’il prédise mon futur.  J’en ai gardé un très mauvais souvenir par ailleurs. De cette séance, je me souviens, grâce à des cauchemars, que ce diseur avait avec lui des masques effrayants, des éventails, de l’ansent. L’invité prédit que je ne vivais pas enfermée dans la demeure, je créerais des tempêtes dans la ville. Que si je n’apprenais pas à me contenir, ma colère serait un poison à la famille."

| CHAPITRE 2 |
"Les années passèrent. Dix années, pour être plus précise. Durant ces dix années, j’ai vécu cachée dans la « grande maison »,  comme j’aimais l’appeler. les différents petits bâtiments qui constituaient un vrai petit réseau et faisaient partie intégrante de la demeure, je les connaissais par cœur. Les différents petits jardins présents entre les murs de cette « grande maison » aussi. Pendant ces dix années, j’ai passé mes journées à m’occuper comme je le pouvais entre mes cours de danse traditionnelle, de musique ou encore mes entraînements au combat. Je ne savais pas ce que c’était de jouer avec d’autres enfants, ne savais pas me comporter en compagnie de ces derniers, n’étant entourée que d’adultes. J’avais bien des cousins et cousines, mais n’avais pas le droit de les voir ou bien de rester dans la même pièce qu’eux. Je ne les connaissais que de vue, de l’autre bout d’un couloir. Je les observais jouer de loin. On ne m’avait jamais expliqué ce pourquoi je devais rester dans l’ombre de tous, cachée comme un criminel en fuite.
Je n’avais donc appris qu’à jouer seule, à pleurer seule, à vivre seule. Je pensais, à l’époque, qu’on ne m’aimait pas, qu’on ne voulait pas de moi. Ma mère, Aiko, commençait à ne plus porter d’intérêt en moi et mon père, Noboru, travaillait du lever du jour au coucher du soleil. Je me réfugiais donc dans la lecture. Ah, la lecture. En lisant, je pouvais imaginer de nouveaux horizons, à quoi pouvait ressembler une étendue de fleurs ou l’océan, bleu et profond. Les sirènes et fées existent-elles vraiment ? Je pensais qu’elles vivaient, elles aussi, cachées quelque part, dans l’ombre de quelqu’un d’autre. Me considérais-je comme l’une des leurs ? Je ne pense pas. Ces fées, ces sirènes, jamais elles ne souffraient. Une plaie avait été ouverte dans mon cœur et personne n’a jamais rien fait pour la refermer, me causant de la peine. A chaque fois, a chaque nouvelle déception de la vie, elle essayait de guérir, cette plaie, mais en vain : elle se rouvrait à l’infinie. Comment pourrais-je être comme ces fées, ces sirènes, si je souffre ? Comment pourrais-je appartenir à quelque endroit ou famille que ce soit ?
Je n’avais que dix ans, mais pensais déjà comme si j’en avais plus. Cette joie à l’annonce d’une séance de jeux entre amis, je ne l’a jamais connu. Cette tristesse ressentie lorsqu’un de ces dits amis ne peux plus jouer avec toi, elle non plus, je ne l’ai jamais connu. Une enfance de perdue entre les livres, la danse, le combat.

Je ne savais rire à pleins poumons. Je ne savais pas non plus jouer à la balle. Ce que je savais, en revanche, c’était que ma misère avait été causée par les paroles de ce diseur de bonne fortune : cela faisait maintenant dix ans que ces paroles prononcées un soir de printemps faisaient écho dans l’enceinte de la demeure familiale ainsi que dans mon être."

| CHAPITRE 3 (DERNIER) |

" C’est mon anniversaire aujourd’hui, J’ai vingt ans. Je peux enfin être considérée comme étant adulte aux yeux des ainés et peux enfin revendiquer mes droits dans la famille. On s’était enfin fait à l’idée que j’étais bien la première née d’un premier fils de premier fils, même si quelques personnes ne pouvaient concevoir de me laisser la place de première héritière. Ces personnes ? Je les connais bien sûr. Citer leurs noms entre ces pages me pince le cœur et fait naître en moi un sentiment de rejet qui jamais ne pourra s’effacer, ancré trop profond dans mon cœur et son esprit. Ces noms ? Vous les connaissez, cher lecteur, car ce sont Nodame et Aiko. Ma propre mère n’avait jamais pu s’attacher à son enfant, préférant son second enfant, lui étant un garçon. Nodame s’était aussi rapprochée de sa belle-fille à la naissance de Ranmaru, mon petit frère. Un jeune garçon fabuleusement poli et bien éduqué. Il reçu une éducation moins sévère que la mienne, reçu l’amour que je n’avais jamais eu : l’amour d’une mère. Il est né lui aussi en avril, quelques jours après le jour de mon anniversaire, renforçant une certaine… haine envers cet être qui lui avait tout volé. Toute ma vie, j’avais essayé d’être parfaite, ayant les meilleures notes aux évaluations de mes précepteurs, entrant dans une université de prestige en littérature et lettres, étant devenue une bonne combattante. Il m’avait tout volé, jusque mon anniversaire. Car oui, en ce jour de fête, pensiez-vous que l’on me célébrait ? L’anniversaire de Ranmaru tombant un lundi, jour de travail, on l’avait déplacé au samedi. Mon samedi. Ils pensent faire pression sur moi pour que je cède mes droits de succession à mon petit frère : il n’en est pas question. Je n’ai jamais été intéressée par la famille en elle-même, et encore moins  par le business familial, mais il en valait de ma fierté. Abandonner ? Car je n’en étais pas digne ? Hors de question. J'ai d'ailleurs prouvé mon désir d'hériter de tout en acceptant le rite. Ce rite consiste à se faire tatouer la marque du clan sur le corps. Seuls les futurs dirigeants du clan y ont droit... et j'ai l'ai eu, ce droit. Je me suis battue pour l'avoir, et les larmes versées pendant ce rite valaient bien mon dur labeur pour en arriver où j'en suis aujourd'hui. Serais-je enfin proche du but ?

Donc, comme je le disais plus tôt cher lecteur, c’est mon anniversaire. Cet anniversaire, Je vais le passer seule, encore une fois. Enfin, aujourd’hui, ce sera quelques peu différent : je suis tombée malade. Cela fait quelque jour que l’on me fait porter quelques médicaments mais rien n’y fait… Ma santé est de plus en plus fragile, comme celle de ma mère à mon âge. Je ne sais pas si je pourrais continuer à faire volte face encore longtemps… "


La pièce est austère, il fait froid. Aira avait puisé dans ses forces pour venir à son bureau, écrire quelques souvenirs. Elle veut transmettre ceci à ses enfants, prouver ce qu’elle vaut, montrer par quoi elle est passée. Elle rêve de réussir dans la vie, de leur prouver à tous qu’ils avaient tort en la rejetant comme ils l’ont fait. C’est le front plein de sueur qu’elle pose son stylo et referme son carnet. Seul cadeau venant de sa mère, elle voulait le garder pour écrire quelque chose d’important , qu’il ne faudrait jamais oublier.
Elle posa donc son stylo, ferma son précieux carnet. Elle tremble, mais à chaud. Ses yeux se ferment lentement. Aira entend du bruit, dehors. Des pas. Elle ferme enfin ses yeux, posant sa tête dans ses bras, s’endormant sur ce bureau de bois, froid.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle n’était plus chez elle. Il fait beau, un oiseau chante. Elle entend quelque chose au loin, un bruit à peine audible… Serait-ce de l’eau ? La mer ? Où a-t-elle atterri ?



DERRIERE L'ECRAN

• On m'appelle : .... pas. Non, on m'appelle pas. Enfin si, on m'appelle mamie biscotte.
• J'ai : 17 ans
• J'ai connu le forum grâce à : Google l'est gentil, Google est mon ami
• Je pense que le forum est : BEAU putain.
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci


• J'aimerai ajouter que : EDIT : suite à des problèmes techniques, ma fiche est ralentie ♥

© Himitsu no Kii



Dernière édition par Aira Watanabe le Dim 20 Aoû 2017 - 19:21, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyJeu 6 Juil 2017 - 23:34

Coucou! Comme dit sur la Cb, bienvenue sur HnK! J'espère que tu t'y plairas!

Juste un commentaire, ta fiche doit commencer par ton pseudo, pour que les sujets soient classés par ordre alphabétique une fois validés ;) Sinon, je te souhaite de bonnes vacances!

D'ailleurs, tu es tombée dans le piège du mauvais code également, cherche encore ;)

Miya
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyVen 7 Juil 2017 - 3:06

Ah que Bienvenue a nouveau !!!!

Je connais cette avatar ! Mais pas son histoire du manga xD
Je te souhaite un grand courage pour ta fiche :D

Et c'est qui est encore mieux que les biscottes c'est les cookies sache le *w*
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyVen 7 Juil 2017 - 20:13

Merci à vous deux ! ♥♥
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyVen 4 Aoû 2017 - 17:34

Coucou! Délai écoulé, des nouvelles de ta fiche Aira? ^^

Edit: Suite à un souci de PC, la fiche est mise en stand-by ^^
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyLun 7 Aoû 2017 - 18:53

J'ai un pc de fortune en attendant, je peux à peine aller sur internet, mais je peux bosser sur ma fiche, alors je bosse je bosse ! (merci à la 4G du tel... you-hou)

Merci pour le stand-by ~




Dernière édition par Aira Watanabe le Sam 19 Aoû 2017 - 23:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptySam 19 Aoû 2017 - 23:13

UP desu ♥ Ma fiche est enfin terminée ♥ Merci de votre patience ♥
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  EmptyDim 20 Aoû 2017 - 20:17

Je te valide <3
Il te faudra à présent demander un logement, recenser ton personnage et bien t'amuser parmi nous \o/

Bon jeu,
#Jess
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MessageSujet: Re: Aira Watanabe    Aira Watanabe  Empty

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