Himitsu no Kii
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Vient incarner un descendant des dieux de la mythologie japonaise et vivre des aventures avec nous !
 
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 Quand les opposés s’attirent [yuri]

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MessageSujet: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptySam 24 Sep 2016 - 12:20

Quel est le problème principal lorsque l’on débarque tout juste dans un lieu étrange où tout nous est inconnu ? Le manque d’information bien sûr. C’était à la fois une denrée précieuse pour une aventurière comme moi mais également un moyen de survie, plus je savais de chose, plus ma vie ici serait calme. Enfin, ça reste à voir. Quel lieu y va-t-il de mieux qu’une bibliothèque pour faire de grandes découvertes ? Nan franchement aucun. Je m’étais renseigné auprès des autres étudiants et ce qui en était ressortie était la présence d’une bibliothèque immense dans la zone de Hizumu pourtant le nom de Toshokan. Encore un nom spécial pour les lieux de cette zone. Tout y était assez étrange, il allait falloir que j’explore aussi un de ces jours le temple maudi, mais je suis sûr que ça ne saurait tarder. Le point positif d’Hizumu, c’est que ce n’était vraiment pas très loin de la cité scolaire. Je mais qu’une vingtaine de minutes à pied en traversant des terres vides. Kiss dans son fourreau et dans mon dos brillait au niveau de sa hanse sous le soleil nappant ces terres.

Trouver la bibliothèque fut assez facile, c’était un bâtiment non seulement géant, mais aussi qui contrastait totalement par rapport aux autres des alentours par son côté moderne. À croire que l’extérieur cherchait juste à attirer les visiteurs pour les prendre au piège à l’intérieur. L’idée me fit légèrement frissonner, mais je la chassai vite d’un revers. En pénétrant dans ce lieu immense, je fus complètement soufflée. Tout était disproportionné. On ne m’avait pas menti, elle était réellement géante. Sur le mur, la tabulation des livres montrait qu’il y avait ici des ouvrages venant du monde entier et des ouvrages d’ici même, le tout répartit entre des ouvrages de contenu jusqu'à des ouvrages plus osés. Une large palette quoi. Un peu perdue, je commençais ma visite du lieu à la recherche des livres d’information de l’île. Seulement, les étagères s’étendaient à perte de vue, c’était une vraie torture rien que de s’y repérer. Pourquoi ne pas carrément équiper ce lieu de panneau ! Moi qui aimais les aventures, je ne m’attendais pas à être servie dans une bibliothèque un jour. Le seul point positif qui régnait dans ce lieu était le silence presque religieux. Cela me détendait un peu, mais pour combien de temps encore ?
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 10:00

Je m'étais réveiller avec le soleil aujourd'hui, bien trop saoul la vieille a cause d'une soirée bien arrosée, je n'avais pas penser a fermer mes volets et bien sûr Hogo-sha n'avait pas pris la peine de le faire lui-même. Il était tout de même adorable sous cette forme... un véritable enfant, un enfant que je n'aurai sans doute jamais. Je soupirai, passant une main dans ma longue chevelure ébène avant de me redresser, faisant un maximum de mouvement brusque pour réveiller mon petit familier encore endormi...

« Hogo-sha, reveille-toi espèce de gros faignant... ! » dis-je en lui donnant une pichenette sur son crâne

Les pieds sur le sol froid, je m'étai rapidement rendu compte avec les mois qui défilait a grande vitesse que l'effet de l'alcool m'étais devenue quelconque. Avoir bu dans l’espoir d'oublier les deux personnes que j'aimai le plus au monde, au final, je me retrouvais bien seule... Voir une psychologue m'avais permis de me redresser, d'ouvrir mon propre commerce, le Sak'art. Cependant... rien ne pouvais remplacer le vide présent dans mon cœur.

C'est un pas après l'autre, que je pénétrais dans le couloir, m’arrêtant un instant devant la porte de la chambre de Hope. Déposant ma main sur la porte j'avais prononcé un petit "Bonjour" sans aucun intérêt, parfois, cette femme que j'avais aimé autrefois me parlais, je me demandais encore aujourd’hui si cela était le pur fruit de mon imagination ou dû à la dur réalité ou je vivais.

En me mordant la lèvre inférieur, je m'étai dirigé vers la cuisine ou je pris une tasse de café, préparant les céréales de Hogo-sha qui avançais en déambulant dans les couloirs, sa peluche dans les bras. Il ballait, se frottant ses orbites de son bras.

« Il était temps que tu te réveilles... ce n'est pas toi qui t'es coucher a 01h30 du matin hier, tu es pas croyable... » lui dis-je en souriant, m'approchant de lui avant de le prendre dans mes bras puis l’installant au comptoirs en lui donnant son bol et sa cuillère.

Par la suite, je m'étais installé en face de lui pour boire mon café assez rapidement, aujourd'hui j'avais envie de rester au calme et pour cela, je m'étais réserve une matinée à la bibliothèque du coin où il y avait eu de nouveau arrivage, j'étais curieuse de les découvrir par moi-même.

Finalement, après un bon petit déjeuner et une douche bien chaude, je m'étais vêtu simplement... un débardeur, une chemise a carreau rouge et noir ainsi qu'un large jeans et des baskets. Je m'étais coiffé de la même façon qu'autrefois, un côté long et un côté rasé. Je n'avais pas laissé mes piercings de côté... écarteurs a chaque oreille, piercing à la langue ainsi qu'au labret.

Mon casque sur la tête, je m'étai empressé de monter sur ma moto avant de travarser les rues en direction de la bibliothèque, Hogo-sha étant rester a la maison pour regarder les dessin animés à la télévision.

« Enfin... » avais-je prononcé une fois sur le parking de la bibliothèque.

Retirant mon casque, j'avais monter les escaliers avant d'entrée, saluant les bibliothécaire qui m'étais finalement devenue familière aux fils des années. Je m'étais immédiatement diriger vers les nouveaux livre, regardant un peu les different thème proposé... en définitive le pris " Spiritualité et Sagesse ".

Prenant place sur un fauteuil non-loin, je m'étais mise a lire. La bibliothèque était un endroit calme que j’appréciais particulièrement... l'endroit ou j'étais en ce moment était très calme, je connaissais cette bibliothèque comme ma poche, chaque recoins m'étais familier.

Finalement des bruits de pas m'interrompu dans ma lecture, une jeune demoiselle venait de passé par ici, en me redressant, mes lunettes sur le nez, je m'étais approcher d'elle, restant dans son dos pour un maximum de surprise. Déposant ma main sur son épaule, je prononçai

« Je peux t'aider ? » dis-je en retenant la page de mon livre a l'aide de mon index droit
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 11:05

Le gros problème dans une bibliothèque où l’on vient pour la première fois, c’est de réussir à se décider sur le livre que l’on veut lire. Enfin ici c’était déjà de réussir à trouver un sujet qui m’intéresse ainsi que le bon rayon. Et cela est d’autant pire que cette bibliothèque est bien trois fois plus grande au moins que les bibliothèques dont j’avais l’habitude d’arpenter les lieux. Ainsi, perdue au milieu des limbes labyrinthiques de cet océan de papier, je jouais les touristes. Un peu trop concentrée sur les alentours, je ne vis pas arriver celle qui s’était glissée dans mon dos afin de me héler en touchant mon épaule. Naturellement, la surprise joua son rôle, et je me retournais violemment en sursautant prête à me défendre si besoin était. Mais entre vitesse et précipitation, il y a tout un lieu. Ma tête avait dû raser la sienne en se tournant évitant de justesse le choc frontal. Un peu trop proche, je constatais néanmoins des trais humains avant de me rendre compte de cette proximité involontaire. Je me reculais rapidement me fondant dans de rapides excuses

« je suis désolé, cette île me rend encore toute tendue. J’ai toujours peur qu’une créature m’attaque. »


Cette heu fi... heu garçon... hum quoique non elle avait une poitrine donc bien une fille, m’avait proposé son aide. Je n’avais jamais vu ce style vestimentaire chez une fille. Un vestimentaire rapide, une coupe de cheveux où les ciseaux s’étaient probablement énervés. Il y avait aussi de drôles d’objets trônaient dans ses oreilles, mais pas des boucles d'oreille. Je n'avais jamais vu ça. Peut-être car c'était une mode à laquelle je ne m’étais jamais intéressée. Ou plus probablement car mon aventure me prenait tout mon temps. Mais parlons de l’autre point intéressant, ses oreilles, qu’est-ce que s’était que cette forme ? J’avais lu il y a quelque temps divers chose sur les créatures fantastiques. Deux d’entre elles possédaient ce genre d’oreilles, les Elfe et les gnomes. Mais peut-être d'encore. Cela signifiait donc que cette fille faisait partie de ces êtres ? Ils n’étaient pourtant pas censés exister. S’était très troublant, si troublants que mes yeux oublièrent de s’en séparer lorsque je lui répondis.

« Hum je ne sais pas si tu peux m’aider » commençais-je dans un premier temps.

Bizarrement, j’avais du mal à la voir passer ses journées dans une bibliothèque, mais elle portait bien un livre, elle. Elle s’y connaissait sans doute plus que moi.

« Enfin bon, je suis un peu perdue ici, c’est la première fois que je viens dans une bibliothèque infinie, et je n’arrive pas du tout à trouver le rayon des livres de cette île... » Ajoutais-je alors d’une voix peu confiante.

Peut-être aurais-je du plutôt demander à la bibliothécaire, mais maintenant que j’étais là. Quelque chose en elle me faisait bizarre, peut-être un peu peur. C’était un peu comme si la nuit tombait, que je me retrouvais dans le noir, s’était étrange, mais je préférais ne rien laisser paraître. J’en profitais même pour effacer cette tête soucieuse que je devais tirer en souriant un peu.

« Tu ne saurais pas où se trouvent ces livres, ou plus précisément ceux qui parlent de l’architecture ou de l’histoire d’Awashima »

Je ne savais pas trop quand mon regard avait fini par lâcher ses oreilles et se cibler sur ses yeux. Ces derniers recelaient un mystère identique à ses oreilles. Ils étaient rouges. Alors soit elle avait pleuré pendant des années sans s’arrêter, soit il s’agit encore d’un des mystères de l’île. Tout ce que je savais c’est que cet endroit me plaisait de plus en plus et qu’il allait certainement falloir que je m’intéresse d’un peu plus près de ses habitants.

RAH ! Fichue habitude ! Pourquoi devais-je toujours m’approcher trop près des gens quand je les observais intensément ? Bon je devais me reprendre. Je me reculais à nouveau et laissai trainer toutes mes questions sur elle pour plus tard. Déjà, chaque chose en son temps. Et puis j’avais largement tout mon temps.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 15:51

Les bras croisés contre ma poitrine, je m'étais mise à observer la jeune demoiselle en face de moi. En plissant les yeux, je retirai mes lunettes, accrochant la branche de celle-ci a mon débardeur. La chevelure de cette dernière était châtain claire et ses yeux étais bleu... encore et toujours cette couleur qui était devenue ma hantise. Un bleu profond, un bleu d'un couleur mélancolique, tout cela me rappelait le regard glacial de Hope.

« je suis désolé, cette île me rend encore toute tendue. J’ai toujours peur qu’une créature m’attaque. » dit-elle, mon regard la dominant toujours par la hauteur « Hum je ne sais pas si tu peux m’aider » rajouta t-elle par la suite, me faisant avancer vers elle alors qu'elle reculais d'elle même, un peu trop proche.

A l'entendre parler, j'avais étrangement deviné que cette demoiselle devait-être nouvelle sur l'île, elle était encore perdu... cela me rappelait mon arriver sur cette îles... Je ne pu retenir un petit sourire aux coins des mes lèvres. Déposant un bras sur l'une des coins de l'étagère la plus proche, je plongeai mon regard profond dans celui de mon interlocutrice.

« Il est possible que je puisse t'aider oui... » avais-je simplement prononcé avant d'observer on peu plus cette jeune demoiselle en face de moi.

Rapidement, je compris ou le regard de la jeune fille s'était arrêté; mes oreilles. Moi qui les détestaient tant... j'avais appris a les aimer car c'est ça qui plaisait chez les filles, elle me prenait toute pour une sorte de fée ou d'elfe, ça m'amusais et je ne pouvais pas le cacher, j'en jouais terriblement...

« Enfin bon, je suis un peu perdue ici, c’est la première fois que je viens dans une bibliothèque infinie, et je n’arrive pas du tout à trouver le rayon des livres de cette île... » Ajouta t-elle alors d’une voix peu confiante. Je repris mes esprits, me concentrant alors vers la demoiselle, replongeant mes yeux dans les siens j'avais prononcer un léger « Hum ? » avant que cette dernière ne reprenne a son tour la parole « Tu ne saurais pas où se trouvent ces livres, ou plus précisément ceux qui parlent de l’architecture ou de l’histoire d’Awashima » dit-elle pour terminer.

C'étais donc ça... la jeune demoiselle était belle et bien nouvelle et semblait vouloir dans connaitre plus sur son nouvelle environnement, d'un côté je la comprenais. Hochant positivement la tête, je repris mon bras, le laissant tomber le long de mon corps. Je remarquai alors que la demoiselle s'était approché de moi, pourquoi ? Haussant un sourcils, je la vis rapidement reculer ce qui me fit sourire, avait-elle peur ? peut-importe. En croisant les bras sur ma poitrine, je repris d'une voix confiante.

« Je connais cette bibliothèques comme chaque recoins de mon bungalow, il n'y a aucun soucis, je vais t'aider... » prononçais-je en lui faisans un clin d'oeil.

Rapidement et sans crier garde, je pris la main de la jeune fille dans la mienne, intrigué par "la chose" qu'elle portait dans son dos. Je ne fis pas ma curieuse et rapidement traversa de nombreux couloir entre étagères et étagères, arrivant enfin dans un petit coin ou seules les nouveaux arrivant de l'île avait l'habitude d'allez, pour cette occasion... il n'y avait que nous deux, ici régnais un calme morbide...

Lâchant la main de la demoiselle, je m'étais approcher de l'un des rayons, attrapant un livre nommé " Awashima et les secrets de l'île" un ouvrage que j'avais déjà lu moi-même et bien l'un des meilleurs... M'approchant de la demoiselle, je prononçai « Voilà, c'est un excellent livre mais le meilleur moyens reste de demander des contes aux anciens » dis-je en déposant mon épaule contre une étagère, les bras croisées « Je suis ici depuis un petit bout de temps déjà... et tu sais, les créatures ici ne sont pas mauvais, dans mon entourage je connais un phenix et une sorte de wendigo... aucun ne m'a jamais fait de mal, donc ne t'inquiètes pas » je lui fis une nouvelle fois un clin d'oeil, déposant mon livre sur une étagère vide pour me libérer les mains.

« Sinon, je m'appelle Sakura Kurobane mais,les gens ici m'appelle Saku, donc tu peux faire de même, l'île est petites, tout le monde semble se connaitre » dis-je en souriant « Et toi c'est quoi ton petit nom ma jolie ? et qu'est ce cette chose dans ton dos ? » Je m'approchais d'elle, déposant mes doigts sur cette "arme" « Tu dégages une aura... lumineuse, tu es une fille du soleil ? embêtant... » je me mordu la lèvre inférieur, je n'avais jamais réellement apprécier les Amterasu sans doute car j'étais une descendante de Tsukuyomi... qui sait.

Me posant face à elle, je pris son menton entre mon pouce et mon index, l'observant d'un peu plus près « Même si tu es une amaterasu, je ne peux pas le nier tu es plutôt jolie... » dis-je avant de rire « Ne t'inquiètes pas, je ne suis pas une vampire ou une succube » dis-je une nouvelle fois en lui tirant la langue.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 17:39

Les comptes, les légendes et Sakura


S’attacher à une première impression n’est jamais une bonne idée, c’est malheureusement souvent ce que font les aventuriers face à un paysage, un système, un trésor, ou les personnes qu’ils rencontrent. Je ne faisais malheureusement pas exception. Seulement, ce coup-ci, je compris mon erreur dans l’immédiat. Non cette fille n’était pas totalement comme je l’avais pensé. D'un, elle possédait l’objet de clicher que je n’avais même pas remarqué tellement je m’étais focalisé sur ses yeux et ses oreilles, c’est-à-dire, les lunettes. De deux, elle me disait connaitre l’endroit comme sa poche, ou quelque chose comme ça a quelque mot près. Ceci relève de l’exploit pour un tel endroit. Non elle n’était vraiment pas celle que j’avais vue. Un autre point qui me rassura fut qu’elle ne s’était pas attardée sur mes approches involontaires (elle n’en avait même pas parlé du tout. Certainement ne l’avait-ce pas trop dérangée où avait-elle des limites différentes de celle que m’imposaient ceux de mon clan. Obaba elle m’aurait déjà passé à l’éventail si elle m’avait vu. Une de mes mains se porta discrètement sur une de mes fesses comme pour soulager une douleur factice.  

Elle me guida alors en me prenant par la main, encre un geste dont je n’avais pas l’habitude puisqu’il n’était utilisé qu’entre personne d’une même famille habituellement et cela même au sein du clan. À partir de ce moment, ce fut le drame. La route que je m’étais soigneusement mis à repérer depuis mon arrivée fut réduite en un tas de cendres mentales. Cet endroit était encore plus labyrinthique que je le pensais. Je notais cependant le léger coup d’œil qu’elle jeta au-dessus de mon épaule. Certainement me trouvait-elle bizarre d’emmener une arme dans une bibliothèque, je pouvais comprendre. À moins que je me trompe totalement. Après tout, les habitants de cette île avaient tous des manières de pensée et de faire les choses bien différentes des miennes.

On arriva finalement dans un espace vide de toute présence humaine « Donc c’est là que se trouvait ce coin ... » murmurais-je

Jamais je n’aurais réussi à le trouver. Elle par contre saisit en plus une livre sans la moindre once d’hésitation et me le recommanda même.

Très bien, ajoutons un troisième point pour dire que je m’étais fourvoyée sur elle, elle connaissait même les livres intéressants du lieu. Franchement, que demander de plus que d’avoir une guide particulière. Même ses particularités physiques venaient de s’adoucir dans mon esprit en prenant conscience de tout ce qu’elle savait et que moi j’ignorais. À dire vrai, elle était d’un genre qui ne me repoussait pas du tout, je n’avais juste pas l’habitude de voir tous ses objets plantés en elle, mais je finirais bien par m’y habituer, après tout, c’est ça être une aventurière.  

Elle en profita pour me parler de quelques créatures de ce monde qui ne ferait apparemment pas de mal à une mouche malgré leur apparence. Là par conte j’en doutais. Mais surement pourrais-je avoir par la suite plus de précision puisqu’elle me proposait de lui demander directement si j’avais des questions. C’est vrai que ça serait plus utile ainsi. (J’en profiterais peut-être même pour en apprendre davantage sur elle, il allait bien falloir que je commence à me faire un réseau de connaissances après tout.)

Elle se présenta sous le nom charmeur de Sakura Kurobane, ah ! Voilà enfin un nom aux consonances qui me disaient quelque chose. Surtout qu’en allant au Japon avec la partie mobile de ma famille toute petite, j’étais restée durant des heures à observer le magnifique spectacle qu’offrais les fleurs de cerisier ou les Sakura si vous préférez. Elle me posa par la suite trois questions dont une à laquelle j’aurais probablement répondue même sans qu’elle me le demande. Autant faire cette présentation au mieux possible. Je dégainais Kiss, ma Klef, et posai sa « pointe » sur le sol les mains entre croisées sur la hanse.

« Je me nomme Laily Shojun, descendante du clan Shojun, élue pour être la manieuse de la Klef de cette génération, Kiss, et aventurière depuis maintenant deux ans. » Pour la troisième question, au vu de son tic de langage, j’hésitais à répondre, son « embêtant » me dévoilait qu’elle n’était pas un grand fan des manipulateurs de lumière. Et puis peu importe, je m’en fichais un peu d’être ou pas aimée pour quelque chose de si futile.

« Hum je ne sais pas si je suis une fille du soleil, mais je suis sûr d’être une fille de la lumière, après je connais assez peu mon pouvoir encore. Mais j’ai Kiss pour me tirer des mauvais pas, et cela me va amplement. »

La même impression que tout a l’heure emplie mes pensées, une impression sombre, obscure. Je devais en avoir le cœur net même si sa répulsion naturelle de la lumière pouvait me le confirmer.

- Tu es manipulatrice d’ombre non.

Oui la nuit, ma grande peur. Enfin ce n’était pas vraiment de la nuit que j’avais peur, mais bon s’était tout comme. Cependant, même si comme elle me le disait elle n’aimait pas les Amaterasu, elle en faisait fie, et même me complimentait. Cela me fit légèrement rougir. Mais là, la question se posait :

« Hum Amaterasu ? C’est quoi ça . Je suis juste une manipulatrice de la lumière. »

Cela prouvait certainement que j’allais devoir refaire toutes mes connaissances ici, elle me disait être cette chose, peut-être avait-elle raison. Je me décidais à la croire. Quoi ? Ce ne serait pas tout ? Bah oui bien entendu, je ne pouvais pas rougir que pour ça... elle m’avait pris d’une manière une nouvelle fois peu habituelle, une manière par laquelle j’arrivais maintenant à sentir immédiatement la proximité décroissant entre nous. Son rire bienveillant tranchait une nouvelle fois avec l’image que je m’étais faite d’elle, et plus je la regardais, et plus je la trouvais mignonne en son genre.

Non ! Non ! Tu n’attraperas pas cette langue ! Je me criais mentalement. Encore une mauvaise habitude que j’avais prise avec les petits du clan, quand je devais les garder. Pour jouer avec eux, à chaque fois qu’il me tirait la langue, je l’attrapais dans mes doigts pour leur faire croire que je la leur avais volée. Pour me changer les idées, je me décidais à lui rendre son compliment. Un peu par politesse, davantage par envie et un chouia pour faire ce que je venais de dire.

« Je ne sais pas quel problème tu as eu avec les Amaterasu, mais franchement, je ne cherche pas de problème avec ça. Encore moins avec une personne qui comme toi fait de son originalité son charme. » Rhô je disais tout ça juste pour lui dire qu’elle était belle, qu’est-ce que je faisais aujourd’hui. Une petite question me vint alors sur le lieu à celle qui me tenait toujours le menton. Je ne m’en extirpais d’ailleurs pas, pourquoi faire, si ça ne la gênait pas d’être aussi près de moi.

- Je voulais savoir, quel genre de pratique ont les personnes ici .Car j’ai l’impression que c’est bien différent d’où je viens.

Mais quelque chose me dit qu’elle attendait qu’une chose avant que je ne la questionne. Elle n'avait pas arrêtait non plus de regarder mon arme. Je finis tout simplement par la reprendre à deux mains et la lui tendit, « tu veux la toucher. » Lui demandais-je finalement sans plus de précision.
Et j’ajoutais au passage une autre chose « si je peux faire quelque chose pour te remercier de cette balade dis-le-moi ? » Après tout, étant une exploratrice, je pouvais à peu près tout faire. Le mieux était de poser cela à plat, après tout, un membre du clan Shojun devait avant tout se montrer respectueuse avec ses aînées (au moins de présence sur l’île)  
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 19:23

Je voulais connaître son identité ainsi que l'origine de son arme, je ne pouvais pas le nier... Les jolies demoiselles m'attiraient toujours. Détournant le regard un instant, mon vœux fut rapidement exaucée « Je me nomme Laily Shojun, descendante du clan Shojun, élue pour être la manieuse de la Klef de cette génération, Kiss, et aventurière depuis maintenant deux ans. » disait-elle. Je n'avais pas vraiment compris ce que cette jeune fille racontait mais j'avais retenue le plus important, son prénom.

Laily, elle se nommait Laily... pour la suite, celle-ci devait parler de son passé mais comme chaque habitant de cette île le passé était le passé, il n'y avait pas de retour en arrière. Pour ma part, je n'avais jamais souhaiter retourner chez moi malgré mon chagrin dû au manque de la compagnie de mon frère jumeaux, j'y pensais encore... parfois je rêvais de lui, nos querelles... que le temps passait vite.

Mais rapidement je fis allusion au soleil, elle dégageais une aura bien particulière que chaque Tsukuyomi était capable de reconnaître... du moins c'est ce que je pensais la plupart du temps, c'étais un peu comme une excuse, je n'étais pas raciste mais quelque chose me dérangeais chez les enfants de la lumière, surtout après l’apparition de ma forme divine  mais, je ne pouvais pas l'expliquer moi-même  « Hum je ne sais pas si je suis une fille du soleil, mais je suis sûr d’être une fille de la lumière, après je connais assez peu mon pouvoir encore. Mais j’ai Kiss pour me tirer des mauvais pas, et cela me va amplement. » dit-elle avant de reprendre soudainement « Tu es manipulatrice d’ombre non...  Hum Amaterasu ? C’est quoi ça . Je suis juste une manipulatrice de la lumière. » prononça t-elle pour terminer

Rapidement, je répondu le plus clairement possible « Je suis une manipulatrice de l'ombre comme tu le dis, oui... Amaterasu c'est le dieu d'ont tu descends, t'es origines, pour mon cas je suis une descendante de Tsukuyomi, mais ça tu l'apprendra dans ce livre » dis-je en déposant mon index sur la couverture du livre, ne la quittant pas des yeux.

Rapidement après, je pris son menton entre mon pouce et mon index, j'avais l'habitude de faire ça pour déstabiliser les gens mais cela ne semblait pas déranger notre très chère Laily... que cherchait-elle ? Je penchai la tête, interrogative alors qu'elle prit une nouvelle fois la parole « Je ne sais pas quel problème tu as eu avec les Amaterasu, mais franchement, je ne cherche pas de problème avec ça. Encore moins avec une personne qui comme toi fait de son originalité son charme. » je me mise une nouvelle fois a rire, des questions et toujours des questions... qu'est ce que cette jeune demoiselle pouvait être curieuse mais, cela me plaisait beaucoup...

« Je n'ai aucun problème avec les Amaterasu, c'est juste que... je ne sais pas, je ne pourrais pas te l'expliquer mais la lumière et l'obscurité ne se rencontre jamais... sauf lors d'une éclipse » je hausse les épaules « Rhö et puis je raconte n'importe quoi » Je souris, lâchant son menton pour caresser sa joue droite « Et puis, tu n'est pas mal non plus... » prononçais-je doucement a son oreille.

« Je voulais savoir, quel genre de pratique ont les personnes ici .Car j’ai l’impression que c’est bien différent d’où je viens. » dit-elle finalement par la suite, me faisant reculer d'elle, déposant mon dos contre l'étagère a côté de moi « Quel genre de pratique ? qu'est ce que tu veux dire par là ? les gens ici vivent normalement, comme de simple personne civiliser » dis-je simplement en m'attardant sur ses lèvres puis son arme. La jeune Laily me tendit alors son arme en me proposant de la toucher... il y avait bien autre chose que j'avais envie de toucher en ce moment.

Passant un coup de langue sur mes lèvres, je hoche la tête en prenant " Kiss " dans mes mains, la regardant de haut en bas avant de la rendre a sa propriétaire, je n'étais pas fan des armes mis a part les katana de mon pays d'origine.

« Si je peux faire quelque chose pour te remercier de cette balade dis-le-moi ? » dit-elle, me faisant redresser la tête puis sourire. Quelque chose ? Je réfléchi...

Je n'avais pas l'habitude de ce genre de situation mais cette jeune demoiselle semblant vouloir rendre la monnaie de sa pièce a une inconnue, qu'il en soit ainsi... « Il y a peut-être une chose oui... » prononçais-je, un sourire aux coins des lèvres. Je pris une nouvelle fois son menton entre mon pouce et mon index, la faisant reculer doucement en arrière pour faire en sorte qu'elle soit contre une étagère. Doucement, je m'approchai d'elle, m’arrêtant a 1cm de ses lèvres avant de l'embrasser. Ma main droite se posa sur sa joue alors que ma main gauche sur sa hanche. Après cela, je me dégagea d'elle.

« Tu as plutôt bon goût, ma jolie lyly... » prononçais-je en me léchant les lèvres, lui lançant un regard charmeur.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 21:32

Apprentissage dangereux

Ce qu'il y a à savoir lorsque l'on découvre un monde, était que les réponses, même expliquée, pouvaient parfois être assez mystérieuse. Et que tout comme j'avais posé un nombre de questions assez impressionnant, je recevais presque toutes autant de réponses qui pouvaient ensuite s'enchainer sur de nouvelle interrogation. Dans un premier temps, je n’avais pas cherché à savoir si elle avait bien compris mon introduction, à quoi sers d’expliquer deux fois la même chose, tout comme j’en apprendrai certainement plus sur elle par la suite, si elle n’avait pas compris mon histoire, elle en ferait de même. Le tout maintenant était d’essayer de me concentrer un peu sur ses réponses pour en apprendre un peu plus. J’appris entre autres que je serais donc une descendante de cette Amaterasu, une déesse du soleil, et donc par ajout de cause, je devrais aussi pouvoir contrôler la chaleur. Il allait falloir que je teste cette hypothèse. Juste je n’arrivais pas à comprendre que mes parents n’aient jamais été appelés ici avant moi. Car si j’étais une descendante de cette déesse, eux devaient l’être aussi. Tout cela travaillait dans mon cerveau. En même temps, je sus que la dénommée Sakura elle serait une enfant de l’ombre, descendante d’une certaine Tsui heu non Tsukuyomi je crois que s’était.

En quelque sorte, la réponse que Sakura... hum je devrais plutôt l’appeler Saku puisqu’elle m’avait demandé de l’appeler ainsi. Donc reprenons. La réponse que m’avait donnée Saku concernant son point de vue sur les enfants de la lumière me paraissait en fait naturel. Elle ressentait un mal-être en la présence d’Amaterasu, pour ma part, cela faisait de même en me donnant l’impression que l’ombre s’empare de moi. En quelque sorte, sa théorie de l’éclipse n’était pas si idiote puisque c’était le seul moment ou lumière et ombre se complétait pour donner lieu à un spectacle intrigant mais éphémère. Il était donc possible pour un enfant de l’ombre et un enfant de la lumière de s’entendre même si cela pouvait s’avérer éphémère. Théorie très intéressante. Surement m’intéresserais-je aussi à ce qu’il se passe lorsque ces deux opposés se retrouvent coincés ensemble pendants plusieurs jours ou sont forcer de vivre ensemble.

Un petit problème se posa au travers la réponse à la question de la pratique des gens ici. Ma question aurait été trop vaste . Le truc est que moi je voyais bien ce que je voulais dire. Mais comment le tourner avec des mots pour que ce soit compréhensible ? J’avais beau me creuser la tête, je ne voyais pas. Je pense que pour cette question je me chargerais seul d’y répondre en voyageant au travers ce monde. Beaucoup de personnes y avaient repris des activités normales afin de caler le plus possible au monde en dehors de l’île, mais l’omniprésence des pouvoirs et la certaine proximité des habitants de cette île permettaient tant de nouvelle chose. Du moins s’était ce que je pensais.

Mon arme semblait, elle, assez l’intéresser à la vue du passage de sa langue sur ses lèvres. Elle aimait tant que ça les armes . Après tout il s’agissait de Kiss, et non pas de n’importe quelle arme. Une arme très ancienne qui recèlerait de nombreux secrets dont un se tenant sous la garde, ce ruban comme une promesse, un passé un peu triste pour moi mais dont je ne voulais pas m’écarter pour ne pas perdre mon identité. Et puis, j’avais 5 ans pour tenter de trouver la sortie de cet endroit après tout. Enfin, plus je restais ici, et moins je ressentirais l’envie de partir je pense.
Ses petites mimiques de contentement lui donnaient un air encore plus mignon. Mais quelque chose me disait qu’elle n’était pas aussi douce que je le pensais. Cela me dérangeait-il ? Hum franchement, je ne pense pas. Après tout je dois apprendre à m’ouvrir davantage aux filles, à commencer par me lier d’amitié avec elle quitte à comprendre un peu tard qu’elle cache une personnalité insoupçonnée. À cela, je pouvais également émettre que le courant avait l’air de passer assez bien malgré nos origines. En quelque sorte ma curiosité ne pouvait être que titillé par la situation.  

Ce qui se passa enfin fut à moitié une surprise et a moitié un motif de curiosité supplémentaire. De la proximité et des contacts de ses doigts sur ma peau, Sakura voulait comme récompense quelque chose en plus. Elle m’avait repoussé dos à une étagère (emplie de livre mais j’essayais de ne pas trop en tenir compte). Un sourire particulier, plus hum comment dire cela, plus audacieux je dirais, était apparu sur son visage. J’aimais les sourires, c’était aussi mon arme de prédilection contre les réprimandes. Je ne pus ainsi que lui rendre se sourire en la fixant droit dans les yeux. Puis la proximité ne cessa d’augmenter. Mais pour une fois, je n’y étais pour rien. Je voyais ses lèvres approcher des miennes. Ma curiosité me poussa à ne pas les repousser. Un gout étrange se rependit alors en moi, une saveur sur la douceur de ses lèvres sur les miennes, un parfum sur la chaleur de sa peau de rêve qui lentement m’assiège. Je n’en avais pas l’habitude, rare avaient les fois où j’avais déjà été embrassé de cette sorte. Et ce coup-ci restait assez soft. C’est à partir de ce moment où l’on sait que le jeu devient dangereux. Les mains avaient pris place sur mon corps. S’était assez enivrant comme situation.

Je commençais réellement à croire que j’étais bien la fille de cette Amaterasu, car une flamme commençais à danser en moi.

« Tu as plutôt bon goût, ma jolie Lyly... »S’était-elle alors exprimé en se léchant les lèvres. Cette parole et ce geste firent alors grandir ce sentiment ajout d’en vouloir un peu plus. J’avais bien compris ce qu’elle voulait, et ce désir s’était finalement installé en moi

« mon gout . Je ne sais pas, mais je sais maintenant que le tien est un véritable délice. Si c’est ce que tu veux comme remerciement, je vais essayer d’exaucer cela. »

D’un point de repère, une caresse, une envie. Mes petites mains vinrent la prendre à sa taille. Mes yeux plantés dans les siens s’étaient animés de petite lumière vive. Je ne me débattais pas de mon petit coin d’étagère. Après tout nous étions seules, et cela m’étonnerait que quelqu’un d’autre vienne jusqu’à ce lieu. Une de mes jambes vint s’enrouler autour d’une des siennes me laissant comme point d’appui uniquement une jambe et mon dos. Une main remonta à sa tête. Je sentais, d’où j’étais, une très légère chaleur se diffuser au travers mes mains. Une chaleur bienfaisante. J’ignorais seulement comment je faisais ça.
« Ton corps est tout doux, c’est si étrange. Je sais que tu veux le faire, mais laisse-moi quémander un peu de toi. »
J’avais perdu une grande partie de mes habituelles questions.  Je me focalisais plus que sur l’essentiel,  et ce dernier était maintenant  lui rendre la pareille.  Ma main attira sa tête à la mienne collée au mur.  Je picorais légèrement ses lèvres avant de prendre mon tour d’embrassade.  Et même si je me lançais ce coup-ci, je ne connaissais pas vraiment ce qui pouvait se faire.  Je me laissais aller ainsi juste à se baiser que je laissais se prolonger. Kiss posée non loin du livre,  je pouvais me laisser pleinement aller à gouter le délice de sa saveur.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyDim 25 Sep 2016 - 22:10

Les lèvres des jeunes filles étaient devenue quelques choses de banales pour moi... j'embrassais et je couchais avec tellement de fille depuis mon adolescence, a force, je ne les comptaient même plus. Il y en avait des dociles et des farouches... dans le cas de Laily, elle semblait être une fille facile, facile a manipuler... et voila que mon côté de " grosse salope " ressortais, j'avais essayer de le mettre de côté mais a quoi bon, je ne tomberai plus amoureuse de toute façon, s'était impossible...

« Mon gout?  Je ne sais pas, mais je sais maintenant que le tien est un véritable délice. Si c’est ce que tu veux comme remerciement, je vais essayer d’exaucer cela. » dit-elle

Mon regard dans celui de la jeune demoiselle, je me mise a sourire une nouvelle fois. Soudainement, la demoiselle me surpris... elle venait de passer ses mains autours de ma taille, que faisait-elle donc ? J'étais curieuse de le savoir...

Rapidement, je compris les réels attention de mon interlocutrice, un nouveau baiser ? Je continuai de l'observer, son aura lumineuse me dérangeant quelques peux mais, n'étais pas si désagréable que ça finalement... Observant chaque fait et geste de la demoiselle, je sentie l'une de ses jambes monter contre la mienne, je la pris automatiquement sa cuisse dans ma main, lui permettant de la laisser soulevée ainsi.

« Ton corps est tout doux, c’est si étrange. Je sais que tu veux le faire, mais laisse-moi quémander un peu de toi. » prononça t-elle une nouvelle fois, me faisant un instant frisonner.

Je n'eu pas le temps de rétorquer que la main de Laily attira mon visage vers le siens. Finalement, nous nous embrassions une seconde fois. Cependant, je ne voulais pas m'en arrêter là... Rapidement, mon poul se mit a accélérer, mes lèvres entrouvrant les siennes, ma langue pénétra a l’intérieur de sa bouche humide ou nos deux langues se mirent a danser, encore et encore... une fois le baiser rompu, le pris la parole

« Tu m'as l'air bien excitée jeune fille » je haussai un sourcils un peu sévèrement « Rassure-moi... tu es majeures ? » prononçais-je en caressant sa gorge du bout du doigt, ma main s’arrêtant le haut de ses monts.  

Finalement, je lâche la jambe de la jeune fille en m'écartant délicatement d'elle. Son arme un peu plus loin, je me mise a l'observer... les jeunes demoiselles comme les plus âgés ne me dérangeais pas, je me fichais de ça... dans le fond, je n'avais envie que d'une chose... coucher avec elle pour oublier mes douleurs, elle serait un peu comme une drogue, au naturel.

« Mais a ce que je vois, j'ai tiré une bonne carte » je passe une main dans mes cheveux « Il y a tant de lesbienne sur cette île, je n'en crois pas mes yeux, ça change du Japon » je me mise en face d'elle, contre une autre étagère « Pourquoi ne pas aimer les hommes, dis-moi ? » dis-je pour terminer.
Ps: dernière réponse de la journée pour les 24h x)
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyLun 26 Sep 2016 - 11:26

La promesse étoilée




Je pense pouvoir dire sans mentir et d'après mes propres impressions que ce qui peut se passer dans le futur ne relève que de deux choses. Soit une que l’on ignore, soit l’une dont on ne s’attendait pas. Les deux pouvaient bien entendu se coupler pour donner une journée comme aujourd’hui. Ce matin, j’ignorais tellement de choses, maintenant, j’en savais un peu plus. Mais également jamais je me serais attendu à tomber sur une personne comme Sakura et à faire ce genre de chose avec elle. La vie relève bien des mystères, et rarement ces derniers nous déçoivent.

C’est ainsi qu’une simple rencontre avec une inconnue dans une bibliothèque pouvait mener à un moment de symbiose, symbiose portée par le contact des lèvres frémissant d’un plaisir souvent incompris. Puis des lèvres, s’enjoignis une langue, langue se saisissant lentement de sa compagne, langue s’infiltrant au cœur même de la demeure de cette voisine. Ceci représentait pour moi une petite nouveauté. J’avais déjà embrassé. Mais jamais de cette manière. Après tout je ne m’y connaissais pas du tout. Et je peux dire avec franchise que s’était pour mon plus grand bonheur de découvrir ceci. Durant ce laps de temps ou cette danse étrange se poursuivait, mes yeux se plongeaient dans les siens, la proximité semblait lever le voile sur le reste de distance qui m’avait encore un peu bloqué, j’en étais même parvenue à oublier le mal-être qui subsistait à cause de son aura des ombres.

Puis après un petit temps, qui me parut bien plus long, le baiser se stoppa. Mais la couleur rougeâtre qui brulait mes joues ne cessait pour autant d’exister. Ce n’était qu’un petit passage, un petit moment de douceur, mais ce passage serait-il terminé ? Saku me parlait d’être excitée. Cette remarque n’avait peut-être pas lieu d’être. Qui ne le serait pas dans un moment comme celui-ci. Un moment où on s’ouvre peu à peu à quelque chose que l’on ignore. Puis vint cette question...

« Rassure-moi... tu es majeures ? »

Pour couronner sa question, elle me titilla la peau d’un de ces doigts me faisant légèrement frissonner. Mais heu! Je faisais si gamine que ça ! Je lui avais pourtant dit que ça faisait deux ans que j’étais aventurière, et comme on part à l’aventure à partir de 16 ans chez nous, cela faisait qu’aujourd’hui, j’étais bien majeure... Mais au fait, qu’en savait-elle de toute cette histoire... et puis s’était légitime de demander.

« Bien entendue que je suis majeur ... j’ai eu mes 18 ans il y a 1 mois de cela maintenant... » Bon d’accord, j’étais une jeune adulte naissante, mais je demeurerais maintenant une adulte à vie.

Malgré ma réponse, elle me lâcha quand même, elle semblait avoir besoin d’en connaitre un peu plus sur moi, sa dernière question fit remonter une foule de souvenirs. Pourquoi ne pas aimer les hommes ? Oui cette question retraçant une bonne partie de ma vie avant même que je parte à l’aventure. Ma tête se baissait légèrement, je ne savais pas trop par quel chemin attaquer cette question. Peut-être était-ce la peur qu’elle me prenne pour une folle. Mais finalement, je décidais de lui dire à peu près tout.

« Je ... Je ne déteste pas les hommes
» commençais-je avec un regard fuyant « non, ils m’intéressent tout autant. Mais tu vois, il y a une raison qui fait que je ne peux m’intéresser à eux. »
Je marquais une nouvelle pose en tentant d’observer ses réactions. Puis je repris parole
« Tu as vu l’espèce de porte-bonheur au bout de Kiss ? » je pointais mon doigt en direction du ruban au bout duquel se tenait la forme étoilée. « Il s’agit en fait d’une promesse. J’ai aimé avant de partir à l’aventure un homme, enfin c’était plus un adolescent à l’époque tout comme moi. Mais nous faisions partie de la même famille, et surtout nous étions les deux élus de la génération. Lui avait le privilège de fabriquer ma Klef, et moi d’en être la porteuse. Une relation entre nous aurait terni la réputation du clan... donc on a dû se résigner. Mais aujourd’hui encore, il reste dans mon cœur. » Une petite pensée partie pour Johlan. « Ma promesse faite est ainsi de ne plus jamais tomber amoureuse d’un homme car il restera le seul homme que j'ai aimé... et donc d’éviter d’avoir des contacts intimes avec eux, voilà pourquoi maintenant je me tourne vers les filles. Et mon attirance pour elles a été une véritable découverte » en quelque sorte, je comprenais ce que Saku avait voulu dire sur les filles de cette île, j’allais probablement pouvoir ainsi en apprendre plus sur mon penchant grâce à leur présence. J’espère juste que lui avoir dit être tombée amoureuse d’une personne de ma famille ne la fasse pas me détester. S’était contraire aux lois après tout. Et surement un jour, je devrais faire complètement de deuil de cet amour impossible.

Je la regardais légèrement, évitant ses yeux, les joue rougis un peu par la honte de dévoiler comme ça une partie de mon passé. Mais il le fallait bien pour qu’elle puisse comprendre. Puis une petite réflexion monta à mes lèvres.

« Donc voilà, j’ai mes raisons d’aimer les femmes tout comme toi tu dois avoir les tiennes »

Je ne savais pas trop quel ton j’avais employé, je n’avais pas vraiment fait attention après tout. Les seules choses que je voulais maintenant étaient d’être simplement heureuse, m’amuser sur cette île, créer des liens, et découvrir des mystères. Oui j’avais déjà commencé à changer. Prenant conscience de cette résolution, mon visage s’éclaira à nouveau d’un petit sourire. Après tout, mieux vivre sa vie en paix et ne pas ennuyer les autres avec du superflu.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyLun 26 Sep 2016 - 17:29


Mon dos toujours contre l'étagère, les bras croisées sur ma poitrine. Je n'avais pas quitté ma proie des yeux. Mes questions étaient parfois inutile mais, n'ayant jamais eu eu de problème avec la justice, je voulais être sûr que cette demoiselle soit bel et bien majeur. Laily avait un doux visage, bien que je lui donnais seize-ans. Penchant la tête et étant ont peu plus éloignée d'elle, je pris la peine d'observer ses formes généreuses. Je ne pouvais pas me le cacher moi-même, j'étais une perverse baignant dans la luxure depuis de nombreuse années maintenant...

« Bien entendue que je suis majeur ... j’ai eu mes 18 ans il y a 1 mois de cela maintenant... » dit-elle, l'avais-je vexé en la prenant pour une simple gamine en chaleur ? Je souris tout simplement, me posant quelques questions sur son cas.

En premier lieu, je lui demanda la raison de son homosexualité, une question banale mais, qui pourtant en disait gros sur les personnes concernés. Mon entourage lesbien regorgeai de nombreuses thèses; Violence, viole, disgrâce... Je n'avais jamais critiqué la moindre personne à ce sujet, car même ma façon de penser pouvais parfois déranger certaines personnes.

« Je ... Je ne déteste pas les hommes » dit-elle avant de reprendre « non, ils m’intéressent tout autant. Mais tu vois, il y a une raison qui fait que je ne peux m’intéresser à eux. » dit-elle pour terminer

Les première parole de Laily me laissais perplexe... cette dernière semblais regorger de mystère à elle seule. Plus qu'une simple proie désormais, je la considérais à cet instant comme un livre que je voulais découvrir... En tout qu'à, je ne répondu rien, hochant la tête, l faisant un signe de main pour l'inciter à poursuivre son histoire.

« Tu as vu l’espèce de porte-bonheur au bout de Kiss ? » me demanda t-elle alors que je tournais la tête en direction de la Klef, repérant assez rapidement ce soit disant " porte-bonheurs" « Oui... je le vois maintenant » répondis-je simplement en la laissant continuer son récit.

« Il s’agit en fait d’une promesse. J’ai aimé avant de partir à l’aventure un homme, enfin c’était plus un adolescent à l’époque tout comme moi. Mais nous faisions partie de la même famille, et surtout nous étions les deux élus de la génération. Lui avait le privilège de fabriquer ma Klef, et moi d’en être la porteuse. Une relation entre nous aurait terni la réputation du clan... donc on a dû se résigner. Mais aujourd’hui encore, il reste dans mon cœur. » dit-elle avant de marquer une pause, provoquant en moi un certain " mal-être" il était encore question de ce sentiment que je n'arrivais pas à garder... l'amour. Bien qu'ils étaient de la même famille, cela ne me choqua pas... j'étais très ouverte dans mon genre.

Ce qui me chagrinais cependant, était cette histoire de se résigner pour une simple question de "reputation" dans un sois-disant "clan", j'avais envie de vomir... l'amour était tellement précieux et par la même occasion éphémère pour mon cas, pourquoi avait-elle fait ce choix... pourquoi ?

« Ma promesse faite est ainsi de ne plus jamais tomber amoureuse d’un homme car il restera le seul homme que j'ai aimé... et donc d’éviter d’avoir des contacts intimes avec eux, voilà pourquoi maintenant je me tourne vers les filles. Et mon attirance pour elles a été une véritable découverte » dit-elle une nouvelle fois, me faisant oublier un instant mes douleurs interne mais, une nouvelle fois quelque chose me dérangeais... « Donc voilà, j’ai mes raisons d’aimer les femmes tout comme toi tu dois avoir les tiennes »  dit-elle pour terminé alors que je me détachais de mon étagère, décroisant les bras.

« En effet j'ai mes raisons... elles sont assez banales d’ailleurs. Je n'ai jamais apprécier les hommes... en faite, je n'arrive pas a m'imaginer avec l'un d'eux... ça me répugne » dis-je en rigolant avant de reprendre « C'est comme si j'étais un homme en faite... coucher avec un autre homme me dégoutte et puis une fille est tellement plus belle, plus délicate... j'aime ça depuis des années » Je m'approchai d-elle, fronçant légèrement les sourcils

« Je ne vais pas te parler de mon passé mais ce que tu m'as raconté juste avant me chagrine un peu... tu dis  avoir abandonné ton amour pour une simple raison de "réputation" laisse moi rire... et puis ne plus jamais tomber amoureuse d'un homme ? même en ayant faite une promesse à quelqu'un, le cœur est indomptable, il est énigmatique ... l'amour est précieux, il est comme le crystal... difficile a trouver et pourtant si facile a briser, tu avais cette chance et tu l'as laissé pour une histoire de "réputation" quand bien même cette relation était sans doute "incestueuse" il était a toi de te battre pour cette amour» Je soupirai « De toute manière, tu ne pourra jamais sortir d'ici, cette île est désormais ton chez toi » dis-je pour terminer.

J'étais sans doute dépasser les limites, mes paroles avaient été claire... D'un côté je m'en voulais mais, tant de personne souffrait et deux gamins se laissais tomber pour des conneries. J'avais moi-même fais des conneries dans mon enfance et je le regrettais... dans quelques années cette demoiselle le regretterais elle aussi, la vie était tellement dur...

M'approchant une nouvelle fois d'elle en ne faisans pas attention au centimètre qui nous séparait, je dis soudainement « Sans être indiscrète... tu n'a jamais rien fais, pas vrai ? je parle sexuellement bien sûr et réellement pas du touche-pipi » je souris, me retenant de rire, j'étais une étrange fille... parler de ça aussi ouvertement, je n'avais aucune retenue.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyMar 27 Sep 2016 - 10:04

Les erreurs du passé, et celles à supprimer à l’avenir

Enfance, quel tendre temps, un moment dans une vie où l’insouciance est de mise. Tout n’est alors qu’un jeu. Tout est alors possible. Tout, ou bien presque. Car l’enfance est la période où les révélations sont d’autant plus brutales. On ne comprend pas. On n'arrive pas à accepter des vérités pourtant dévoilées. Et cela, comme lorsque le mythe des cloches et des lapins de Pâques nous est brisé juste devant les yeux. Sauf que cette révélation peut toucher un sujet bien plus sensible.

Sakura avait peu réagi lorsque je lui avais adressé toutes mes réponses et révélation sur mon passé. Ce n’était peut-être d’ailleurs pas très judicieux de ma part maintenant que j’y repense. Elle était assez différente de moi sur un point, nos relations avec les hommes demeuraient différentes. Alors que je ne détestais pas les hommes et aurais pu il y a un temps sortir avec eux voir plus. Elle ne s’imaginait même pas dans leurs bras. Comme on le dit si bien, il y a des raisons que le cœur même parfois ignore. Le point étrange de sa personnalité était même qu’elle se voyait comme un homme. Étrange. Nos contrastes ne faisaient que croître. Moi j’avais tiré un trait sur les hommes bien que je ne les déteste pas, et elle qui ne pouvait les voir en était devenu un (en quelque sorte). Par contre j’étais parfaitement d’accord avec son raisonnement sur les filles si belles si délicates parfois. J’étais un peu comme cela aussi. Belle ? Je ne sais pas trop. Mais je savais que je renfermais une certaine fragilité. À vrai dire, le seul moment où cette fragilité disparaît, c’est lorsque je me lance à corps perdu dans la bataille.  

Ce qu’elle m’avoua ensuite, concernant mon histoire me brisa légèrement. Je l’écoutais juste tête baissée. Abandonné mon amour pour une histoire de réputation... comme si j’avais eu le choix... faire partie d’un clan c’est de savoir s’imposer les règles. C’est savoir se fixer des limites. C'est... c’est savoir faire des choix aussi cru cruel soit-il... C’est ........ C’est.... ce n’était pas.... Non c’était peut-être bien une erreur... Son déchiffrage de l’amour m’était réellement inconnu. Je ne comprenais pas toutes ses allusions. L’amour ? Du cristal ? Un cœur indomptable ? Tout cela m’échappait. Et pourtant chacun de ses arguments me touchait plus profondément, rouvrant légèrement la plaie de la culpabilité d’avoir laissé fuir ma chance. J’aurais dû me battre ? Je ne voyais pas comment. Quelque chose me parut cependant net.

« Je n’aurais pas pu me battre... même si j’avais voulu, devenir élu m’imposait de partir, de quitter le clan, de voyager, pendant 5 longues années... rejeter cet amour était certes une erreur de ma moi encore enfant... mais l’accepter aurait fini par me déchirer le cœur lorsque je pense que je ne pourrais probablement pas retourner chez moi. »

C’est d’ailleurs ce qu’elle me confirma peu de temps après. Cette île était une véritable prison au cœur d’un paradis. Tout ce que je voyais se modelait en un contraste. Je ne comprenais pas quelle sorte de jeu ma vie menait. Je ne parvenais pas vraiment à la regarder, ses vérités avaient été cruelles à entendre. Surement aurais-je pu la détester pour ça... pourtant je savais bien qu’elle avait raison. Oui il existe vraiment tant de raisons que le cœur ne peut oublier, ne peut pardonner, ne peut consoler. Et ses raisons resteront à toujours enfouillies quelque part avec la douleur prête à ressurgir de nulle part.

J’étais tellement dans le soleil que je ne remarquai même pas Sakura s’approcher à nouveau de moi. Sa question elle-même sembla venir de nulle part. La première partie de sa phrase fut comme une parole en écho sur des parois de verre, assez indistincte malgré le peu que j’en compris. La seconde partit elle fut plus nette. Ce « ... je parle sexuellement bien sûr et réellement par du touche-pipi » me permis entre autres de compléter la première partit. Immédiatement mon corps réagis. La tristesse et le remords s’était évaporé rapidement remplacer par une gêne intense. Que que... Qu’avait-elle dit ! Mes joues pourpres me brulèrent légèrement.

« Non, je l’avoue... je n’y connais rien... j’avais déjà embrassé mais c’est tout... je suis doit apprendre à découvrir ses relations... »

Mon corps soumis a trop de sensations différentes entre tristesses, désarroi, sentiment e bien être et timidité se ramolli. Mes jambes flageolaient, mon dos et une de mes mains sur une étagère libre me permettait de rester debout.

« Je ne suis « adulte » que depuis peu de temps après tout » envoyais-je comme si cette seule phrase pouvait expliquer tous les malheurs du monde.

Puis j’ajoutais une dernière petite phrase, comme une éponge sur la discussion du passé, comme un trais vers l’avenir.
« Cependant, je suis très bonne élève » ma voix confiante changeait de l’image que j’avais laissée traîner jusqu’à présent. C’était une manière aussi de lui montrer que je ne me laisserais plus déstabiliser. Je ne voulais pas passer pour une pleurnicheuse. Non ce n’était absolument pas moi. J’attendrais même certainement le moment pour lui rendre le pareil. Après tout, elle était une de mes Némésis, c’était normal que cette réflexion m’’aient fasse un tel effet. Je ne me laisserais pas faire plus longtemps, je l’avais décidé.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyMer 28 Sep 2016 - 11:10

Il était maintenant question de connaitre la sainteté du corps de la jeune demoiselle en face de moi. J'étais retourné à "la case départ", oui... mais j'avais réussi a abolir certaine chose de mon passé grâce a l'amour que m'avait apporté Mélodie à l'époque. Je me souviens encore de toute ses demoiselles auquel j'arrachais la virginité par simple plaisir, venant a prendre des videos, les postant dans la plus grande discrétion sur des sites osées. J'avais évolué avec le temps, j'avais été une mauvaise fille puis peu à peu, je suis devenue mature... Comprenant alors mes propres erreurs, malheureusement pour moi, je ne retombais jamais sur mes pattes, me prenant alors cou sur cou.

« Non, je l’avoue... je n’y connais rien... j’avais déjà embrassé mais c’est tout... je suis doit apprendre à découvrir ses relations... » prononça t-elle, ressentant son souffle contre mon visage à quelque centimètre du sien.

Apprendre était bien une chose... j'avais moi-même appris sur le tas avec une vingtaine de fille, me faisant prendre ma virginité par simple plaisir mais rapidement, je me rendu compte avec cette même personne, Mélodie... que la virginité était bien quelque chose d'important, que j'avais pourtant donné a la première venue. Je ne l'avais pas regretté, jusqu'à maintenant. des brides de souvenirs envahissant mon esprit, l'image de Mélodie se faire prendre par quelqu'un d'autre... Je retiens mes lèvres, m'écartant doucement de Laily, mes idées noires remontant à la surface.

« Je ne suis « adulte » que depuis peu de temps après tout » lança t-elle subitement, me faisant hausser les sourcils, adulte ? et c'est pour cette raison que cette jeune demoiselle voulait se donner ainsi à une pur inconnue ? Je ne pouvais le nier, j'avais envie de cette demoiselle mais quelque chose me freinais.. quelque chose dans mon esprit semblait me montrer le droit chemin... hope.

« Cependant, je suis très bonne élève » rajoute t-elle alors subitement, me faisant légèrement rire sur le coup. Si cette demoiselle voulait apprendre, ce ne serait sans doute pas avec moi mais avec l'une de mes connaissances... Kathleen.

Finalement, je me disais que Laily fuirait facilement devant Satan qui aimait particulièrement le Sadomasochisme... ce que je n'appréciais pas vraiment moi non plus. Faisant un signe de tête a Laily, je me mise contre elle, voulant connaitre la moindre réaction de cette dernière.

Passant délicatement ma main sous son haut, je me mise a caresser ses hanches puis sa poitrine, venant lui susurrer a l'oreille « Je ne suis pas un bon professeur et puis... je ne prend plus les virginités même celle psychologique depuis un petit moment déjà, il faudra trouvez quelqu'un d'autre » je retire ma main de ses seins « Ne donne pas ta virginité a n'importe qui par simple "désire", j’avoue avoir envie de toi mais... il n'y a aucun sentiment entre nous et une vieille amie ma dis un jour que le sexe devait être purement sentimentale dans un sens elle n'avait pas tord et je ne veux pas oublier ses paroles, malgré mes soucis personnelles du moment» le souris, attrapant le stylo accrocher a ma poche avant de chemise, attrapant alors la main de Laily pour y noter mon numéros de telephone portable.

« Si tu as envie de me revoir ou de discuter, tu peux m’appeler a ce numéros, je serais heureuse de te revoir ma jolie » prononçais-je en souriant, déposant une nouvelle fois mes lèvres contre les siennes.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyMer 28 Sep 2016 - 21:42

Savoir se donner une chance


Quelque chose me chiffonne depuis maintenant bien longtemps. Il s’agit d’un livre que j’avais pu lire sur le thème de la déception. Toute cette discussion avait fini par m’y faire repenser. De ce livre, j’en ai fait ma propre réflexion lorsque ma seule et unique grosse déception s'est présentée à moi : Le jour où j’avais dû quitter à la fois mon foyer et mon premier amour. Je n’ai jamais brisé la moindre promesse depuis lors. Quoique, je n’en aie jamais vraiment brisé. Pendant un temps, je n’avais même pas tenté de me rapprocher d'autres personnes. J’avais placé mon sentimental dans le domaine du « danger », et cela, peu importe avec qui. Cependant, rapidement l’isolement qui était et demeurait le contraire de ma personnalité enjouée et sociale, me fit souffrir de ce manque de contact. J’ai ainsi réappris à communiquer aussi bien avec les filles qu’avec les garçons sans dépasser de limite. C’était comme si je m’étais donné une nouvelle chance de me relancer d’une manière plus vivable. Ce n’est qu’après avoir saisi cette chance que je m’étais décidée de partir à la recherche de nouveaux idéaux, les femmes, en me documentant et en apprenant par la même occasion à en devenir une.

C’est en un sens grâce à cela que j’avais pu remettre en cause mes choix passés lorsque l’on me faisait remarquer les problèmes de mon histoire. C’est également ce qui m’a permis de prendre des résolutions d’ « adulte » et donc de me recadrer. C’est pour cela que la discussion que nous avions eue m’avait fait pousser à la réflexion.

L’entendre rire lorsque je prononçais ce mot « adulte » me fit lui en vouloir un peu. Mais avec un peu de recul, je pouvais comprendre ce genre de réaction. Après tout, tout le monde parlait de moi en disant que je faisais plus jeune ou en me voyant comme une enfant. Cela pouvait être assez étrange, entendre ce mot dans la bouche d’une personne que l’on voie comme un enfant, était comparable à se retrouver devant une fille précoce. Seulement, j’étais réellement une adulte et il allait falloir que les gens le comprennent. Bien que je le sois, mes réactions concevaient une certaine dose de timidité et d’ingénuité que j’avais pu remarquer précédemment.

De ma petite annonce de vouloir apprendre et de savoir apprendre, j’eus le droits à une nouvelle scène embarrassante... elle se plaqua contre moi, mon corps contre son corps légèrement masculinisé par ses vêtements maintenant qu’elle me l’avait fait remarquer. Elle caressa d’un geste simple une de mes hanches, mais aussi pire, elle passa sa seconde main sur un de mes seins directement en contact sur ma peau nue. Un petit cri de surprise parcouru mes lèvres hésitantes... que cherchait-elle encore à faire ? Un de mes yeux se ferma également en réaction de ce contact comme un simple indice de ce bousculement interne. Pour finir, elle s'approcha de mon oreille, lentement. Mon corps se mis à frissonner au contact de sa respiration naturelle sur cette partie sensible. Quelle sensation à la fois embarrassante, terrifiante, mais qui procurait également un étrange bien être inconnu.

Seulement, sa phrase changea légèrement l’atmosphère. Elle me confia quelques mots, une parole, une incapacité. Les dires d’un enseignement inexistant de ses habitudes me parurent louches, principalement à cause de sa seconde phrase. Elle aurait fait des choses assez hum comment dire... peu commune à différentes filles. Elle qui voyait l’île comme un paradis avec la présence de multiples filles de son penchant. Tout cela était étrange, je n’arrivais pas vraiment à la voir ainsi, et cela, malgré ses gestes de l’instant. Elle avait un savoir impressionnant mais également une mémoire incroyable. Je ne voyais donc pas pourquoi elle userait son intelligence pour faire ce genre de choses. Surtout qu’elle me prévenait, et ce n'était pas rien. Une personne de ce genre aurait-elle pris la peine de me prévenir ? Les anciens autrefois me disaient que se laisser happer par les mauvaises ondes suite à de mauvaises expériences pouvait assombrir un cœur. J’en avais légèrement fait l’expérience. Certainement en avait-elle eu. Mais j’étais presque sûr que l’ombre qui demeurait en son pouvoir devait également agir sur cette personnalité qu’elle se disait d'avoir, tout comme la lumière m’avait rendue encore plus ouverte au monde. La dernière chose qu’elle me proposa et que j’aurais pu voir comme une fin de rencontre, me donner son numéro de téléphone, compléta mon doute. Un numéro, un appel, presque une demande à parler. Elle disait vouloir m’aider ainsi, et franchement ça serait sans doute le cas. Mais peut-être cherchait-elle quelque chose d’autre ? Enfin peut-être faisais-je complètement fausse route. Je devais en avoir le cœur net en la questionnant indirectement.

-franchement, je ne peux vraiment croire que tu sois réellement comme ça. Commençais-je avec un visage sérieux. Tu dois surement trop te renfermer sur quelque chose que j’ignore.

Je n’étais pas trop du genre à m’immiscer mais je préférais être claire également sur ce que j’avais dit un peu plus tôt.

- Et puis tu sais, ce que je cherche à apprendre n’est pas exclusivement dans l'heu ... dans le sexe... mais c’est aussi dans mes interactions les plus basiques.

Je prenais une petite pose Je tentais durant ce temps de retenir ce numéro qu’elle m’avait écrit sur le bras au cas où il arrivait quelque chose à l’encre et cela en quelques secondes.
Je tentais de me redresser reculant légèrement en me déplaçant sur sa droite le long des étagères.
Si tout pouvait être aussi simple qu’un simple déplacement.

« En tout cas, peu importe qui tu te dis d'être, je te suis très reconnaissante pour toute l’aide que tu m’as offerte aujourd’hui » je fouillais dans une des poches de ma petite pochette. J’en sorti un bout de papier et un stylo pour lui confier également mon numéro. « Écoute, peu importe ce qui se passe, je serais heureuse de te rendre un coup de main, peu importe la manière, si tu veux parler ou autre chose, n’hésite pas à m’appeler, peu importe ce que c’est. Cela me permettra également de peut-être découvrir de nouvelles choses voir être source d’apprentissage. »

C’est alors, à ce moment où la fin de discussion commençait à se pointer que quelque chose se produit. Un pas unique en arrière déclencha l’un des pièges les plus sournois de toutes les explorations que j’avais pu faire. Un livre, un seul petit misérable livre ! Ce dernier bloqué contre une étagère sur le sol, me fit trébucher. Cette chute était à passer au ralentit pour détailler toute la subtilité de ce point honteux. Une chute réellement pitoyable en arrière. J’essayai de me rattraper d’un bras sur une des étagères chargée de livres. C’était probablement la seule étagère bancale et mal callée de toute la bibliothèque. Mais ce n’était pas tout. Les livres de cette dernière se mirent à tomber, purement et simplement, tel un torrent, dans ma direction en laissant en suspens mon geste de stupeur et ma tentative de fuite. La scène resta figée dans le temps, le temps d’une multitude de livres que je ne lirais sans doute jamais...
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyJeu 29 Sep 2016 - 17:49

Mon numéro maintenant gravé sur le bras de la jeune demoiselle, j'espérais que celle-ci me recontacte, mais pour qu'elle raison ? J'ignorais parfois ce que renfermait mon âme, même Hogo, lui qui était aussi sage, percevant la moindre chose de chacun avait pu lire cette personne en moi, mais un voile sombre cachait cette seconde partie, cette partie si sombre qu'étais devenue ma forme divine. Sans pouvoir la contrôler, j'avais peur qu'au moindre "acte" me repoussant dans le passé, celle-ci réapparaît... Et blesser une nouvelle fois une personne que j'aime.

« franchement, je ne peux vraiment croire que tu sois réellement comme ça. Tu dois surement trop te renfermer sur quelque chose que j’ignore » Dit-elle alors que je me mise  redresser le visage, plongeant mes yeux rubis dans ses saphir. Souriant, je pouvais comprendre que cette demoiselle ne me comprenne pas, ne je me comprenais pas moi-même après tout « Et puis tu sais, ce que je cherche à apprendre n’est pas exclusivement dans l'heu ... dans le sexe... mais c’est aussi dans mes interactions les plus basiques. » dit-elle une seconde fois, attirant on peu plus mon attention, que voulait-elle dire par là ?

Elle se redressa, quittant mon champ de vison en partant sur la droite près d'une étagère. Me tournant dans sa direction, je me mise a l’observer, écoutant la suite de ses paroles « En tout cas, peu importe qui tu te dis d'être, je te suis très reconnaissante pour toute l’aide que tu m’as offerte aujourd’hui » dit-elle, m'arrachant un petit sourire « Écoute, peu importe ce qui se passe, je serais heureuse de te rendre un coup de main, peu importe la manière, si tu veux parler ou autre chose, n’hésite pas à m’appeler, peu importe ce que c’est. Cela me permettra également de peut-être découvrir de nouvelles choses voir être source d’apprentissage. » dit-elle pour terminé, détournant un instant le visage, un peu honteuse de ne pas vouloir raconter mes problèmes a autres personne mis a part ma psychologue et mon moi intérieur.

A cette instant, je voulu lui raconter mes soucis, malheureusement l'inconcevable arriva... Laily trébucha sur un misérable libre coincé sous une étagère. J'avais tendu ma main, mais bien trop loin, la demoiselle se rabattue sur l'une des étagères qui mystérieusement n'étais pas aussi bien alignée que les autres. Victime de cette scène, je ne pouvais pas rester de marbre. Mon tatouage au niveau de mon poignet se mis a briller alors que je criais le nom de mon familier « HOGO-SHA ! » C'est dans ce même cries qu'apparu par un portai d'ombre mon familier sous sa véritable forme. La bête en parfaite symbiose avec moi, compris immédiatement le danger et sauta sur la demoiselle pour la prendre contre sa fourrure, les pics du haut de son dos grandissant, des livres s’empalant alors sur celle-ci.

Paniqué, une fois les livres tombés, je m'approche de mon familier ainsi que de Laily protégée sous le ventre de celui-ci « Est-ce que ça va ? » je dépose une main sur mon familier, celui-ci relevant le crâne, prononçant d'une voix grave « Sakura ! » Relevant le visage, je vis alors le meuble tout entier commencer à tomber et bientôt, Laily, Hogo et moi deviendrons aussi écrasées que de vulgaires crêpes.

Instinctivement, le protecteur rejeta Laily puis moi, me regardant d'un t-elle tristesse... je ne voulais pas le perdre ainsi, il faisait partie de moi... La haine, la tristesse ainsi que la peur, je ne pus combattre face à tous ses sentiments l'acérant a cet instant mon coeur. Fermant les yeux, je fus entourée d'une aura ténébreuse, le temps semblait alors s'être arrêté...

Mes cheveux grandissants, mes oreilles pointues s'agrandirent alors que chaque piercing disparaissait un par un. Mes tatouages, eux aussi disparurent, l'encre se réfugiant a l’intérieur de mes yeux. Habillé d'une tenue typiquement Japonais de couleur violet et blanc. Mon âme d'une véritable noirceur, sortant de mon corps par mon dos, s'accrochant à ma colonne vertébrale avant de prendre une apparence canine. J'apparu ainsi, une voix riant a l’intérieur de ma tête * Ma pauvre Sakura, tu fais appelle a moi pour un simple familier ? Laisse-moi rire..., ça ne vas pas se passer comme ça... * je me mis a grogner alors qu'avec une immense puissante, je fis en sorte de repousser le meuble entier contre un mur plus loins.

« Sakura qu'avez-vous fait... Vous ne pouvez rien contre elle » prononça mon familier, alors que je perdais peu à peu le contrôle sur mon corps et mon esprit, tout devenait soudainement noir... * Laisse-moi tranquille... * prononçais a l’intérieur de ma tête, de nouveau rire retentissant * dans t'es rêves Sakura * répond t-elle alors que l'un de mes os se mis violemment à craquer. Me pliant de douleur, je m'écroule au sol, perdant définitivement le contrôle de moi-même.

« Hogo-sha... ça faisait un moment, la dernière fois que l'on c'est vue c'étais... à oui ! pour le viole de Mélodie Gravier, bien sûr » dit-elle d'une voix désincarnée, un sourire aux coins des lèvres, apercevant la jeune Laily au sol « Reste ici Hogo, je t'interdis de t'approcher sinon... je m'occupe de ton cas » dit-elle une nouvelle fois, Hogo-sha, reculant peu à peu, il s'avait de quoi était capable la forme divine de Sakura quand celle-ci ne la contrôlais pas « Et bien voici une jolie demoiselle... et vierge en plus ! » dit-elle en attrapant assez sèchement le menton de Laily entre son pouce et son index, ne faisant pas attention a ses ongles plantés légèrement dans sa peau « J'ai cru comprendre que tu voulais connaitre la véritable Sakura ? il n'y a pas de problème... » dit-elle sadiquement, Hogo-sha grognant a l’intérieur de sa gueule. D'un mouvement de main, la forme divine donna l'ordre a l'âme canine d'attraper Hogo-sha par la peau du cou, du sang giclant contre les meubles autours.

Les bruits avaient attirés l'attention de nombreuses personnes, cependant, avec une certaine facilitée, la forme divine de Sakura fit en sorte de prendre quatre grands meubles soutenant des livres, formant alors un carré, ceux-ci les enfermant dans une prison de livre et d'étagère... ( J'espère que c'est clair )

« Où en étais-je... ah oui, à toi ma belle » dit-elle une nouvelle fois, attrapant Laily par l'un de ses poignets, utilisant sa deuxièmes mains pour lui arracher le haut de son vêtement.

(Ps: ça risque d'être trash... si ça te dérange, dis le moi ! XD )
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptyVen 30 Sep 2016 - 10:52

une illusion ou réalité ?  



Même dans la chute il y a un temps dédier à la réflexion. Souvent on s’attarde sur une image invraisemblable, une image que l’on ne peut arriver à croire. Encore plus qu’une image dictée par des mots. Une image visible mais qui semble si cauchemardesque qu’elle en devient incroyable. Souvent, on associe cela au domaine du rêve, au domaine de l’illusion. Cependant, en y repensant, ceci était certes valable dans un lieu normal. Or, nous étions sur une île tout sauf normale. Alors, une telle image pourrait-elle être une réalité ici même ? Je n’en savais rien.

Une chute est parfois le meilleur moyen de se rendre compte de la bêtise dont je pouvais parfois faire preuve. Une exploratrice qui se faisait avoir par un piège aussi simple. Quel déshonneur. Ce qui se passa alors fut sans doute l’une des plus grandes hallucinations que je n’ai jamais eues. J’entendis un cri, un cri unique. « HOGO-SHA ! » Puis c’est là que tout devint bizarre. Une première ombre sortie du néant, une ombre sous forme d’une bête incroyablement féroce. Une créature des ombres, une créature plus grande que moi, dépassant probablement les 2 mètres de haut si ce n’était plus. Une créature cauchemardesque mélange entre un squelette, un serpent et un poisson. À peine arrivée, cette créature fonça en ma direction. Une nouvelle fois je me posais la question, était-il pire de se faire écraser par des livres que dévorer par un monstre... Cependant rien ne se passa comme ma conscience rapide le prévu... je fus happée, je fus projetée, rien ne semblait s’affaisser sur moi. Une ombre me recouvrait, mais sans annihiler ma lumière. Ce monstre m’avait sauvée. Dans un premier temps je voyais le regard spécial que Saku lançait à ce monstre, un regard bienveillant, un regard d’habitude. Je compris alors que ce monstre lui était dévoué.

Saku s’approcha alors de nous nous demandant si tout allait bien...

« Oui maintenant je vais bien... »

J’avais un peu de mal à regarder ces deux « personnes » qui me faisait face. Cependant, elle était toujours la même et cette bête m’avait sauvée. Mais à peine une catastrophe passée qu’une seconde survint. Ce qui se déroula fut peut-être bien pire que ce que je venais de vivre. Les livres tombés, l’étagère semblait maintenant suivre. Mais que se passait-il ! Je ne savais pas ! La créature repoussa Saku puis mois de deux côtés différents. En tombant, une petite plainte de douleur parcourut mes lèvres au contact avec le sol. Je restais allongée à terre, relevant juste un peu la tête. Toute la suite se déroula sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire. Le familier semblait se sacrifier pour nous. D’où sortais-je ce mot? D’un livre sur l'occulte. Mais pouvait-il réellement mourir ? Sakura semblait le croire en tout cas, la peur de perdre cette créature se dessinait sur ses lèvres, sur son visage, et tout cela était de ma faute ! Mais quelque chose de nouveau arriva encore à Sakura. Une aura sombre, une aura qui provoqua un malaise encore plus grand. Une peur inconnue s’empara de moi alors que les ténèbres semblaient englober la fille de la nuit. Son apparence fut modifiée toutes les spécificités qui faisait qu’elle était elle, furent soit enlevées soit prolongée. Ses yeux semblaient se plonger dans les ténèbres, des ténèbres encore plus profondes que celle que j’avais déjà pu voir en elle. Probablement étais-ce ses ténèbres ultimes. Quelque chose sortit de son dos. Quelque chose qui semblait la hanter, elle dans ce corps qui semblait s’être agrandi et s’était vu pousser des oreilles semblables à celles de créatures mythiques.

Cette créature serait toujours Sakura . Me demandais-je en suivant cette discussion à 3 qu’ils semblaient tenir. Enfin à trois, mais je ne voyais ni entendais la troisième personne. La nouvelle Sakura expédia la bibliothèque loin du premier monstre dont l’aura semblait bien plus amicale maintenant. Si mon corps pouvait bouger, surement me serais-je diriger vers ce dernier. Le corps nouveau de Sakura finit alors par se ploire comme une poupée de chiffon à qui on avait plié une force de jambe. C’est à ce moment que la voix de la troisième personne remplaça celle de Sakura, une voix étrange, une voix inhumaine, une voix tout bonnement monstrueuse. La voix s’adressa tour à tour à tout le monde. Tout d’abord ce fut à ce monstre dont je compris enfin les premiers mots qu’avait cités un peu plus tôt la fille disparue. Hogo-sha était donc le nom de la première créature. Les deux créatures semblaient converser. Hogo-sha semblait vouloir protéger Sakura de ce qu’elle était devenue. Cependant le deuxième monstre le menaça de ne plus bouger. Puis l’étrange visage aux yeux d’ombre et ce spectre canin sortant de son dos se tournèrent vers moi. Sa première phrase me fit trembler, trembler d’une terreur incontrôlable. Il ou elle, je ne savais plus qui ou quoi se trouvait devant moi. Je me trainais avec lenteur au sol tentant désespérément de reculer.
 
« J'ai cru comprendre que tu voulais connaitre la véritable Sakura ? il n'y a pas de problème... »

Sa voix sadique résonna au cœur de mon corps. Ce n’était vraiment pas ce que j’avais voulu dire par cela ! Cependant quelque chose me disait que je n’y échapperais pas. Surtout que cette créature semblait avoir suivi toute la discussion que nous avions eu Saku et moi un peu plus tôt. La créature se détourna un petit instant de moi et j’en profitais pour me mouvoir avec lenteur encore un peu plus loin. Mais lorsque je tournais la tête sur ce qu’elle avait fait, je vis le chien spectral noir qui tenais dans sa gueule, le cou de Hogo ! Une expression de dégout s’empara de moi à la vue du sang qui giclait... j’avais mal au cœur... que se passait-il à la fin ! Hogo était-il toujours en vie ! Mais la chance sembla enfin revenir de notre côté. Beaucoup de monde avait été attiré non loin de nous. Déjà il se préparait à en découdre. Mais déjà le monstre avait réagi formant autour de nous une prison de bois géante, nous enfermant dans son périmètre. La chance je disais hein? Un rapide coup d’œil me permit de voir que Kiss était à l’intérieur mais de l’autre côté de ce monstre.
Malheureusement, le monstre se ré intéressa à moi. Il me saisit par le poignet disant qu’il allait s’occuper de moi !

« Lâche-moi ! Mais lâche-moi ! » Hurlais-je sans vraiment croire une seconde qu’il le ferait par lui-même. Au contraire, il se mit à m’arracher mes vêtements que je venais juste d’acheter sur l’île ! "Haaa!!!! Arrête!!!!! " Je jouais des pieds et des mains pour tenter de reprendre le contrôle mais sans succès. Je sentais les fibres craquer sous l’acharnement de ses mains indélicates qui me brusquaient. Mon corps était maintenant à moitié nu tout mon haut déchirer en deux dévoilait ma poitrine englobée dans mon soutien gorge qui avait miraculeusement survécu. Mon mini-short avait été bien entamé déboutonné de force et plein d’accros. Je restais ainsi en culotte blanche visible au travers mon short ouvert.

Je ne pouvais pas me laisser faire. Je fermais les yeux rapidement dans ce moment d’excitation et libérai alors presque toute l’énergie dont était capable mon corps en une source lumineuse m’irradiant totalement. Je sentis la prise s’amoindrir sur mon corps et je m’en dégageais me mettant à courir en direction de Kiss avant de sauter pour l’attraper et me mettre en position de défense en une roulade. J’avais perdu mon short en cours de route. Ma culotte semblait avoir conservé une infime partie de ma lumière mon haut ouvert donnait une vue parfaite sur le haut de mon corps. Et résultat des courses, j’étais totalement épuisé avec Kiss en mains... si j’avais pu lui échapper c’était probablement juste par surprise... je savais bien que je n’étais absolument pas de taille à lutter contre ce monstre... ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne me happe à nouveau. Mais surement se pend ne me serais pas inutile. Je le regardais juste.

« Tu n’es pas Sakura   *halète*   *halète*  *halète*     que lui as-tu fais  monstre !  *halète*  *halète*   *halète* et qui es-tu !  »  

Je ne pouvais que m’attendre au pire. Hogo mis hors combat, Sakura qui semblait avoir disparu, et ce démon qui était apparu. J’étais prise au piège, dépossédée de lumière, face à quelque chose que je ne comprenais absolument pas du tout. J’étais probablement encore plus dans de beaux draps que précédemment !
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptySam 1 Oct 2016 - 11:34

Sombre, tout était devenue sombre. Recroquevillée sur moi-même dans cette espace étroit, mon esprit se remémorais chaque échec de mon existence. Une nouvelle fois, j'avais des remords, ma propre forme divine m’emprisonnant dans un coin bien ténébreux de mon esprit. En respirant, la vapeur sortant de mes poumons semblait gelée... j'étais morte de froid. Relevant le visage, je ne voyais rien, mis à part le noir totale... a quoi m'attendais-je, que Hope vienne une nouvelle fois a mon secours, qu'elle lâche je faisais... J'entendais les grognements ainsi que les coussinets de mon âme rodée autour de moi ( A l’intérieur de la tête de Sakura, son âme a l'apparence d'un loup noir ).

Me redressant sur mes deux jambes, la bête se mis à gronder de plus belle, alors qu’intérieurement, je me battais pour ne pas succomber a toute l'acharnement mental auquel j'étais prisonnière « Qu'est ce que tu attends... approche ! » prononçais-je dans un écho fatal, la bête disparaissant, le calme morbide revenant à son seuil « Hope, prête-moi ta force... enivre-moi de ton feu » prononçais-je une seconde fois dans le vide, fermant les yeux avant de soudainement ressentir une certaine chaleur sur ma peau devenue d'une couleur bleu.

•••

« Lâche-moi ! Mais lâche-moi ! » hurlais la jeune demoiselle alors que la forme divine de Sakura se réjouissais encore et encore d'avoir trouver un nouveau jouet. La jeune demoiselle criait vraiment fort, cela devenais insupportable aussi bien que le haut de celle-ci fut arraché aussi vite que prévu, le soutiens-gorge semblait lui avoir supporté le choc "Haaa!!!! Arrête!!!!! " la demoiselle jouais du pied comme des mains, mais bien trop imposante et puissante sous le contrôle du corps de son hôte, la forme divine ne lâcha pas prise jusqu'à un instant...

Fermant les yeux, la demoiselle semblait avoir utilisé son pouvoir, mais bien trop faible celui-ci fut immédiatement aspirée par les ténèbres entourant le corps de la Ténébreuse. Echappant cependant a son attention a un certain moment, Laily c'était diriger vers Kiss, cependant la demoiselle épuisée par ses débats ne pus se résoudre qu'à prendre une forme défensive, ce qui fit immédiatement rire la forme divine de Sakura.

« Qu'est ce que tu crois pouvoir me faire avec ce cure-dent ? Hein ! » dit-elle, retenant la bête dans son dos, prête attaquée, toujours aussi assoiffée de sang, Hogo-sha au sol lui, ne semblait plus pouvoir bouger « Tu n’es pas Sakura   *halète*   *halète*  *halète*     que lui as-tu fais  monstre !  *halète*  *halète*   *halète* et qui es-tu !  »  dit-elle systématiquement après les dernière paroles de la forme divine. Cette dernière, riant de plus belle à chaque, instant, fit un signe de la main.

C'est alors que la créature dans son dos pris entre ses crocs Kiss, la ramenant automatiquement en direction de sa propriétaire, celle-ci s'approchant ensuite de Laily pour lui saisir un sein entre ses mains « Ma pauvre, tu ne connais même pas l’étendu de tes propres pouvoir, laisse-moi te montrer... » C'est alors que cette dernière utilisa sa magie voleuse pour prendre la moindre énergie magique de Laily, utilisant cette dernière contre elle. La puissance de l'impact avait projeter cette dernière contre une des bibliothèques, ses sous-vêtements ne tenant maintenant qu'à un pauvre file.

La ramassant par les cheveux avant de la mettre sur pied, la forme divine pris les deux poignets de Laily dans l'une de ses mains, utilisant la deuxième pour venir caresser le jardin secret de la demoiselle avec une très grande douceur, du moins pour le moment « Que dirais-tu de saigner... là maintenant et pour moi... » dit-elle en riant de plus en plus fort.

•••

Une flamme, je croyais voir une flamme... la seule lumière a cette instant fut le feu de la femme que j'avais aimée... Me redressant, je crus sentir a un instant sa présence, son regard glacial posée sur moi... Elle me donnais la force de me battre contre moi-même, c'était grâce à elle...

Courant vers la lumière, les flammes de Hope m'avait guidée jusqu'à a sortir de cette enfer. Je pouvais voir maintenant... Hogo-sha était mis hors de combat et Laily était dans de mauvais drap, il fallait que je prenne le dessus sur ma forme divine. Une aura de ténébreuse autour de moi, je continuais d'avancer jusqu'à attendre la sortie de ce lieu inconcevable.

C'est bien évidament après cela que mon esprit entra en confusion avec celui de ma forme divine, cette dernière reculant de Laily en criant toutes les insultes de son vocabulaire. Je la tenais... l'attrapant par la gorge avant de la rejeter au fond de cette espace noir * Tu n'as pas à contrôler mon corps, tu n'est pas une réel personne * prononçais-je, alors que mon reflet répondu * Je fais partie de toi Sakura, arrête donc de me renier de la sorte... tu ne pourras pas prendre le dessus sur moi, si tu n'arrives pas a t'accepter toi-même. Je te laisse pour cette fois, mais la prochaine fois... je te casserais chacun de tes os pour te faire comprendre à qui reviens le contrôle de ton corps et de ton esprit * dit-elle avant de soudainement disparaître. ( cette scène se passe a l'interieur de la tête de Sakura ).

•••

J'ouvrais les yeux, toujours sous cette forme qui était celle de ma divinité... je la contrôlais, pour la première fois, ressentant se flux d'énergie magique incroyable me parcourir... « Mon dieu Laily... » prononçais-je avant de la prendre dans mes bras, Hogo-sha se réveillant peu à peu, reconnaissant alors là, l'aura de sa véritable maitresse « Je suis désolé Laily, il ne faut pas m'en vouloir... » prononçais-je avant de repousser l'une des bibliothèque avec ma magie, la police semblait être arrivée sur les lieux « Ne dis rien... sors d'ici et si tu en as besoin, appelle-moi, encore pardon » dit-je une seconde, fois, reprenant la véritable forme avant que Hogo ne crée un portail. M'attrapant contre, lui, je passais le portail, quittant les lieux en espérant n'avoir aucun soucis avec les autorités ce coup là.
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MessageSujet: Re: Quand les opposés s’attirent [yuri]   Quand les opposés s’attirent [yuri] EmptySam 1 Oct 2016 - 12:52

Au bord des limites


Les limites du corps humain sont déterminées par plusieurs choses, la force de son mental, soit sa capacité à résister aux attaques psychologiques mais aussi à ne pas perdre confiance lors d’une confrontation. Les limites énergétiques, les limites donc qu’un corps possède, celle qui détermine l’endurance physique si importante dans toute sorte de sport. Mais également les limites mystiques, celle qui limite l’utilisation de la magie. Celles-ci peuvent accroître de manières totalement différentes en s’entrainant pour la première, en affrontant ses peurs et en dépassant ses forces. On accroît ainsi sa force mentale. Pour la seconde, les séances de sport sont indispensables, un entrainement quotidien est le point particulier. Ceci accroît ainsi la force physique. Pour la dernière, un entrainement quotidien a la pratique de la magie est primordial, ceci n’était absolument pas mon cas. Cet entrainement sert à accroître sa force mystique. Il suffit qu’une de ces forces se retrouve à sa limite ou pire, soit épuisé, pour que tout le corps réponde bien moins. Ma force magique extrêmement faible était donc ma grande faiblesse.

Ainsi, j’étais justement dans ce cas-là. Le pire était que j’étais face à une bête totalement hors de m'a portée qui semblaient ne pas avoir de limite contrairement à moi... j’étais réellement mal partie... cependant, traiter Kiss de cure-dents me mis hors de moi

« Qu’est-ce que t’as dit !!  Rahhhhh !!! »  

Je lui fonçais dessus avec toute la rage qui me restait...   mais je fus interceptée par l’ombre dans son dos  qui happa Kiss dans ses  dents  alors que moi je pendais au bout de Kiss.  Son rire était insupportable.  Mais là ne fut pas le pire.

Alors que je pendais dans les airs, attrapa un de mes seins et le pressa ! « Aaaaahhhh ! » Elle me narguait alors en me disant que je ne connaissais pas la véritable force de mon pouvoir... et c’était vrai, je ne connaissais absolument rien... quelque chose se produisit alors. Je sentais comme mon fond d’énergie magique se faire aspirer ... que me faisait-elle ! Elle voulait me montrer la puissance de mon pouvoir véritable... qu’est-ce que cela voulait dire ? Je finis alors par le comprendre à mes dépends. Un flash de lumière ultra puissant frappa mon corps lourdement déchirant le reste de mes vêtements et me faisant percuter violemment une étagère... complètement sonnée, je m’effondrais au sol.
*aie, je ne sens plus mon corps... mes bras, mes jambes, j’ai mal, partout aie*
Ma tête se relevait légèrement alors que cette monstruosité commençait à caresser mon intimité dévoilée... Mon corps tiquait, mais l’énergie restante ne me permettait pas de réagir davantage. Elle voulait me faire saigner... comme si je n’étais déjà pas assez amochée... *me touche plus * tentais-je de crier sans la moindre réussite.

Tout allait devenir bien pire... mais finalement rien ne se passa de plus. Le monstre d’ombre semblait avoir totalement buguer. Quelque chose devait se passer à l’intérieur. Sakura, la vraie, luttait-elle ? Mon corps se refusait de bouger. Je ne pouvais pas profiter de ce moment pour m’échapper... le corps de l’ombre géante semblais se mouvoir indistinctement. Elle tremblait, quelque chose de terrible se passait... je n’en croyais pas mes yeux. Puis finalement la voix de Sakura fusa de la créature. Elle avait réussi, elle était de retour, elle fut déboussolée, je n’étais pas dans un état des plus optimal... elle prit son familier dans ses bras. Elle contrôlait sa forme, qu’est-ce que c’était d’ailleurs ! Je n’avais jamais entendu parler de ce genre de chose, qu’un corps pouvait changer. Elle me demandait de m’enfuir. La police arrivait aux sons des sirènes que j’entendais au loin. La prison de bois fut alors dégagée par Saku en mode démone, elle s’enfuit alors d’un moyen que je ne vis point, déjà ma conscience commençait à s’enfuir. Deux mots de Sakura m’atteindre alors «... Appelle-moi ...» la phrase n’était certainement pas complète... mais ce fut la dernière que j’entendis d’elle. Une voix m’appela alors, une voix de fille qui me disait vaguement quelque chose.

-Laily ! Laily !

Je ne voulais rester là, je ne voulais pas que la police vienne me demander ce qui s’était passé. Je ne voulais pas que Saku ait des problèmes. Ce n’était pas sa faute, ce n’était pas elle. Tout était de ma faute après tout.

- emmène-moi. Demandais-je à celle qui me parlais sans que je sache de qui il s’agissait. Seulement j’étais sur de l’avoir déjà entendu a l’académie. Je me sentis transportée. J’aurais voulu la remercier. Mais je perdais conscience alors que la chaleur de quelque chose de léger venait d’envelopper mon corps. J’étais finalement transportée quelque part. Mais je n’en savais pas plus.

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