Himitsu no Kii
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 Near Glenn [END]

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MessageSujet: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyDim 13 Mar 2016 - 23:25

Near GLENN (♂)

né le 11/04/1991 au Japon • britano-japonais • Hétéro • Proprio du Key's Power • Like a Fujin ~ • Noragami me prête son visage dans cette expérience !


DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
On dit que dans l’esprit de chaque personne, une personnalité dérangée sommeille toujours, au plus profond de l’être, tapie dans les petits recoins de notre subconscient. Il s’agit là d’un esprit bestial, primitif, guidé par l’instinct primaire qu’est la survie. La majorité des gens vont jusqu’à totalement ignorer l’existence même d’une telle présence en eux, jusqu’au jour où leur vie sera directement menacée dans un laps de temps très court nécessitant une réaction prompte et immédiate. C’est là que l’on constate que les personnes dotées d’un instinct de survie valable, ainsi que celles qui ne méritent que de mourir, autant par leur oisiveté que par leurs réflexes ridicules et pathétiques de hurler comme des porcs au moment où la mort les fauche avec violence. C’est ce genre de chose qui distingue les forts des faibles. Qui distingue les morts des survivants. Qui distingue le désespoir et la résignation… Du désir de vivre. Voilà ce qui fait notre monde.

L’esprit de Near, sans même que l’on ait eu besoin de commencer une quelconque étude, a de quoi faire peur aux interrogateurs. Normalement, on peut d’ores et déjà se fier à l’apparence d’une personne pour se faire une idée générale du mental de la dite personne. Contentez-vous simplement de lire la description physique juste en dessous, vous comprendrez peut-être mieux si cela n’était pas déjà fait. De nombreuses personnes peuvent être considérées comme ayant un esprit dérangé, psychothique. Dangereux. Eh bien c’est uniquement le cas aux yeux des personnes qui ne font que rester sur leurs propres impressions personnelles. La chose la plus complexe avec la, ou les façons de penser de Near, c’est bel et bien la façon de l’interpréter. Il faut évaluer ce cosmos infini sous plusieurs angles, et non de face uniquement. Lorsque l’on regarde un animal dans les yeux pour la première fois, l’on peut croire qu’il ne souhaiterait rien d’autre que nous dévorer à l’instant. Mais cette pensée s’avère souvent très éloignée de la vérité. Aussi ne doit-on en aucun cas se fier à la première impression laissée par nos sens propre à la vue d’un être du calibre de ce jeune homme. En aucun cas. Bien que les points de vue basiques à son sujet aient souvent une part de véracité, ils restent relativement éloignés de la réelle vérité. La complète. Ce qu’ils voient, ce n’est pas l’esprit de l’homme en noir, mais bien un masque habilement placé pour dissimulé une machine inconcevable aux arrières d’un tissu d’illusions. Tissu qui ne manque d’ailleurs jamais l’occasion de berner les esprits simplets. Aussi l’esprit en question est-il avant tout pourvu d’une complexité qui fait justement sa force ? On peut voir dans cette machinerie magnifiquement huilée, le résultat de nombreuses années d’entrainement mental dans le but unique et bien fixé de rester à l’épreuve des agressions mentales en tous genres. Une petite protection en souvenir du passé, par le fait même. Après tout, un séjour prolongé dans un endroit aussi controversé – avec raison – que la prison ne peut que laisser certaines séquelles mentales menant irrémédiablement à la volonté de protéger un esprit déjà ébranlé jusque dans ses fondations. Car rien n’est plus dangereux et ardu à berner qu’un esprit brisé par le passé. Si l’on pouvait illustrer la mentalité du survivant des terres de désolation qu’est notre jeune ami psychotique, il suffirait d’imaginer une forteresse éprouvée par une guerre terminée il y a peu. Des murs de pierre et d’acier, renforcé de tourelles de défense aux allures impénétrables. Pourtant, plusieurs brèches à reconstruire sur les murs, et un champ de bataille à nettoyer. Voilà ce que représente l’esprit du ténébreux personnage qu’est Near : les restes d’un carnage.

De nombreuses façons de penser peuvent affluer dans sa tête, selon les situations. Il va sans dire que les réactions de base restent et resteront toujours, étant partie intégrante de tout être se disant comme humain. Nous parlons ici des réflexes de danger, de nervosité, envers les ennemis et les alliés. Dans ces différents cas, on peut constater de brutaux changements dans les façons d’agir du frêle jeune homme. En présence de personnes considérées comme alliés de sa personne, ou plutôt, ne représentant pas une menace éventuelle, l’attitude de Glenn se verra simplement influencée par leur personne propre. Aussi, la courtoisie pourra un brin faire partie de ses manières envers les personnes de la gente féminine, pour autant qu’elles démontrent le brin de prestance et de raffinement pour en être valables. Il va donc sans dire que le style de femmes sans grâce qui ressemblent plus à des éboueurs à casquette….. Les autres auront droit à un traitement dépendant de leur statut, ainsi que du fait de savoir s’ils appartiennent à un groupe, quel qu’il soit. Mais en général, la froideur empreinte d’un brin de respect de base sera la seule chose qui pourra s’avérer visible aux yeux des interlocuteurs généraux de l’homme. Un caméléon donc. Tout simplement parce que s’il y a bien une chose qu’il a apprise, c’est qu’un surplus de respect donne un sentiment d’importance trop grand aux gens. Ils deviennent pompeux, vaniteux, et parfois même absolument insupportables, tant ils prennent rapidement l’habitude de leur apparente supériorité vis-à-vis des autres. Pour avoir vécu en présence de personnes hors du commun, et ce pendant de nombreuses années, il a de quoi savoir de quoi il parle en la matière. Un type de personne, relativement rare, peut espérer entrevoir une facette légèrement moins âcre. Il s’agit là des quelques personnes uniques qui arrivent à faire partie des gens auxquels il va finir par s’attacher. Pour lui, ce genre de personnes représente une chose sans valeur, tout bonnement. Pour une âme torturée, les attaches sont l’un des liens qui retient le corps et l’âme de sombrer dans la démence et la solitude pour l’éternité. Le lien qui les sauve de la damnation éternelle, l’errance dans les ténèbres. S’il y a bien une chose pour quoi il pourrait vouloir protéger en dehors de sa propre existence, ce sont les gens auxquels il tient. Et c’est également les seuls qui verront en lui un être sympathique, pour peu qu’ils veillent à rester attentif. Car même en s’y mettant, ce n’est pas comme s’il était d’un naturel gentil, tout de même… En dehors de ces personnes, ses ennemis ne pourront jamais espérer quoique ce soit d’autre qu’une froideur maladive et calculée à leur encontre. Son regard se fait alors de glace, alors qu’un mur d’acier trempé se forme lentement autour de son esprit. Il se prépare alors à tuer. Et rien n’est plus à craindre qu’un être blessé et déchiré par le passé, désormais rongé du désir flamboyant de vengeance envers ceux qui menacent son existence, cette chose si fragile qu’il a mis tant d’efforts à conserver. Aussi jamais la pitié ne pourra être visible à leurs yeux, étant donné que leurs pupilles ne verront rien d’autre que les bas-fonds de l’enfer, en toute circonstance ! Le tueur tue non pas par plaisir de tuer, mais par nécessité.

Cependant, au-delà de tous ces détails, certaines choses sont à considérer en tout premier lieu, en ce qui concerne le sombre et mélancolique personnage qu’est notre rescapé de la vie. Il va de soi que le passé des gens a tout pour influencer leur façon de penser, leur façon d’être, leur façon d’agir. Aussi, un passé empreint d’innombrables expériences et de torture aux mains d’un démon ne peut-il pas que laisser de traumatisants chocs nerveux au niveau personnel. C’est d’ailleurs ce qui fait de lui une personne hautement instable quant à ses émotions personnelles. Souffrant de symptômes proches de la schizophrénie et de la sociopathie, il est en effet la proie de fréquentes sautes d’humeur incontrôlées, souvent provoquées par des évènements insolites dans son entourage, allant réveiller d’anciens souvenirs enfouis pour les raviver avec une intensité durement égalée. Dans ces moments, la folie vient presque prendre le dessus sur la raison, alors que le sang-froid du jeune homme semble s’évaporer à une vitesse alarmante, le privant par le fait même de plusieurs de ses facultés, dont celles de recognition et de distinction. Dans ces moments de terreur spontanée, nulle personne ne peut représenter autre chose qu’une menace aux yeux de Near. Tous des monstres, assoiffés de sang, voulant sa peau. Et c’est à ce moment que les choses deviennent dramatiques. Car si le second stade d’intensité est atteint, le bon sens s’envole aussi bien que la prudence. Le comportement de Glenn devient empreint d’une rare violence, alors que tout ce qui se trouve sur son chemin devient un objet à détruire à tous prix. Ces crises de deuxième intensité se doivent cependant d’être le résultat d’un stimulus continu après que la première étape ait été atteinte. Pour ne citer qu’un exemple, imaginez l’effet produit par des monstres s’approchant de vous en prononçant des paroles que vous n’arrivez même pas à saisir, pour finir encore plus terrifié que vous ne l’êtes déjà. Ces crises sont le résultat de nombreuses expériences pratiquées au long de plusieurs années, tant sur le plan mental que physique, pour laisser de nombreux traumatismes enfouis ressurgissant uniquement en certaines situations bien précises. En plus de ces détails, l’insomnie représente un autre de ses problèmes, problème qu’il a cependant rapidement réglé en réduisant ses propres heures de sommeil à un strict minimum relativement serré et en se mettant à fumer. Quitte à avoir du mal à dormir, autant prendre l’habitude de garder un certain contrôle sur la question. Car après tout, le sommeil ne nous mène à rien d’autre qu’un monde utopique qui nous remplis d’illusions. Entre les illusions et la réalité, aussi dure que soit cette dernière, le choix est vite fait…


INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Simplement en bougeant ses mains, doigts, bras, suivant l'intensité voulue.
• Affinité : Ça ne lui déplaît pas, il aime en jouer.


DESCRIPTION PHYSIQUE
Comment décrire un homme qui ne fait que laisser transparaître dans tous ses gestes la totalité de ce que représente une mentalité torturée et instable ? Que dire sur un homme qui a forgé son apparence en fonction des choses qui ont fait office de prémices à son existence, malgré le fait qu’elles aient également laissé des marques qui ne disparaîtront jamais ? L’apparence d’une personne témoigne toujours de ce qui a pu constituer sa vie jusqu’à ce jour où vos yeux se posent sur elle. C’est immanquable. Car aussi fort que puisse être notre désir de garder pour nous certains détails de notre passé, il semble que même notre inconscient fasse tout son possible pour nous empêcher d’arriver à cette fin. Vraiment, le pouvoir sadique et sadomasochiste de l’esprit humain, c’est une plaie depuis toujours, et ça le restera encore longtemps. Mais curieusement, même lorsque l’on se rend compte de toutes les imperfections sur l’armure factice dont on se prémunit contre le regard des gens de l’extérieur, jamais l’on ne prend l’initiative de les effacer, de les enlever à la vue de tous. Peut-être nos démons du passé sont-ils ce qui fait de nous des êtres détestables ou appréciables en apparence. Mais assez de détails inutiles.

Or donc, comment décrire efficacement l’énergumène relativement hors du commun qu’est Near ? C’est une bonne question, car de nombreuses choses peuvent passer par la tête de n’importe qui lorsque le regard vient à se poser sur cette personne loin d’être dépourvue de traits distinctifs propres à se questionner. Il est relativement difficile de se donner un réel point de vue sur une personne dans le genre de notre individu dès le premier regard, contrairement à ce qu’on pourrait penser en ne faisant que laisser nos yeux glisser sur lui comme sur n’importe qui d’autre. Car si les personnes normales sont généralement faciles à caser dans certaines catégories distinctes qui forment la société hiérarchisée, contrôlée et standardisée de ce monde, il restera toujours quelques individus capables de se différencier de la masse, et ainsi de se faire remarquer non pas pour leur ressemblance avec la masse, mais bien pour leur individualité singulière qui fait d’eux des gens que le monde semble aimer traiter de parias. Mais à la base, il y a une chose qui soit certaine en ce qui concerne l’apparence du jeune homme, du moins pour les personnes qui ignorent tout de son identité, et ne souhaitent pas la connaître : lorsqu’on le voit arriver de loin, ce n’est pas un homme qu’on a l’impression de voir. C’est un être sombre, qui absorbe presque la lumière autour de lui, alors que l’air s’alourdit en sa présence pour donner un sentiment de suffocation aux gens ne disposant d’aucun entraînement physique. Une impression d’oppression, de force qui cogne contre vos tempes alors que cette forme vaporeuse et aussi sombre qu’un corbeau de mauvaise augure passe devant vous sans même ralentir, sans même vous accorder un regard, vous laissant avec une ligne de sueur dans le cou, et une impression de dessèchement. Puis, la vie reprend en l’espace de quelques secondes, pendant que vous repartez au loin, pour vous éloigner de cet être que vous souhaitez retirer le plus rapidement possible de toutes vos pensées et tous vos souvenirs. C’est une impression qui reste, pour toujours et à jamais. Car la façon de faire en soi du jeune garçon n’est pas sans évoquer une certaine froideur, une lenteur qui ne peut que vous faire froid dans le dos, alors que la silhouette sombre non loin de vous s’exécute. Des mouvements emplis d’une grâce qui ne peut, et ne pourra sans doute jamais passer inaperçue, mais qui pourrait passer pour une simple légèreté de mouvement due à l’apparente minceur renforcée de l’individu. En effet, l’apparence physique générale de Near pourrait être décrite comme relativement frêle, empreinte d’un certain manque de constitution. Cependant, il ne faut pas se laisser abuser par de telles choses, aussi futiles qu’elles puissent être lorsqu’elles s’appliquent à un homme quel qu’il soit. Cependant, il y a constamment une façon étrange de faire dans chaque action posée par lui. Seules certaines rares personnes ne pourront jamais en comprendre l’origine, et encore, il ne s’agit que de détails infimes tirant à des conclusions hâtives. À la base, curieusement, jamais l’on ne pourra apercevoir sa silhouette se tenir de façon réellement droite et ferme. En constance, peu importe les circonstances du moment où la position dans laquelle il se trouve, le corps aura toujours tendance à tanguer étrangement, oscillant comme s’il était soumis à une gravité aussi peu stable que dérangeante. Une attitude qui témoigne de plusieurs choses aux yeux des gens qu’il croise, mais qui passe généralement pour un équilibre mental plus que précaire qui n’a fait que se répandre jusqu’au corps au bout d’un certain temps. D’autres y verront tout simplement une lâcheté et une mollesse si proéminentes qu’elles iraient jusqu’à influencer la capacité de l’individu à se tenir debout. Mais qu’importe.

En dehors de son apparence subjective, il conviendrait peut-être de décrire brièvement ce qui constitue l’apparence directe et fondamentale de ce jeune homme si particulier soit-il. Car aussi éloquente que soit l’impression que laisse une personne, il est généralement convenable de dresser certains vêtements sur le corps d’une personne pour laisser autre chose comme impression qu’une attitude scandalisée. Or donc, le code vestimentaire de cet individu qu’est notre être noir pourrait fort bien être résumé, tout simplement en étant considéré comme d’une splendeur de jais. En effet, jamais depuis de nombreuses années, la couleur noir n’a quitté le corps du jeune homme, et ce, en toute circonstance, lui ayant ainsi valut le surnom de Kuro à l'école. L’on peut dire que d’une certaine façon, le noir fait tout simplement parti de lui, étant donné qu’il s’agit là d’un dérivé de lumière qui ne fait que s’accorder mieux que les autres couleurs avec ce qui représente les fondements de sa vie. Ce qui a tout pour soulever certaines questions existentielles à son sujet. Dès que l’on aperçoit Glenn, tout ce que l’on peut apercevoir, c’est tout simplement une forme vague, enveloppée de noir des pieds à la tête. Pourtant, de cette nuit noire mouvante, un éclat de blancheur arrive tout de même à surgir, sous la simple forme des membres du jeune homme qui se trouvent à se trouver à l’air libre. À savoir, simplement sa tête. Tout doté d’une peau lisse, d’apparence indéniablement douce et raffinée, comme un bibelot intouchable aux formes sculptées dans l’ivoire le plus pur. Doté d’une brillance naturelle plus qu’étrange aux yeux de nombre de personnes, la peau de Near donne un aspect fantomatique à sa personne, ressortant dans un contraste vibrant avec le reste de la tenue de ce dernier. Ce qui n’est cependant pas sans manquer d’un certain style, pour l’apparence esthétique indéniable que lui donne cette blancheur nacrée de porcelaine. Mais bien entendu, et malgré tous ces détails, il va sans dire que la teinte de clarté reste indéniablement la maîtresse incontestée du corps du hors la loi. La base de ses vêtements se compose d’éléments forts simples, pour ne pas dire tout simplement anodins. Du moins, pour un homme comme ça. Or donc, la première pièce de vêtements visible sur sa personne se compose en une chemise ou d'une veste noire de jais, disposée de façon fort simple de par sa constitution légère, ainsi que sa texture rappelant vaguement un tissu usé, doté d’une couche supplémentaire pour en améliorer l’imperméabilité ainsi que la résistance, mais au combien propre sur lui, ce type. À un niveau quelque peu plus bas, un pantalon du même acabit se présente aux yeux des observateurs, ne semblant pas présenter de signes distinctifs, pour finalement n’être qu’un vêtement sommaire de plus. Descendant en un long mouvement sinueux sur les longues jambes du jeune homme, les pantalons s’arrêtent soudain, engloutis dans une autre pièce présente sur le bas du corps. Il s’agit tout simplement des chaussures du jeune homme. Mais la pièce principale de l’allure vestimentaire de Near se constitue, bien entendu, de la large veste qui ne quitte que très rarement ses épaules, pour être pliée et rangée avec soin. D’un noir profond défiant la nuit elle-même par son intensité, la veste en question ne présente toutefois pas de traits majeurs, descendant voluptueusement jusqu’à une distance d’à peu près dix centimètres du sol, tout en présentant de courtes manches sur la partie supérieure, pour compenser à la faible présence de tissu sur la chemise de base de notre énergumène. Cependant, un détail fort curieux reste à signaler concernant cette veste, se désignant dans la longue bande de cuir brut prenant son origine au niveau de l’épaule droite de l’homme. Ne semblant pas présenter d’apparente utilité, cette dite bande présente les traits d’une ceinture normale, cependant dotée de nombreux morceaux de métal ferreux, rappelant de petites pyramides disposées sur la longueur de la bande. Un détail anodin, mais néanmoins capable d’attirer des regards interrogateurs.

Et finalement, la partie la plus troublante et expressive de tout ce corps, il est question ici de nul autre chose que le visage de la bête de foire. Si les vêtements ont déjà de quoi préparer à une image troublante, rien ne peut préparer au visage que présente ce jeune homme. Rares sont les personnes, au cours de leur vie, qui survivent aux expériences de la mort elle-même. Mais ceux qui le font en gardent une expression qui ne pourra jamais que figer les gens qui n’y sont pas prêts. Car les yeux, à eux seuls, sont les armes mentales les plus meurtrières qui puissent exister, lorsqu’elles présentent les tréfonds d’une âme torturée, aux souvenirs douloureux ancrés avec une force inimaginable. Une teinte unique, oscillant entre l’opale le plus pur et le cyan le plus profond, alors que les yeux, empreints d’un calme et d’une dureté sans pareilles, fixent avec une intensité monstrueuse le regard de la personne en face de lui. Ces yeux, ce sont le reflet de l’âme de Near. Le reflet de la souffrance passée. En dehors de ces miroirs de souffrance, les détails du visage peuvent cependant arriver à atténuer, ne serait-ce que brièvement, l’impression laissée en commençant. Un nez aquilin et descendant en une fine pente vers le bas, surplombant une bouche fine aux lèvres douces et rosées, le tout par-dessus un menton fin et sculpté d’une main experte. Par-dessus le tout, une chevelure de jais, voguant telle une multitude de vagues au gré du vent, vient encadrer de façon à la fois chaotique et mélancolique le visage d’albâtre que présente le jeune homme tourmenté. C’est là le visage d’un être brisé par le passé, et désormais reconstruit au gré du temps.


RACONTE NOUS SON HISTOIRE
‘’Sois fort et survis à tes tourments, ou sois faible et laisse les te dévorer’’

~o°Le calme avant la tempête°o~


Que de malheurs que ceux d’un enfant que l’on ne peut que connaître de loin, par le simple fait du destin qui le lie au monde. Et l’un de ces malheurs commença de façon plus fortuite que réellement conventionnelle. Toute cette histoire commença avec un homme, originaire de Grande Bretagne, un homme influent en voyage. Venu pays pluvieux, l’opulent homme ne manquait pas de faire valoir tous les atouts qu’il semblait aimer se vanter d’avoir. Aussi nombre de demoiselles, les unes cupides, les autres sottes, et parfois simples naïves, s’approchaient langoureusement d’un homme de ce genre, attirées par le pouvoir qu’il faisait miroiter à leurs pauvres yeux. C’était au nord du Japon. Certains pourparlers faisaient leur apparition en milieu politique. Et non loin de frôler la décadence en quelques moments, l’homme prenait un malin plaisir à user de ses positions dans le but de pourvoir à ses envies. La plus virulente étant les femmes. Une femme en particulier. Ce jour-là, il y eut une jeune femme esseulée, prête à marier, qui fut présente à l’une des cérémonies diplomatiques tant courues des foules. Ce fut elle qu’il remarqua. Elle, et nulle autre. Ce fut elle qu’il attira à son bras, ce soir-là, adoptant un comportement en conséquence de l’apparente fragilité de la dame. Le sournois personnage fit d’elle sa compagne d’un soir, tout bonnement, usant des illusions brillantes qui devenaient entre ses doigts plus acérées que la morsure glaciale du trépas. La soirée se prolongea, se prolongea encore… et se termina de façon abrupte, lorsque la réelle nature de l’homme se dévoila. Terminée, la tendresse, terminée, la gentillesse. Il la prit purement et simplement, plaquant sa main sur sa bouche lorsque le besoin s’en fit ressentir. À la fin de la nuit, il disparut tel une ombre, laissant perler au coin des yeux vides de la jeune fille, une larme contenant les restes d’une âme brisée.

Par la suite, la jeune fille tenta de retrouver l’homme en question. Elle y arriva, d’ailleurs. Pour être simplement repoussée d’un ricanement, alors que celui qui l’avait bernée se contenta de nier les faits en rentrant dans les ténèbres de sa demeure. Elle fut ramenée à la porte sans ménagement, et laissée dehors, le visage figé, les yeux frigorifiés dans une expression sans nom. Ce fut alors que commença un enfer que peu pourraient trouver enviable. Mais que tous prennent en pitié lorsqu’ils en entendent l’histoire. Durant vingt jours et vingt nuits, elle erra, perdue, brisée… Jusqu’à ce qu’un nouveau fait vienne s’ajouter à la situation déjà cruelle. Tout d’abord, la belle tenta de ne pas y croire, d’ignorer ce qui faisait grandir en elle une appréhension et une peur envahissant chaque recoin de son esprit. Elle dut cependant se rendre à l’évidence au bout d’un temps : non-satisfait de ses actes, le sang du démon s’était implanté en elle. Elle portait l’enfant d’un démon. Le dilemme fut ardu, comme peu de choses peuvent troubler un esprit. Cependant, ce ne fut point la haine qui domina les pensées de la douce. Mais bien celles de la pitié. Un enfant d’un être mauvais ne doit pas nécessairement être considéré comme tel. Aussi ce ne fut pas la haine de cet enfant qui habita désormais la jeune fille : ce fut le désir de le protéger de son géniteur. Et pour se faire, elle devrait aller au loin, le plus loin possible d’ici. Quitte à vendre son âme au diable, elle le protégerait. Elle le protégerait…


~o°L’Antre du Monstre°o~


Nombre de cris retentissaient contre les murs de pierre imbriqués les uns dans les autres, se répercutant dans la voute close de l’endroit. Nombre de cris pouvaient jaillir de ce genre d’endroit, prenant de nombreuses sources par le fait même. Cependant, ici, ce fut une voix féminine qui s’éleva, hurlant sa douleur en même temps que sa soif de libération. Cela faisait maintenant deux mois qu’elle était venue ici. Démolie, atterrée, brisée. Et tout cela, par la seule et unique entremise d’un homme aux traits sévères, aussi habile de corps que d’esprit et de langue. Comme nombre de personnes, elle fut recueillie parmi les gens du nom d’Asui, ce qui représentait une solution bien plus que pratique, en dehors du fait de vivre parmi des hors-la-loi et des tueurs pour certains. Mais quitte à choisir entre les assassins et la mort lente, au moins le premier choix offrait un toit et de la nourriture. Ce qui représentait déjà une excellente chance de survie en soi. Aussi, eu-t-elle la chance d’être reconduite dans les souterrains, lieux réservés à une classe certaine des lieux, le jour où elle enfanta. Car comment faire des combattants parfaits… sinon en les prenant dès la naissance ? La libération fut longue et empreinte d’une douleur sans nom, alors qu’au bout de nombreuses heures, la douce reposa doucement, endormie et exténuée, sur le siège médical où elle s’était trouvée durant tout le processus. Dès ce moment, de premiers échantillons et analyses furent effectués sur les rejetons, de manière à déterminer leurs états de santé malgré un physique relativement frêle, tout était en ordre. Tant mieux. Ils en auraient besoin. Et s'est d'ailleur ce jour la première et dernière fois qu'il se virent, les jumeau.

Les premiers mois se déroulèrent d’une façon qui aurait presque pu être considérée comme normale, hormis les prises de sang et d’échantillons trois fois par semaine. Ce genre de chose était infligé à tous et chacun, de façon à déterminer l’état des êtres peuplant le complexe de l'établissement. Il fallait dire que Monsieur Asui surveillait également les résultats d’échantillons avec une attention qui aurait fait pâlir le mot ‘’méticuleux’’. Chaque être étant déterminé comme apte à posséder des facultés particulières et utilisables était immédiatement séparé du troupeau, pour ainsi dire, pour ensuite être emmené et soumis à des examens de loin plus poussés. Les rumeurs sur ceux qui avaient été sélectionnés étaient telles qu’elles ne faisaient que rendre ce sort bien peu enviable aux yeux de la majorité. Aussi, c’était donc avec une certaine crainte que l’on regardait ceux qui étaient emmenés par les sbires du maître. Cependant, le jeune bambin ne fut pas ennuyé par ce genre de choses. Du moins, pas avant un certain jour. Le jour où il fit s'éteindre un feu sans même le toucher. D’abord apeuré par ce phénomène – qui n’allait être que le premier de plusieurs -, le gamin alla chercher le réconfort qu’il souhaitait auprès de sa mère. Chaque fois, les paroles douces apaisèrent son esprit, lui rendant sa sérénité…

Et une nuit, la porte s’ouvrit sur une ombre ondulante…




~o°Les mains d’un Démon°o~




Les ténèbres. Les ténèbres, incorruptibles et interminables, oblitérant toute forme de vision aux iris dilatées d’un homme séquestré dans un lieu digne des cauchemars qui le hantent désormais depuis un bon bout de temps. Une pièce ambigüe, aux murs délavés couverts de saletés accumulées au fil du temps, alors qu’une couche rudimentaire prend la moitié de la place le long du mur du fond. Un plafond si haut qu’on n’en voit pas la fin, et qui laisse l’impression que quelque chose de monstrueux peut surgir des ténèbres sans vie à chaque instant, pour dévorer votre corps, étant donné que votre esprit n’est plus attirant depuis belle lurette. Au pied du lit, une silhouette rachitique, habillée sommairement, se trouve assise tranquillement à même le sol de pierre, deux longues jambes hâlées repliées doucement sur le torse alors que deux longs bras fins et nacrés se replient sur l’extrémité formée par les genoux. Derrière ces bras croisés, le visage d’un être absent, perdu dans ses pensées morbides, dérangé par l’abus d’injections autant que de prélèvements. Une bouche invisible, un nez tressaillant… et deux yeux grands ouverts, fixant le vide avec une insistance telle qu’on pourrait croire qu’il cherche à percer le sol par la seule force de son regard.

La tournée des prélèvements était passée plus tôt que d’ordinaire, ce matin-là. Il dormait encore avec difficulté, lorsqu’il avait brutalement été tiré du sommeil par le seuil de la porte de sa cellule qui s’ouvrait en grinçant bruyamment, appuyée avec difficulté sur les gonds qui avaient largement fait leur temps et commençaient sérieusement à rouiller. Au bout d’un moment à tenter d’habituer ses yeux à la lumière éblouissante de la torche brandie par l’individu à l’entrée de la pièce, Near n’avait pu voir que le mouvement de tête de l’homme, l’incitant à le suivre. Un battement de cil, et le jeune homme se levait du mince matelas pour s’exécuter. Depuis le temps, il avait fini par savoir que ces hommes n’hésitaient pas à devenir drastiques envers les sujets récalcitrants. Il le savait pour avoir été l’un d’eux au début. Depuis la nuit où ils étaient venus le chercher, assommant en silence la mère du jeune garçon effrayé, pour l’endormir à l’aide d’un sédatif alors qu’ils partaient en veillant à dissimuler leur passage. Au début, il avait tenté de compter le temps. Et curieusement, il y arrivait toujours. Cela faisait maintenant mille cinq-cent-quatre-vingt-deux jours qu’il était ici. À peu près quatre ans et demi de passés avec cette routine qui ne lui faisait même presque plus rien, à force, si ce n’était qu’avec le temps, ses séances personnelles avaient augmenté avec le temps. Il avait même été ausculté par Asui lui-même une bonne trentaine de fois, au total. Le reste du temps, c’était des intermédiaires, dirigés par son second, qui effectuaient le travail. Ils prenaient des échantillons de tissus, prenaient des parcelles diverses, faisaient certaines injections en notant les résultats et les évolutions selon les résultats précédents. Ici, il était plus devenu un rat de laboratoire qu’autre chose. Mais il y a trois jours, il avait de nouveau été pris en main par Asui en personne. Cependant, cette fois, il n’avait pas été emmené à la salle habituelle. Le trajet avait été plus long, empruntant plusieurs détours par différents couloirs qui se ressemblaient tous alors qu’ils avançaient, encadrés de quatre hommes devant et derrière. La salle à elle seule avait réussi à faire bruyamment déglutir le gamin au moment où il y avait mis les pieds. Les seringues faisaient place aux scalpels, les bocaux changeaient de contenu, et il n’y avait rien – ou presque – qui ne soit pas coupant dans la pièce. Mais avant qu’il ait pu penser à quoique ce soit, la porte fut refermée derrière lui. Ce jour-là, cela avait été sa seule sortie de cellule. Il en était revenu inconscient, trainé par les bras par deux des mecs précédents, et placé sommairement sur son lit avant d’être laissé aux ténèbres. Une douzaine d’endroits de son corps présentaient des points de suture, recouvrant des ouvertures encore fraiches dans les chairs. Le lendemain, il n’y eut personne pour venir le chercher.

Son retour se fit rapidement, ce matin. Les prises faites, il n’eut qu’à être reconduit par le personnel qu’il reconnaissait depuis le temps. Il fut remis dans sa cellule, entendant la porte se refermer avec fracas derrière lui. Il alla tout simplement s’asseoir, les jambes croisées sur le matelas. Face au mur, dos à la porte, il garda tout simplement les yeux fermés, écoutant le rythme des environs comme il le faisait si souvent depuis plus d’un an. Jusqu’à ce qu’un bruit de pas revint s’arrêter devant sa porte au bout d’une heure. La porte s’ouvrit, il se retourna… pour voir l’un des types d’il y a trois jours, encadré des trois autres dans le couloir. L’homme fit quelques pas, le visage strict. Les yeux de Near étaient maintenant grands ouverts, presque exorbités. Non… non, ça n’allait pas recommencer, pas déjà… Les pas approchaient, lentement, sûrement…. Non…

Approche-moi….. Et je te tue.




ERROR FILE?#DONNEES SUPPRIMEES# ... #~ # (je me garde une partie pour le rp =) )




~o°Et après ...?°o~



Il avait quitté les lieux ce jour-là, sans même savoir ce qu'il s'était passé. Il s'était réveillé dans un pensionnat perdu au milieu de nul part, sur une île. Il avait apprit, le temps faisant, qui il était, la raison de sa venue ici, et étudia drastiquement en tant qu'interne. Ses notes furent rarement égalées, il devint un homme d'affaire, normal d’apparence mais toujours profondément meurtri dans sa chaire. Aujourd'hui, il a de l'argent, de part ses activité dans la boite de la ville qu'il gère comme il l'entend.
Des combats illégaux pour des paris l'étant dans une moindre mesure, de la drogue. Tout est bon à prendre quand il s'agit d'argent. Ce jeune meurtri a tellement manqué de tout qu'il a rapidement sombré dans la violence et l'excès. Pourquoi personne n'a tenté de le libérer ? Il n'en sait rien, mais tout cela allait probablement bientôt changé. Il le sait au fond de lui, il le voit, celui qui le hante depuis qu'il est petit. Il l'appel dans ses rêves, peut distinguer les murmures de sa voix dans les ombres...

Bientôt, il ne serait plus seul.




DERRIERE L'ECRAN
• On m'appelle : Element
• J'ai : 24 ans
• J'ai connu le forum grâce à : top site !
• Je pense que le forum est : prometteur !
• J'ai trouvé le "Passe-Partout" :
• J'aimerai ajouter que : J'aime les chats. Et je suis pas venu seul.



(c) Himitsu no Kii - Awashima


Dernière édition par Near Glenn le Lun 21 Mar 2016 - 22:59, édité 6 fois
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Kurai S. Ikazuchi
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MessageSujet: Re: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyDim 13 Mar 2016 - 23:55

Bienvenue à toi ! ^^
Bon courage pour ta fiche :D
Si tu as des questions ou des soucis, n'hésite pas à passer sur la CB (même si tu n'en as pas, d'ailleurs), ou à envoyer un MP au staff (donc Jess, Elina ou moi-même)

Le code du règlement n'est pas le bon, courage pour le trouver ;)
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MessageSujet: Re: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyDim 13 Mar 2016 - 23:59

Merci !
Je regarderai ça mieux demain ! J'ai la tête en vrac là :P
La présentation sera finie demain soir max !
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Kurai S. Ikazuchi
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MessageSujet: Re: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyLun 14 Mar 2016 - 0:00

Prends ton temps, tu as deux semaines :)
(après, si tu finis avant, c'est pas un problème x) )
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Jess L. Nyström
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MessageSujet: Re: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyLun 14 Mar 2016 - 9:54

Bienvenue !
Comme Kurai l'a dit, tu as deux semaines pour terminer ta fiche :)
N'hésites pas à poser des questions si tu en as !

Bon courage,
#J.
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MessageSujet: Re: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyLun 21 Mar 2016 - 22:58

Histoire terminée. Désolé de l'attente, j'attendais de savoir quoi faire comme je vais RP avec trois personnes. =)
L'histoire a un trou volontaire, je compte peaufiner cela en rp !
Si toujours possible comme dit sur la CB, j'aimerai prendre la gestion du club de la nuit (et des bars même si cela est possible ! :o Des projets des projets !)

(je viens de voir la possibilité de créer un établissement, je peux ? Sinon juste modifier un peu celui en place en lui créant des sous forum)

Merci ~ !
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Jess L. Nyström
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MessageSujet: Re: Near Glenn [END]   Near Glenn [END] EmptyMer 23 Mar 2016 - 18:25

Je te valide !
Par rapport aux lieux, MP moi, ça sera plus simple ;)

N'oublie pas, dès à présent, de recenser ton avatar et de demander un logement ! :)
Si tu as des questions, n'hésites pas !
#J.
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