Fernando Alvarez (♂)
DATE & LIEU DE NAISSANCE :
né(e) le 12/07/1998 à Gijón
NATIONALITÉ :
Espagnole
ORIENTATION SEXUELLE :
hétérosexuel
OCCUPATION :
Ouvrier (Maçon)
GROUPE :
Saruta-Hiko
PERSONNAGE SUR L'AVATAR :
Hijikata Toushiro de Gintama
Caractère
Marrant, Sociable, Franc • Faignant, Négligeant, Direct • Des factures • Tabac, alcool et Marie-Jeanne • Glander, les filles, la plage • Le patronat • La chimie • Construire sa maison
Fernando est une personne qui ne se pose pas de question. Il peut paraître stupide, mais c’est simplement qu’il néglige tout sujet ne l’intéressant pas, il ne saurait pas dire la capitale de la Suisse mais connaît la composition du Gypse : CaSO4.2(H2O). Quand ce garçon aime quelque chose, ce n’est pas à moitié, il a toujours été très compétent en physique-chimie, rien ne l’avait destiné à cela pourtant. Il a eu son BAC d’ailleurs grâce à cette matière et un bon 20 dedans lorsque les autres notes ondulaient entre 5 et 10. La chimie, et le sport, comme tous garçons lambda de son âge. Fernando lâcha cependant l’école juste après l’obtention du diplôme parce qu’il avait envie de travailler dans le bâtiment. Un choix discutable avec un père militaire et une mère au foyer, mais c’était Fernando, ils étaient habitués à ne pas pouvoir le contrôler.
Fernando, que l’on nommait Nando en Asturie était une des personnes les plus franches de son quartier, pas de langue de bois avec cet énergumène qui a quinze ans est allé voir son père pour le regarder droit dans les yeux et lui dire « Je fume maintenant ». Catalogué jeune rebelle après cet épisode, Nando se tenait à son rôle. Il n’était pas devenu seulement accroc au tabac, mais aussi à la drogue douce et apaisante. Inutile de dire qu’il avait la réputation du mec cool lors de son lycée, il osait faire ce que les autres redoutaient.
Le jeune homme arrive facilement à se faire entourer. Des amis, des copines, il a l’art de dire n’importe quoi et ça marche, les gens l’écoutent. Nando est une personne loin d’être sérieuse, tout prétexte est bon à la déconne. C’est bien pour ça qu’il n’aime pas trop travailler à l’école, il n’y a aucun plaisir. En tant que maçon et ouvrier polyvalent dans le bâtiment, il s’épanouit, ayant un grand attrait pour les matériaux argileux et la construction en somme. Il ne se sent pas capable d’être architecte ou grand scientifique, alors plutôt que de perdre des années à la fac, il préfére travailler pour s’acheter son petit confort de vie.
Nando était une petite frappe étant jeune, il tend à se calmer avec les années et plus récemment avec les péripéties et le fait qu’il ne soit plus chez lui, se retrouvant seul sur une île bizarre avec des gens louches.
Physique
Bleu • Noir • 177 • 71 • Commune • Tatouages diverses
Nando est un garçon de taille moyenne, de corpulence moyenne avec une couleur de cheveux banale, visage un peu moins banal étant donné que l’on pouvait se sentir intimidé par son regard presque méchant. Ses yeux bleus foncés renforçaient le côté agressif de son regard, chose qu’il ne faisait bien entendu pas exprès du tout. Nando est habituellement habillé d’une tenue de chantier lorsqu’il travaille, il n’a pas vraiment le choix à vrai dire, ce sont les règles du métier. En dehors de casque jaune immonde et cette veste fluorescente de travail, Nando aime s’habiller sobrement, de noir principalement. Une chemise bien taillée, une veste noire par-dessus, un pantalon tout aussi discret et vous comprendrez que rien ne choque vraiment au premier regard, il s’habille bien mais pas avec extravagance.
Une fois qu’on fait tomber la chemise, on peut s’apercevoir que Nando est bariolé de tatouages. Souvent des formes aléatoires, des écailles de dragon sur une partie du torse, des dates sur son flan, les unes sur les autres, il y a quatre dates pour l’instant, mais Nando compte en tatouer plus dorénavant, y compris celle de son arrivée sur cette île. Les dates ont un sens, mais cela n’est pas si important pour lui, il a gravé le nom de son ex sur ses côtes et l’a fait rayer ensuite. Nando se tatoue n’importe comment, oui.
En outre, le monsieur a une très bonne condition physique, il est bon en sport et son travail lui demande de porter de lourdes charges ce qui l’entraîne au quotidien à maintenir la forme.
INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Il agit sur les petites roches et fait sécher le ciment/goudron (et autres composés argileux) rapidement
• Affinité : Non, c'est handicapant vu qu'il ne maîtrise que dalle
• Affinité : Non, c'est handicapant vu qu'il ne maîtrise que dalle
RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Le 12 juillet 1998. La France bat le brésil au stade de France, trois buts à zéro. Incroyable n’est-il pas ? Pendant que c’est la fête à Paris, un homme regarde la télé à l’hôpital de Gijón en Espagne. Il entend les infirmières venir le chercher, il allait louper le second but de Zidane. Mais que ne ferait-il pas pour tenir son troisième fils dans ses bras. Fernando Alvarez venait de naître et Gustavo, le père, ne savait pas encore quel amas de problèmes tenait-il dans ses bras. Dernier d’une famille de trois enfants, Fernando Alvarez fut bien vite surnommé Nando par son grand-frère et sa grande-sœur. Bien vite, il comprit que s’il voulait s’imposer face aux plus grands, il allait devoir jouer dans une ligue au-dessus.
Ses aînés n’ont jamais été tendres avec lui, son père était toujours absent et sa mère s’occupait vaguement de lui. Nando a du alors se battre pour être resservi à table, pour garder ses jouets, pour pouvoir jouer à la console. Un climat familial qui ne le laissait pas se reposer. A l’école, il était infernal, sa mère avait été convoquée plus d’une fois dès la maternelle parce que monsieur Fernando était méchant avec ses petits camarades. Au fur et à mesure, Nando prenait sanction sur sanction à l’image de son frère et sa sœur, des bons bagarreurs aussi.
Par contre, quand Gustavo rentrait, ça filait droit à la maison, la sœur lâchait son téléphone et le frère allait à l’entraînement, mais pas pour Nando. Il avait surpassé l’insoumission de ses frères et sœurs en commençant, en 2013, à quinze ans, à traîner dans les rues avec des ‘potes’, pour fumer des cigarettes et boire de l’alcool. ‘All the cool kids do drugs’ pouvait on lire sur internet. Nando devint alors ce ‘cool kid’, commençait à sortir avec des filles, allant dans des bars avec sa bande. Marie-Jeanne l’accompagnait souvent, elle savait régler ses tracas, elle l’aidait à oublier que son avenir était pourri tellement il était nul en maths, en littérature, en art. Elle lui faisait voir la vie autrement.
En 2016, avec son diplôme en poche, il se prit un petit appartement et commença à travailler en tant que couvreur puis apprenti maçon et il apprenait de plus en plus sur sa matière préférée, la chimie .Il développait de solides compétences dans le domaine. En revanche, son appartement était une sorte de taudis où le parfum de sa meilleure amie régnait toujours.
« Oy, ‘Nando ! Ca sent bon chez toi, comme d’hab. »
« Gabi, tiens, j’suis partageur. »
Sa sœur venait le visiter de temps à autre pour ranger le bordel. Elle n’était pas une sainte non plus.
« Tu veux vraiment pas prendre une année de fac en chimie… Tu sais, tout le monde serait content… J’veux dire t’as assez d’économies avec ton boulot, tu peux … garder l’appart… et… Tu sais Gijón, ça pue comme bled, c’est pas comme si tu travaillais à Madrid ou chez ses p’tains de catalan. Avec une licence tu pourrais… voilà quoi. »
« ’Faites chier, j’y réfléchirai… ‘voulais m’acheter une caisse. »
L’idée tentait Nando, mais sa grande amie végétale le retenait, il ne ferait pas grand-chose de sa vie, il le savait et s’en contentait. En 2017 sa vie fut assez chamboulée, en plein été, il devait monter un mur avec son entreprise. La journée n’avait rien de particulière au premier abord, mais ce jour-ci il remarqua quelque chose d’inhabituel lors de sa pose. Il posa le parpaing et constata que le plâtre qu’il avait appliqué était déjà sec. Il recommença, perplexe, et re-belote, le temps de se baisser pour reprendre le parpaing, tout avait séché, impossible de coller quoi que ce soit. Il s’adressa avec toute la finesse du monde à son patron non loin de là.
« Euuuuuh, Arturo, ton nouveau ciment tu l’as eu où ? En Chine ? Parce qu’il est bien pourri ton truc. »
Évidemment, il se fit engueuler avant que son boss ne vienne assister au séchage ultra-rapide du plâtre. Nando essaya d’appeler les chaînes du câble pour leur expliquer qu’il avait vu un phénomène paranormal et qu’il pouvait témoigner contre un peu d’argent. Mais ça n’intéressait personne ce genre de poltergeist tout pourri. Néanmoins, Nando était intrigué, ses connaissances poussées en chimie lui indiquaient que c’était impossible. Il fit toutes les connexions possibles dans sa tête avant de s’endormir.
Le lendemain, le phénomène se reproduisit, juste quand Nando arrivait, à croire qu’il y était pour quelque chose. Le mois qui suivit fut étrange, la compagnie de Nando perdait énormément d’argent quand il était sur un chantier, les solutions argileuses se durcissait à une vitesse phénoménale à ses côtés. Il se fit virer, les idiots crûrent à une malédiction des travailleurs du bâtiment, comme si cela existait vraiment. Cependant, ce qui existait vraiment était la faculté de Nando à durcir l’argile. Il essaya avec le ciment, le goudron, il y alla de ses petites expériences, sans vraiment comprendre le pourquoi du comment. Il avait des pouvoirs fut sa seule conclusion. Lors d’un bad-trip, il avait éjecté une vague de ciment hors de la bétonneuse et elle s'était solidifiée dans les airs, les médias locaux parlèrent alors d’art inexpliqué alors qu’il ne s’agissait que d’une gerbe cimentée en plein vol. C’était cool.
En vérité, ça ne l’était pas, il ne pouvait plus trouver de travail dans ce qu’il aimait, gaspillait son argent dans le tabac, l’alcool, les soirées et Mari-Juana. Un jour, il s'était réveillé, sur la plage. La veille au soir, il avait fait soirée sur les plages de l’Atlantique, toujours à Gijón. Totalement démonté, il se leva avec l’envie de boire de l’eau et il fit le constat certain qu’il ne connaissait pas ce coin de la plage. Ses valises étaient à côtés de lui, ce devait être une énorme fiesta se disait-il. Il finit par remarquer une lettre après coup et décida de la lire.
« D… Descendant de mes corones ouais. Oh… Wow… C’est un épisode de Pretty Little Liars ce « A. » ? Bon, au moins, j’ai quitté Gijón. »
C’est ainsi, titubant avec ses valises, que Fernando Alvarez était arrivé à Awashima et allait se refaire une vie, sur une île remplie de gens avec des pouvoirs. L’intégration à l’île aurait pu être facile pour lui, il avait bientôt vingt ans, il pouvait faire ce qu’il voulait dans cette reconstitution de pays. Mais cet idiot décida de faire la seule chose qu’il savait faire. Monter des murs, depuis son arrivée sur cette île, son pouvoir était devenu moins contraignant et à vrai dire, même s’il ne le maîtrisait pas, il s’arrangeait pour pouvoir travailler efficacement avec.
Ses aînés n’ont jamais été tendres avec lui, son père était toujours absent et sa mère s’occupait vaguement de lui. Nando a du alors se battre pour être resservi à table, pour garder ses jouets, pour pouvoir jouer à la console. Un climat familial qui ne le laissait pas se reposer. A l’école, il était infernal, sa mère avait été convoquée plus d’une fois dès la maternelle parce que monsieur Fernando était méchant avec ses petits camarades. Au fur et à mesure, Nando prenait sanction sur sanction à l’image de son frère et sa sœur, des bons bagarreurs aussi.
Par contre, quand Gustavo rentrait, ça filait droit à la maison, la sœur lâchait son téléphone et le frère allait à l’entraînement, mais pas pour Nando. Il avait surpassé l’insoumission de ses frères et sœurs en commençant, en 2013, à quinze ans, à traîner dans les rues avec des ‘potes’, pour fumer des cigarettes et boire de l’alcool. ‘All the cool kids do drugs’ pouvait on lire sur internet. Nando devint alors ce ‘cool kid’, commençait à sortir avec des filles, allant dans des bars avec sa bande. Marie-Jeanne l’accompagnait souvent, elle savait régler ses tracas, elle l’aidait à oublier que son avenir était pourri tellement il était nul en maths, en littérature, en art. Elle lui faisait voir la vie autrement.
En 2016, avec son diplôme en poche, il se prit un petit appartement et commença à travailler en tant que couvreur puis apprenti maçon et il apprenait de plus en plus sur sa matière préférée, la chimie .Il développait de solides compétences dans le domaine. En revanche, son appartement était une sorte de taudis où le parfum de sa meilleure amie régnait toujours.
« Oy, ‘Nando ! Ca sent bon chez toi, comme d’hab. »
« Gabi, tiens, j’suis partageur. »
Sa sœur venait le visiter de temps à autre pour ranger le bordel. Elle n’était pas une sainte non plus.
« Tu veux vraiment pas prendre une année de fac en chimie… Tu sais, tout le monde serait content… J’veux dire t’as assez d’économies avec ton boulot, tu peux … garder l’appart… et… Tu sais Gijón, ça pue comme bled, c’est pas comme si tu travaillais à Madrid ou chez ses p’tains de catalan. Avec une licence tu pourrais… voilà quoi. »
« ’Faites chier, j’y réfléchirai… ‘voulais m’acheter une caisse. »
L’idée tentait Nando, mais sa grande amie végétale le retenait, il ne ferait pas grand-chose de sa vie, il le savait et s’en contentait. En 2017 sa vie fut assez chamboulée, en plein été, il devait monter un mur avec son entreprise. La journée n’avait rien de particulière au premier abord, mais ce jour-ci il remarqua quelque chose d’inhabituel lors de sa pose. Il posa le parpaing et constata que le plâtre qu’il avait appliqué était déjà sec. Il recommença, perplexe, et re-belote, le temps de se baisser pour reprendre le parpaing, tout avait séché, impossible de coller quoi que ce soit. Il s’adressa avec toute la finesse du monde à son patron non loin de là.
« Euuuuuh, Arturo, ton nouveau ciment tu l’as eu où ? En Chine ? Parce qu’il est bien pourri ton truc. »
Évidemment, il se fit engueuler avant que son boss ne vienne assister au séchage ultra-rapide du plâtre. Nando essaya d’appeler les chaînes du câble pour leur expliquer qu’il avait vu un phénomène paranormal et qu’il pouvait témoigner contre un peu d’argent. Mais ça n’intéressait personne ce genre de poltergeist tout pourri. Néanmoins, Nando était intrigué, ses connaissances poussées en chimie lui indiquaient que c’était impossible. Il fit toutes les connexions possibles dans sa tête avant de s’endormir.
Le lendemain, le phénomène se reproduisit, juste quand Nando arrivait, à croire qu’il y était pour quelque chose. Le mois qui suivit fut étrange, la compagnie de Nando perdait énormément d’argent quand il était sur un chantier, les solutions argileuses se durcissait à une vitesse phénoménale à ses côtés. Il se fit virer, les idiots crûrent à une malédiction des travailleurs du bâtiment, comme si cela existait vraiment. Cependant, ce qui existait vraiment était la faculté de Nando à durcir l’argile. Il essaya avec le ciment, le goudron, il y alla de ses petites expériences, sans vraiment comprendre le pourquoi du comment. Il avait des pouvoirs fut sa seule conclusion. Lors d’un bad-trip, il avait éjecté une vague de ciment hors de la bétonneuse et elle s'était solidifiée dans les airs, les médias locaux parlèrent alors d’art inexpliqué alors qu’il ne s’agissait que d’une gerbe cimentée en plein vol. C’était cool.
En vérité, ça ne l’était pas, il ne pouvait plus trouver de travail dans ce qu’il aimait, gaspillait son argent dans le tabac, l’alcool, les soirées et Mari-Juana. Un jour, il s'était réveillé, sur la plage. La veille au soir, il avait fait soirée sur les plages de l’Atlantique, toujours à Gijón. Totalement démonté, il se leva avec l’envie de boire de l’eau et il fit le constat certain qu’il ne connaissait pas ce coin de la plage. Ses valises étaient à côtés de lui, ce devait être une énorme fiesta se disait-il. Il finit par remarquer une lettre après coup et décida de la lire.
« D… Descendant de mes corones ouais. Oh… Wow… C’est un épisode de Pretty Little Liars ce « A. » ? Bon, au moins, j’ai quitté Gijón. »
C’est ainsi, titubant avec ses valises, que Fernando Alvarez était arrivé à Awashima et allait se refaire une vie, sur une île remplie de gens avec des pouvoirs. L’intégration à l’île aurait pu être facile pour lui, il avait bientôt vingt ans, il pouvait faire ce qu’il voulait dans cette reconstitution de pays. Mais cet idiot décida de faire la seule chose qu’il savait faire. Monter des murs, depuis son arrivée sur cette île, son pouvoir était devenu moins contraignant et à vrai dire, même s’il ne le maîtrisait pas, il s’arrangeait pour pouvoir travailler efficacement avec.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
• On m'appelle : Az
• J'ai : 24 ans
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• J'ai trouvé le "Passe-Partout" : il est à trouver dans le règlement du forum et prouve votre lecture de celui-ci
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️ Himitsu no Kii